DOCTOTHON : remarquable mise en scène, par les citoyens eux-mêmes, du DISSENSUS SCIENTIFIQUE à propos du coup d’État « COVID » (mise en scène interdite par les « médias mainstream » corrompus)

11/12/2021 | 9 commentaires

Chers amis,

Je vous signale ici (en retard, par­don), une ini­tia­tive citoyenne impor­tante pour défendre la démo­cra­tie, le « doctothon ».

La démo­cra­tie, c’est la mise en scène des conflits poli­tiques, pour bien éclai­rer l’o­pi­nion avant de décider.

La méthode scien­ti­fique, elle aus­si, repose sur l’or­ga­ni­sa­tion de l’ex­po­sé public, loyal et rigou­reux, des dis­sen­sus scien­ti­fiques, pour bien éclai­rer l’o­pi­nion, là aussi.

Or aujourd’­hui, « les médias », qui acca­parent le mono­pole de cette mise en scène, inter­disent car­ré­ment cette confron­ta­tion publique loyale sur « la crise sani­taire », en cen­su­rant la plu­part des opi­nions dis­si­dentes, pour faire croire à un consen­sus scien­ti­fique et poli­tique, alors que celui-ci n’existe pas.

Le « doc­to­thon » résiste au rou­leau com­pres­seur de la cen­sure : c’est une remar­quable ini­tia­tive citoyenne pour don­ner, pen­dant 24 h, la parole à 300 doc­teurs, méde­cins et scien­ti­fiques, sur la « crise Covid » (qui est en fait, de mon point de vue, un coup d’É­tat pla­né­taire sous pré­texte sanitaire).

J’ai déjà vu pas­ser plein d’in­for­ma­tions inté­res­santes et impor­tantes sur ce long évé­ne­ment : https://​www​.doc​to​thon​.com/

Pro­gramme par­tie 1 :
https://www.doctothon.com/accueil-du-doctothon/horaire-partie‑1

Pro­gramme par­tie 2 :
https://www.doctothon.com/accueil-du-doctothon/horaire-partie‑2

(La pre­mière par­tie ci-des­sous com­mence appa­rem­ment à 1h33:20)

https://​www​.you​tube​.com/​w​a​t​c​h​?​v​=​d​P​g​2​X​x​D​Z​OX8

Par­tie 2 :

Il va nous fal­loir du temps pour mettre en valeur, dans ce long flot de témoi­gnages, les inter­ven­tions les plus importantes.

Je vous pro­pose de signa­ler en com­men­taire le minu­tage des pas­sages qui vous semblent par­ti­cu­liè­re­ment remar­quables (ou critiquables).

Je vous pro­pose aus­si, dans les com­men­taires de ce billet, de regrou­per ici toutes les infor­ma­tions mon­trant le pro­fond DISSENSUS scien­ti­fique qui règne en fait, par­tout sur terre, sur les déci­sions poli­tiques liber­ti­cides impo­sées par les gou­ver­ne­ments abu­sifs, sous des pré­textes pseudo-scientifiques.

Bon cou­rage à tous, tenez bon.

Je viens du futur merci davoir tenu bon

Étienne.

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Étienne

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9 Commentaires

  1. Étienne CHOUARD

    Allon Friedman, sur le Brownstone Institute :
    Vaccination obligatoire : non scientifique, source de division et extrêmement coûteuse

    https://​browns​tone​.org/​a​r​t​i​c​l​e​s​/​v​a​c​c​i​n​e​-​m​a​n​d​a​t​e​s​-​u​n​s​c​i​e​n​t​i​f​i​c​-​d​i​v​i​s​i​v​e​-​a​n​d​-​e​n​o​r​m​o​u​s​l​y​-​c​o​s​t​ly/

    2 décembre 2021

    Le plan contro­ver­sé de l’Oc­cu­pa­tio­nal Safe­ty and Health Admi­nis­tra­tion visant à impo­ser les vac­ci­na­tions au COVID-19 pour les grandes entre­prises – récem­ment enjoint par la Cour d’ap­pel du cin­quième cir­cuit – était osten­si­ble­ment conçu pour mini­mi­ser les « épi­dé­mies mor­telles de COVID-19 ». La capa­ci­té des vac­cins COVID-19 à pré­ve­nir la trans­mis­sion et à pro­té­ger la vie est au cœur du man­dat de l’O­SHA et du débat achar­né sur des man­dats simi­laires qui embrouille désor­mais une grande par­tie du monde.

