Macron et autres agents de l’UE, amants des grands patrons et des usuriers, ennemis du peuple

23/04/2017 | 11 commentaires

httpv://www.youtube.com/watch?v=56hLRvsWbCA

Mon com­men­taire : très bonne vidéo, mer­ci. Je vou­drais pour­tant sug­gé­rer aux jeunes gens d’O­sons cau­ser, qui inter­prètent les « résul­tats » (effec­ti­ve­ment scan­da­leux) de Macron comme autant de signes d’ER­REUR et d’IN­COM­PÉ­TENCE, que ces résul­tats « catas­tro­phiques » POUR NOUS ne sont pas catas­tro­phiques mais « mer­veilleux » POUR CEUX QUI L’ONT FAIT ÉLIRE (en ache­tant les jour­na­listes et les poli­ti­ciens comme on achète des machines). Donc, du point de vue de ceux pour qui les « repré­sen­tants » tra­vaillent, Macron, Hamon, Fillon etc. sont très « com­pé­tents » et ne com­mettent pas du tout d’ « erreurs ». Ils ont même le talent de faire pas­ser leurs crimes pour des erreurs. C’est fortiche.

Rap­pel :

Per­son­nel­le­ment, je par­le­rais donc plu­tôt de TRAHISONS que d’erreurs. 


Voyez aus­si ce qu’en dit Franck Lepage, c’est important :

Petit lexique de désintoxication présidentielle, par Franck Lepage :

3 – « Pou­voir d’achat »…

Aaaahhhh la sublime arnaque lan­ga­gière ! Le pou­voir d’a­chat contre le salaire ! aug­men­ter le « Pou­voir d’a­chat » pour ne plus jamais aug­men­ter les salaires. Et même, grâce à Macron, aug­men­ter le pou­voir d’a­chat en dimi­nuant le salaire !!! Atten­tion : accro­chez vous, ça va deman­der un peu de concen­tra­tion : ça risque de piquer un peu ! On va se le faire façon plan de tomate :

1 – Pre­mière branche de la tomate : au 19 ème siècle le salaire est le PRIX de ma force de tra­vail. Il n’y a que du salaire DIRECT, lié à ma tâche, et ensuite quand je ne peux plus tra­vailler (malade, vieux, ou chô­meur) je vais cre­ver dans un coin. Ce qu’on appelle aujourd’­hui l’Uberisation.

2 – Deuxième branche : deux siècle de luttes de la classe ouvrière orga­ni­sée trans­forment le salaire en un rap­port de force poli­tique. Le salaire n’est plus un PRIX, c’est un BAREME. Si tu veux t’a­che­ter ma force de tra­vail, il va fal­loir mul­ti­plier ce que tu me donnes par deux, pour don­ner aus­si du salaire à des chô­meur, des retrai­tés, des malades, et du per­son­nel hospitalier.…ça s’ap­pelle le salaire INDIRECT, ou encore le salaire socia­li­sé, ou encore les COTISATIONS sociales (« sala­riales » et « patro­nales ») que le MEDEF appelle des CHARGE sociales et qui les étranglent de rage !

- Troi­sième étape, la plus impor­tante, concen­trez vous : quand on vous donne 1.500 euros, VOTRE SALAIRE est donc de 3.000 euros., c’est à dire le salaire NET PLUS les coti­sa­tions « sala­riales » qui donnent le « BRUT » PLUS les coti­sa­tions « patro­nales » qui donnent le salaire total. C’est pour ça que c’est un barème, c’est pour ça que c’est un rap­port de forces. C’est pour ça que ce chiffre n’ap­pa­raît jamais sur votre fiche de paie sauf si vous savez faire des additions.

- qua­trième étape, l’AR­NAQUE : si je baisse, si j’exo­nère les coti­sa­tions (« sala­riales » ou « patro­nales ») de 1.300 euros et que je vous donne 200 euros en plus sur votre salaire direct, j’aug­mente votre net, ce qui va dans votre poche, mais en réa­li­té je BAISSE votre salaire en vous don­nant l’im­pres­sion que je l’AUG­MENTE et en clai­ron­nant par­tout que j’aug­mente votre « pou­voir d’a­chat ». Et comme on va flin­guer la sécu en lui sup­pri­mant les recettes, il vous fau­dra tôt ou tard rache­ter votre salaire indi­rect (san­té, retraite, etc) avec votre salaire direct en cumu­lant des points ou en pre­nant de l’é­pargne. (je recom­mence ou ça va ?)

Expli­quer à votre tata (ou à votre ton­ton) avant dimanche, sur la nappe du res­tau­rant que si elle touche 200 euros de plus chaque mois, en fait on lui a bais­sé son salaire, c’est votre chal­lenge pour la semaine ! Amu­sez vous bien !

À par­tir de là vous avez plu­sieurs options politiques.

a – Vous êtes contents, on vous a don­né 200 euros de plus, et vous n’en n’a­vez rien à foutre des autres. Que les retrai­tés se démerdent et quant aux malades, vous êtes en bonne san­té. Quand ce sera votre tour et que ça vous arri­ve­ra sur le coin de la figure, il sera tou­jours temps d’a­vi­ser. Cha­cun pour soi et Dieu contre tous ! Et puis le MEDEF l’a dit : si les patrons ne sont plus obli­gés de payer notre pro­tec­tion sociale, (le « coût du tra­vail ») ils pour­ront enga­ger plein de tra­vailleurs flexibles et pas pro­té­gés, et cela crée­ra de l’emploi, plein d’emploi, des tas d’emplois.…..vous avez donc le choix : Votez Macron sans état d’âme, qui pro­pose « la sup­pres­sion des coti­sa­tions sala­riales pour tous les tra­vailleurs pour rap­pro­cher le net du brut » (vous avez pigé l’ar­naque) Ou Fillon qui pro­pose « d’at­teindre le plein emploi en bais­sant de 40 mil­liards les charges des entreprises ».

b – Vous êtes embê­té : la concur­rence, l’eu­rope, la crise, la mon­dia­li­sa­tion, ah là là ma brave dame, on ne peut quand même pas conti­nuer à pres­su­rer les entre­prises, il faut bien bais­ser les charges sociales si on veut retrou­ver de la com­pé­ti­ti­vi­té, tout ça tout ça…, il faut moder­ni­ser la moder­ni­té avec l’aide de la CFDT,…mais on peut mettre en place des amor­tis­seurs comme le reve­nu uni­ver­sel pour les très pauvres, et trans­fé­rer les coti­sa­tions sur de l’im­pôt CSG façon rocard , ou même indi­vi­dua­li­ser la pro­tec­tion sociale avec des comptes per­son­nels.… regar­dez la Fin­lande …bon, Votez pour celui qui pro­clame qu’il « sera le can­di­dat du pou­voir d’a­chat », votez plu­tôt Hamon.

c – Vous êtes de gauche et vous savez donc que le mou­ve­ment his­to­rique de la gauche est l’aug­men­ta­tion conti­nue des coti­sa­tions patro­nales, c’est à dire pré­le­ver sur NOTRE richesse, celle que NOUS pro­dui­sons, de quoi cou­vrir NOS besoins de san­té et de bien-être. Vous êtes donc pour l’aug­men­ta­tion des salaires, de tout le salaire, et donc des coti­sa­tions patro­nales. Vous savez que la bagarre à mener ce n’est pas pour l’aug­men­ta­tion du NET, c’est pour l’aug­men­ta­tion du BRUT, c’est pour l’aug­men­ta­tion du SALAIRE total et pas du « POUVOIR d’A­CHAT »…Vous êtes pour un régime géné­ral de sécu­ri­té sociale et contre les comptes per­son­nels d’ac­ti­vi­té, Vous êtes pour l’aug­men­ta­tion des ser­vices publics et donc du nombre des fonc­tion­naires parce que vous savez que c’est VOUS qui pro­dui­sez cette richesse, Votez pour …ceux qui vont dans ce sens.