    Près de 18 000 articles scien­ti­fiques ont été publiés depuis l’an­née der­nière sur le COVID-19 et les vac­cins, de sorte que la tâche de pas­ser au crible les preuves pour aider à éva­luer de manière cri­tique si les vac­cins réduisent le risque de trans­mis­sion et de décès semble inti­mi­dante. Il s’a­vère, cepen­dant, que deux études se situent tel­le­ment au-des­sus des autres en termes de rigueur et de qualité.

    Ces deux études, qui font suite aux essais requis par la FDA pour l’ap­pro­ba­tion d’une uti­li­sa­tion d’ur­gence, ont été publiées le mois der­nier dans le New England Jour­nal of Medi­cine . Ils se dis­tinguent fon­da­men­ta­le­ment des autres études en ce qu’ils sont les seuls essais cli­niques encore signa­lés à ran­do­mi­ser des adultes pour rece­voir soit un vac­cin COVID-19 ( Pfi­zer ou Moder­na ) soit une injec­tion de pla­ce­bo, puis les suivre au fil du temps. Pour­quoi est-ce impor­tant ? Parce que la concep­tion de l’é­tude contrô­lée ran­do­mi­sée en aveugle qu’ils ont uti­li­sée est l’ou­til scien­ti­fique de réfé­rence et le plus rigou­reux dis­po­nible pour exa­mi­ner les rela­tions de cause à effet entre une inter­ven­tion et le résultat. 

    Cette concep­tion limite éga­le­ment autant que pos­sible l’in­fluence d’autres fac­teurs, connus ou incon­nus, qui pour­raient affec­ter le résul­tat. De nom­breuses études ont uti­li­sé d’autres concep­tions pour essayer de com­prendre à quel point le vac­cin pro­tège contre le COVID-19, mais peu importe à quel point ils sont bien pla­ni­fiés ou exé­cu­tés, aucune de ces études n’at­teint le niveau de rigueur scien­ti­fique qu’offre un essai contrô­lé ran­do­mi­sé en double aveugle bien mené. .

    Alors, ces deux essais cli­niques ont-ils trou­vé que la vac­ci­na­tion rédui­sait le risque de mou­rir du COVID-19 ? Non ils ne l’ont pas fait. Ils n’ont pas été conçus pour cela. Les deux études rap­portent une effi­ca­ci­té éle­vée pour réduire la mala­die symp­to­ma­tique de Covid, quelque part dans la plage d’ef­fi­ca­ci­té de 89 % à 95 %, ain­si que les mala­dies graves, dans la plage de 80 % à 100 %. Ils n’ont pas recru­té suf­fi­sam­ment de per­sonnes âgées à haut risque pour avoir une taille d’é­chan­tillon suf­fi­sante pour déter­mi­ner si les vac­cins réduisent éga­le­ment les décès dus au COVID-19

    L’é­tude Moder­na a signa­lé un décès par COVID-19 dans le groupe vac­ci­né et trois dans le groupe non vac­ci­né, bien trop peu pour tirer une conclu­sion sta­tis­tique. L’es­sai Pfi­zer a été encore plus peu concluant car les résul­tats publiés dans le rap­port du New England Jour­nal (un décès par COVID-19 dans le groupe vac­ci­né et deux dans le groupe non vac­ci­né) dif­fé­raient de ce que Pfi­zer a rap­por­té plus tard à la Food and Drug Admi­nis­tra­tion et à la FDA. la mise à jour n’a pas pré­ci­sé le nombre de décès dus au COVID-19.

    En plus des décès de Covid, les études ont éga­le­ment éva­lué la mor­ta­li­té toutes causes confon­dues, qui compte chaque décès sur­ve­nu au cours de la période d’é­tude. Cela donne une plus grande taille d’é­chan­tillon. La mor­ta­li­té toutes causes confon­dues est un résul­tat inté­res­sant non seule­ment parce qu’il contourne la déci­sion sou­vent sub­jec­tive de savoir pour­quoi une per­sonne est décé­dée, mais aus­si parce qu’il équi­libre tous les effets pos­sibles d’un vac­cin COVID-19, bons et mau­vais, qui pour­raient influen­cer le risque de décès . En d’autres termes, cela nous per­met de quan­ti­fier les vies sau­vées par le vac­cin COVID-19 tout en tenant compte des vies poten­tielles per­dues à cause des mala­dies car­diaques liées au vac­cin, des caillots san­guins, des réac­tions aller­giques graves et peut-être d’autres causes.