(à suivre)…

Source : Page Face­book de Franck : https://​www​.face​book​.com/​p​e​r​m​a​l​i​n​k​.​p​h​p​?​s​t​o​r​y​_​f​b​i​d​=​1​8​6​1​7​5​4​9​8​4​0​7​8​0​9​1​&​i​d​=​1​5​2​5​9​4​6​1​0​7​6​5​8​982


2 – « Crise »…

Com­bien sont ils à nous saôu­ler avec le « déclin », la » crise » et à vou­loir REDRESSER la FRANCE ? Mais quelle vision ont ils de la 5ème puis­sance mon­diale ?Du 5ème pays le plus riche du monde ?…si nous sommes dans la crise en étant la cin­quième puis­sance mon­diale, qu’est ce que ça doit être chez les 189 autres états der­rière nous ?!? Quelle blague : la France dégueule de richesse, la France fabrique du riche à tour de bras en aug­men­tant les inéga­li­tés depuis les années 80. Et ce sont les repré­sen­tants des riches (Fillon) qui parlent de Crise pour mieux conti­nuer à mas­sa­crer nos « Acquis », « pri­vi­lèges » et autres « assis­ta­nats « . C’est de la haine de classe à l’é­tat pur. Comme dit Guillaume Meu­rice, A 8.000 euros, t’es « assis­tant », à 400 euros t’es « assis­té » !!! Qui sont ces can­di­dats diri­geants qui ne pro­mettent que des mal­heurs et veulent rajou­ter du mal­heur au mal­heur ? encore des sacri­fices… c’est la crise !!!!!!!!

La plai­san­te­rie com­mence en 1973 avec la « crise pétro­lière ». Coup de génie des classes domi­nantes, relayées par des média aux ordres, qui nous informent que des déci­sions prises très loin de nous et sur les­quelles nous n’avons aucune prise vont avoir des réper­cus­sions sur notre niveau de vie. Le pré­sident Pom­pi­dou, (déjà ancien fon­dé de pou­voir de la même banque d’af­faires que Macron), nous l’annonce solen­nel­le­ment à la télé : il va fal­loir se ser­rer la cein­ture. Les vaches grasses, c’est fini ! On va démo­lir vos pro­tec­tions et vous faire vivre dans la ter­reur du len­de­main. Et bien­tôt, début du gag de la fameuse « mon­dia­li­sa­tion » dont le véri­table nom est la déré­gu­la­tion : faire sau­ter toutes les bar­rières du droit qui enca­draient la pré­da­tion par les possédants.

Qu’est-ce qu’une crise éco­no­mique ? C’est un manque de richesses. Y a‑t- il manque de richesses ? Non ! La France trans­pire sa richesse par tous ses pores ! Un seul chiffre : entre 2000 et 2017, soit en seule­ment dix-sept ans, le cin­quième pays le plus riche du monde a dou­blé son PIB (Pro­duit inté­rieur PIB alors qu’il avait mis aupa­ra­vant qua­rante ans à réa­li­ser cela. Il y a une for­mi­dable accé­lé­ra­tion de la richesse, et des écarts de salaires qui passent de 1 à 14 dans les années 1970 à 1 à 400 dans les années 1980, les années « socia­listes »… En dix-sept ans, 1 000 mil­liards d’euros sup­plé­men­taires se pro­mènent donc en France. La FRance est le pre­mier pays du monde pour le nombre de rési­dences secon­daires !!! De quelle « crise » s’agit-il alors ? A la fois d’une crise de sur­pro­duc­tion et d’une crise de répar­ti­tion de la richesse produite.

Il s’agit sur­tout de défaire métho­di­que­ment – par­don : de « réfor­mer » – toutes les avan­cées de 1945 en termes de pro­tec­tion sociale : attaque du pou­voir ouvrier sur la sécu­ri­té sociale avec les ordon­nances de 1967 par De Gaulle qui orga­nisent la « pari­té », démo­li­tion de la sou­ve­rai­ne­té sala­riale sur la for­ma­tion avec la loi Delors de 1971, mise à mal pro­gres­sive des retraites à par­tir du livre blanc de Rocard en 1991, puis de l’assurance-chômage avec Jos­pin, de la san­té et des allo­ca­tions fami­liales avec Hol­lande… Le pro­jet tota­li­taire d’une socié­té entiè­re­ment mar­chande a ses met­teurs en scène – Macron, Fillon – pour nous rap­pe­ler qu’il y a « crise » et un cadre : l’Union Euro­péenne, qui veille sur la sta­bi­li­té moné­taire (des riches) et qui est là pour nous pro­té­ger de la dite crise.

Le terme est uti­li­sé, usé, abu­sé jusqu’à plus soif pour nous expli­quer qu’une seule poli­tique est pos­sible ! Le pro­blème, c’est qu’à force de durer, de se péren­ni­ser, on ne sait plus quel autre terme uti­li­ser quand une vraie crise appa­raît, comme celle de 2008. Ou alors, on verse dans la sur­en­chère : au-delà de la crise, il y a l’« état d’urgence », que l’on décline désor­mais sur tous les modes : sécu­ri­taire, bien sûr, mais aus­si éco­lo­gique, éco­no­mique ou social… Quand une « crise » dure depuis qua­rante ans et qu’en plus elle est mon­diale, il ne s’agit plus d’une crise, mais de la moda­li­té nor­male de fonc­tion­ne­ment d’un sys­tème. Il est temps de mettre ce sys­tème en crise : met­tons la crise en crise !

(à suivre…)

httpv://www.youtube.com/watch?v=GGu_ERN3cFc

Source : Page Face­book de Franck : https://​www​.face​book​.com/​p​e​r​m​a​l​i​n​k​.​p​h​p​?​s​t​o​r​y​_​f​b​i​d​=​1​8​6​1​1​0​9​9​6​4​1​4​2​5​9​3​&​i​d​=​1​5​2​5​9​4​6​1​0​7​6​5​8​982


3 – Europe…

On nous refait ce coup de « l’Eu­rope » à chaque élec­tion. J’a­dore. Ce que les Fran­çais ont refu­sé en 2005, ça n’é­tait pas « l’Eu­rope », c’é­tait « l’U­nion Euro­péenne ». Les dif­fé­rentes hypo­thèses de sor­ties de l’Eu­ro, de frexit, ou autres rené­go­cia­tions ne concernent pas l’EU­ROPE mais bien au contraire l’U­NION EUROPEENNE c’est à dire une salo­pe­rie d’ins­ti­tu­tion anti­dé­mo­cra­tique ver­rouillée pour les banques et les entre­prises multinationales.

C’est bien au nom de l’EU­ROPE qu’il faut com­battre l’U­NION EUROPEENNE, c’est bien pour construire enfin l’EU­ROPE qu’il faut dégom­mer l’U­NION EUROPEENNE… nous faire croire que cer­tains vou­draient sor­tir de l’EU­ROPE, C’est vrai­ment nous prendre pour des bacs à douche ! c’est à dire quoi ??? Mélen­chon détes­te­rait la petite sirène dans le port de Copen­hague, le carillon de Big Ben à Londres, vou­drait faire sau­ter le ponte Vechio à Flo­rence, ou finir de faire pen­cher la tour à Pise. Ben oui, mais mes voi­sins super sym­pas qui veulent voter Ham­mon parce qu’ils sont rai­son­na­ble­ment « de gauche », c’est pour­tant comme ça qu’ils rai­sonnent, ils pensent que Mélen­chon veut sor­tir de l’EU­ROPE. (faut dire qu’il était pas obli­gé de nous rame­ner Boli­var, non plus !!! ça faci­lite pas les explications).