    Étant don­né que les résul­tats des deux essais étaient si simi­laires quel que soit le type de vac­cin uti­li­sé, il est utile de fusion­ner les résul­tats. Après un total com­bi­né de 74 580 per­sonnes, la moi­tié ayant reçu la vac­ci­na­tion contre le COVID-19 et la moi­tié ayant reçu une injec­tion de pla­ce­bo, sur une période de six à sept mois, les deux études ont rap­por­té que trente-sept per­sonnes vac­ci­nées sont décé­dées contre trente-trois per­sonnes qui ont reçu pla­ce­bo. Ces résul­tats ne sont pas non plus sta­tis­ti­que­ment concluants. 

    En termes simples, la meilleure concep­tion d’é­tude scien­ti­fique actuel­le­ment dis­po­nible pour l’hu­ma­ni­té n’a pas été uti­li­sée pour répondre aux résul­tats les plus impor­tants, et les essais ran­do­mi­sés ne sou­tiennent pas l’af­fir­ma­tion lar­ge­ment répan­due selon laquelle la vac­ci­na­tion COVID-19 uti­li­sant les marques Pfi­zer ou Moder­na réduit le risque de décès. Ce n’est mal­heu­reu­se­ment pas la pre­mière fois que la FDA approuve un pro­duit basé sur un cri­tère de sub­sti­tu­tion moins impor­tant plu­tôt que sur les prin­ci­paux résul­tats d’intérêt. 

    Il y a plu­sieurs points sup­plé­men­taires à considérer. 

    Pre­miè­re­ment, les résul­tats des études étaient limi­tés par le fait que leur concep­tion ne tenait pas compte d’une infec­tion anté­rieure condui­sant à une immu­ni­té ulté­rieure contre l’in­fec­tion au COVID-19. Alors que les Covid récu­pé­rés avec une immu­ni­té natu­relle préa­lable doivent être vac­ci­nés dans de nom­breux endroits, les deux essais ran­do­mi­sés n’ont pas éva­lué si les vac­cins leur apportent un quel­conque avan­tage, même en termes de cri­tère de substitution. 

    Deuxiè­me­ment, parce que les deux essais excluaient prin­ci­pa­le­ment les groupes les plus à risque de mou­rir du COVID-19, tels que les per­sonnes âgées fra­giles et les per­sonnes très obèses, nous ne pou­vons pas savoir à par­tir des essais dans quelle mesure les vac­cins pro­tègent ces populations. 

    Troi­siè­me­ment, la plu­part des par­ti­ci­pants à l’é­tude étaient des adultes en âge de tra­vailler, et les très faibles taux de décès par COVID-19 obser­vés dans les deux études devraient nous rap­pe­ler à quel point ce risque est minime dans ce groupe d’âge. 

    Enfin, les deux essais contrô­lés ran­do­mi­sés n’ont pas éva­lué la capa­ci­té du vac­cin à réduire la transmission. 

    Par consé­quent, pour les ques­tions les plus impor­tantes liées aux man­dats des vac­cins [man­da­to­ry signi­fie obli­ga­toire en anglais], nous sommes obli­gés de nous fier à des études d’ob­ser­va­tion plu­tôt qu’aux études ran­do­mi­sées habi­tuelles qui consti­tuent géné­ra­le­ment la base des appro­ba­tions de médi­ca­ments et de vac­cins de la FDA. 

    Sur la base du juge­ment cli­nique et des études d’ob­ser­va­tion mon­trant que les vac­cins réduisent la mor­ta­li­té de Covid, il est rai­son­nable de sup­po­ser que pour les patients plus âgés, les avan­tages du vac­cin l’emportent sur ses risques et donc plai­der en faveur de leur uti­li­sa­tion, bien que nous ne puis­sions pas être abso­lu­ment cer­tains qu’ils offrent une pro­tec­tion contre la mort car du manque de preuves contrô­lées ran­do­mi­sées dans ce groupe d’âge et pour ce cri­tère de juge­ment. L’ab­sence de telles preuves est un échec à la fois des socié­tés phar­ma­ceu­tiques et de la FDA, et elle est en par­tie à blâ­mer pour l’hé­si­ta­tion à vacciner. 