Du point de vue du lan­gage, Ham­mon entre­tient cette fadaise de « l’Eu­rope », mais son atti­tude a au moins le mérite de le situer poli­ti­que­ment : il est impos­sible d’être de Gauche sans récla­mer la sor­tie de l’U­nion Euro­péenne, de la même façon qu’on ne peut pas être de gauche et récla­mer des baisse d’im­pôts, ni être de gauche et allé­ger les charges patro­nales qui couvrent la sécu. Et je ne vous parle même pas du reve­nu uni­ver­sel, petite mer­veille néo-libé­rale pour sor­tir du finan­ce­ment de la sécu par les entre­prises, c’est à dire du conflit travail-capital…le seul conflit de gauche connu à ce jour. Diable ! l’His­toire de France semble désor­mais entre les mains des élec­trices et élec­teurs de Benoît Hamon ! Se repor­te­ront ils sur Mélen­chon ou nous offri­ront-ils Macron pour cinq ans ? Brrrr…Je ne vou­drais pas être à leur place !

(À suivre)…

httpv://www.youtube.com/watch?v=FFkUkm-L5A8&t=2s

Source : Page Face­book de Franck : https://​www​.face​book​.com/​p​e​r​m​a​l​i​n​k​.​p​h​p​?​s​t​o​r​y​_​f​b​i​d​=​1​8​6​0​7​3​7​1​5​0​8​4​6​5​4​1​&​i​d​=​1​5​2​5​9​4​6​1​0​7​6​5​8​982

___

Fil Face­book cor­res­pon­dant à ce billet :
https://​www​.face​book​.com/​e​t​i​e​n​n​e​.​c​h​o​u​a​r​d​/​p​o​s​t​s​/​1​0​1​5​5​1​7​4​4​2​9​7​0​7​3​1​7​?​p​n​r​e​f​=​s​t​ory

Pour m'aider et m'encourager à continuer, il est désormais possible de faire un don.
Un grand merci aux donatrices et donateurs : par ce geste, vous permettez à de beaux projets de voir le jour, pour notre cause commune.
Étienne

Catégorie(s) de l'article :

11 Commentaires

  1. Berbère

    votes tru­qués ?
    …seule solu­tion à pré­sent, l’abs­ten­tion géné­ra­li­sée avec piquets près des urnes…
    Ici, le choix n’est plus, là où réside le non-choix ; maca­ron ban­quier ou le fn, ou la stra­té­gie par le consen­te­ment forcé…

    Réponse
  2. nlescan

    Salut Etienne, je viens ce soir saluer ta clair­voyance même si j’en ai marre que t’aies tout le temps rai­son, c’est bien la TV qui fait les élec­tions, ce soir c’est fla­grant… super, 5 ans de droite dure supplémentaires.

    Réponse
  3. Ppol

    TV cette aprem, LCI je crois.
    Macon reçoit les repré­sen­tants syn­di­caux à la chambre de com­merce, c’est tout propre et bien rangé.
    GaG, Marine truc lui fait un enfant dans le dos en allant voir les salariés.
    Du coup vexé et agi­té comme un poux Macon décide d’al­ler voir les ouvriers, enca­dré par les repré­sen­tants syn­di­caux, on sait jamais les che­mises coutent cher …
    Sur LCI, com­men­taire fiel­leux sur le gag de M truc et affir­ma­tion fausse « Macron avait pré­vu d’al­ler voir les ouvriers après la réunion sur le fond… »
    On dit mer­ci qui, mer­ci Julien !

    Réponse
  4. Ppol

    Pour la petite his­toire et à com­plé­ter, c’est bien LR ex UMP et PS qui on mit en place ce sys­tème * qui évite le jeu à 3 ou plus au 2ème tour ?
    Ils se ramassent le machin en pleine poire et nous on est dans la cagaille. Ils visaient Mtruc et autres Méluches…
    C’est jamais bon de mani­pu­ler le suf­frage universel.
    * si qq’un avait une expli­ca­tion de ces magouilles je serais preneur…