    Un mes­sage clé à rete­nir est que les obli­ga­tions abso­lu­tistes et rigides des vac­cins COVID-19 tels que celles pro­po­sées par l’O­SHA ne sont pas basées sur la meilleure science pos­sible. De tels man­dats à l’é­chelle de la popu­la­tion vont à l’en­contre du dic­ton médi­cal uni­ver­sel de la stra­ti­fi­ca­tion des risques, selon lequel le trai­te­ment est adap­té aux indi­vi­dus en fonc­tion des risques et des avan­tages indi­vi­duels à accu­mu­ler. Ils violent éga­le­ment la phi­lo­so­phie domi­nante de la méde­cine fac­tuelle, qui exige l’u­ti­li­sa­tion des meilleurs modèles d’é­tude pos­sibles comme preuves lors de la prise de déci­sions concer­nant les soins aux patients. 

    Les man­dats de vac­ci­na­tion, qui sont extrê­me­ment coû­teux et ter­ri­ble­ment conflic­tuels, sont un remède pire que la mala­die, et sans preuves solides, ils sont sus­cep­tibles d’aug­men­ter l’hé­si­ta­tion vis-à-vis de la vac­ci­na­tion plu­tôt que la confiance en la vac­ci­na­tion. Pas seule­ment pour les vac­cins Covid, mais aus­si pour les vac­cins vitaux exis­tants contre par exemple la rou­geole et la polio

    Auteur

    Allon Fried­man est pro­fes­seur de méde­cine à la facul­té de méde­cine de l’U­ni­ver­si­té de l’In­dia­na et cher­cheur en méde­cine spé­cia­li­sé dans les sujets liés aux mala­dies rénales. Les idées expri­mées dans l’ar­ticle sont entiè­re­ment les siennes et pas néces­sai­re­ment celles de son employeur.

    Réponse
  2. Étienne CHOUARD

    [Abus de pouvoir] Michel de Lorgeril : « Les autorités sanitaires ont fermé les yeux sur l’essai de Pfizer », qui n’est PAS en double aveugle et qui est donc SANS valeur scientifique sérieuse


    Michel de Lor­ge­ril, car­dio­logue et scien­ti­fique reconnu

    9 décembre 2021

    Qu’est-ce qu’un scien­ti­fique ? À quoi cor­res­pond une forme grave ? Com­ment mesure-t-on l’efficacité d’un vac­cin ? À quoi cor­res­pond le chiffre de 95 % avan­cé par Pfi­zer ? Com­ment mesu­rer les effets indé­si­rables ? Tels sont les grands thèmes abor­dés par Michel de Lor­ge­ril, doc­teur en méde­cine, cher­cheur au CNRS, expert inter­na­tio­nal en car­dio­lo­gie et nutri­tion, membre de la Socié­té euro­péenne de car­dio­lo­gie, dans ce debriefing.


    L’es­sen­tiel de l’entretien :

    Qu’est-ce qu’un scientifique ?

    Michel de Lor­ge­ril : Un scien­ti­fique donne des expli­ca­tions sur les mys­tères de la nature, des expli­ca­tions qui peuvent évo­luer avec le temps et qui ne sont jamais défi­ni­tives. Un scien­ti­fique est un hési­tant, un scep­tique et s’il peut y avoir des diver­gences le but, in fine, est de par­ve­nir à un consen­sus, un com­pro­mis. Les scien­ti­fiques se recon­naissent et ne se dis­putent pas avec n’importe qui. Les exemples de décla­ra­tions non valables per­mettent d’aborder les chan­ge­ments de notre époque qui, depuis le début de la pan­dé­mie, a vu fleu­rir les affir­ma­tions les plus invrai­sem­blables tan­dis que les normes disparaissent.

    Quelles sont ces normes qui auraient disparu ?

    Pour faire recon­naître un nou­veau vac­cin, il faut mettre toutes les auto­ri­tés sani­taires d’accord et faire un essai ran­do­mi­sé en double aveugle. Une exi­gence à laquelle Pfi­zer n’a pas répon­du. À ce tra­vail scien­ti­fique bâclé s’ajoute le laxisme des régu­la­teurs dont le pre­mier d’entre eux, est l’éditorialiste en chef du New England Jour­nal of Mede­cine qui a publié cette étude, n’hé­si­tant pas à affir­mer qu’elle avait été faite en double aveugle alors que de l’aveu de leurs auteurs, c’est de l’observation.