    Réponse
  5. etienne

    httpv://www.youtube.com/watch?v=jrnS0MTku28&feature=youtu.be

    Réponse
  6. etienne

    Pourquoi la vente à la sauvette d’Alstom est bien une véritable affaire d’État

    Com­ment une telle chose a‑t-elle pu se pro­duire ? Pour­quoi n’a‑t-on pas négo­cié un accord équi­li­bré ? Pour­quoi l’État n’a‑t-il rien vu venir ? Quel rôle ont joué les deux ministres, Mon­te­bourg, puis Macron ? Oui, il y a bien une affaire Alstom. Jean-Michel Qua­tre­point mène une enquête ser­rée autour de ce dos­sier. Il raconte la nou­velle stra­té­gie des États-Unis pour faire main basse sur les fleu­rons indus­triels euro­péens, et fran­çais en par­ti­cu­lier. Notre classe diri­geante se révèle impuis­sante à faire pré­va­loir les inté­rêts du pays.

    Extrait de « Alstom, scan­dale d’É­tat », de Jean-Michel Qua­tre­point, publié chez Fayard (2÷2)

    Source : Atlan­ti­co, http://​www​.atlan​ti​co​.fr/​d​e​c​r​y​p​t​a​g​e​/​p​o​u​r​q​u​o​i​-​v​e​n​t​e​-​s​a​u​v​e​t​t​e​-​a​l​s​t​o​m​-​e​s​t​-​b​i​e​n​-​v​e​r​i​t​a​b​l​e​-​a​f​f​a​i​r​e​-​e​t​a​t​-​a​l​s​t​o​m​-​s​c​a​n​d​a​l​e​-​e​t​a​t​-​j​e​a​n​-​m​i​c​h​e​l​-​q​u​a​t​r​e​p​o​i​n​t​-​f​a​y​a​r​d​-​2​3​2​6​1​3​2​.​h​tml

    TOUS les rouages du sys­tème de domi­na­tion unio­neu­ro­péen l’im­posent par chan­tage à la pré­ten­due « menace du fas­cisme » ; et que le pays va ain­si conti­nuer de som­brer dans le sta­tut misé­rable de colo­nie : Macron a déjà ven­du Alstom à l’Em­pire, il lui four­gue­ra le reste, et nous avec, comme les « élites » grecques, elles aus­si ven­dues à l’UE, sont en train de liqui­der à vil prix TOUS les actifs publics grecs aux « inves­tis­seurs » étrangers. 

    À lire : « Alstom scandale d’État. Dernière liquidation de l’industrie française »

    livre pas­sion­nant (et révol­tant) de Jean-Michel Qua­tre­point :

    http://​www​.fayard​.fr/​a​l​s​t​o​m​-​s​c​a​n​d​a​l​e​-​d​e​t​a​t​-​9​7​8​2​2​1​3​6​8​6​882

    Réponse
  7. etienne

    La technique de manipulation mentale d’Emmanuel Macron résumée en 2 minutes

    Source : CNews

    Réponse
  8. Berbère

    Panique dans le 16e ! Avec Monique Pinçon-Charlot
    minute 33′ et 55′ sur lvmh…
    https://​you​tu​.be/​L​g​U​3​O​3​_​3​QXo

    Monique Pin­çon-Char­lot face à un dépu­té macroniste
    https://​you​tu​.be/​x​_​D​W​G​s​Q​Z​VRU

    Confé­rence Socio­lo­gie de la bour­geoi­sie 08 02 2018
    https://​www​.you​tube​.com/​w​a​t​c​h​?​v​=​_​4​R​D​D​F​n​9​cKM
    livre à lire
    « Voyage en grande bourgeoisie »

    Réponse

Laisser un commentaire

Derniers articles

JUSTICE CITOYENNE – Regards croisés – LIVE 4 novembre 2024, 19h45

JUSTICE CITOYENNE – Regards croisés – LIVE 4 novembre 2024, 19h45

Bonjour à tous Pendant cette soirée dédiée au bilan de la période récente, où nous venons de vivre (le début d')une bascule totalitaire sous prétexte sanitaire, et demain sous prétexte de péril de guerre ou de catastrophe climatique, je parlerai de souveraineté...