    Si, en temps nor­mal les auto­ri­tés sani­taires exigent ces normes pour connaître les béné­fices d’un médi­ca­ment ou d’un vac­cin, et ce afin d’accorder les auto­ri­sa­tions de mise sur le mar­ché, force est de recon­naître qu’elles ont fer­mé les yeux sur cet essai et per­mis une vac­ci­na­tion sur des mil­lions de personnes.

    Par consé­quent, ce 95 % ne veut rien dire puisque la métho­do­lo­gie n’a pas été res­pec­tée. À ceci vient s’ajouter un autre biais : l’essai a été effec­tué par l’industriel, qui a don­né lui-même les résul­tats. Une pra­tique qui enlève toute cré­di­bi­li­té à ses annonces.

    Com­ment défi­nir une forme grave ?

    S’il est recon­nu que le vac­cin n’empêche pas la trans­mis­sion et la conta­mi­na­tion, on entend par­tout qu’il empê­che­rait de faire des formes grave. Pour répondre à la ques­tion, il faut d’abord s’entendre sur ce qu’est une forme grave. La sévé­ri­té d’une mala­die se mesure à la mor­ta­li­té. Or, l’essai Pfi­zer n’ayant mon­tré aucun décès, il ne peut conte­nir d’informations sur les formes graves. Par consé­quent, cette affir­ma­tion vien­drait de l’observation de ce qui se passe dans les hôpi­taux. Mais l’on ne peut tirer aucune conclu­sion solide scien­ti­fi­que­ment lorsqu’on se place dans l’observationnel et le rétrospectif.

    Mal­gré cela, il est pos­sible d’obtenir des infor­ma­tions indi­rectes notam­ment en exa­mi­nant les courbes de mor­ta­li­té d’un pays comme Israël qui a vac­ci­né au moment de la troi­sième vague toute la popu­la­tion éli­gible, cou­vrant par là toutes les caté­go­ries qui pré­sen­taient des risques de mou­rir de la Covid.

    À la fin de cette vague, les auto­ri­tés ont décla­ré que cette cam­pagne de vac­ci­na­tion avait per­mis de stop­per l’épidémie. Une décla­ra­tion fausse puis­qu’il y avait au moins trois fac­teurs pos­sibles pour l’arrêt de cette troi­sième vague, à savoir le confi­ne­ment strict, le decres­cen­do natu­rel du pic de conta­mi­na­tion, et enfin la cam­pagne de vac­ci­na­tion. Cepen­dant, si l’on consi­dère ce der­nier cri­tère, com­ment expli­quer la qua­trième vague tout aus­si meur­trière trois mois plus tard ?

    Com­ment mesu­rer les effets secondaires ?

    S’il existe une métho­do­lo­gie accep­table pour mesu­rer l’efficacité avec l’essai ran­do­mi­sé en double aveugle, il n’existe pas de méthode accep­table sur le plan éthique pour démon­trer les effets secon­daires. Pre­nons l’exemple d’un médi­ca­ment anti-coa­gu­lant. Une per­sonne qui pré­sente des risques de caillots et qui accepte de par­ti­ci­per à l’étude peut en tirer un béné­fice y com­pris si elle se retrouve dans le groupe pla­cé­bo. En effet, cette per­sonne sera la pre­mière à connaître l’efficacité de ce nou­veau médi­ca­ment et aura tous ses frais de san­té pris en charge, une chose qui n’est pas négli­geable, notam­ment aux États-Unis.

    En revanche, le rai­son­ne­ment ne peut être le même lorsqu’il s’agit de mesu­rer les effets secon­daires puisqu’il n’est pas éthi­que­ment accep­table de pro­po­ser un pro­duit de san­té poten­tiel­le­ment dan­ge­reux. Par consé­quent, les effets secon­daires ne se mesurent qu’à pos­té­rio­ri même s’il peut exis­ter des infor­ma­tions impor­tantes au moment de l’essai cli­nique. Mais ces don­nées sont rares puisqu’un indus­triel qui désire obte­nir les auto­ri­sa­tions de mise sur le mar­ché ne sélec­tionne pas des indi­vi­dus fragiles.

    Mesu­rer a pos­te­rio­ri n’est pas simple et la phar­ma­co­vi­gi­lance peut être très dif­fi­cile à appli­quer. Éta­blir une cor­ré­la­tion entre un vac­cin et un effet secon­daire grave peut prendre beau­coup de temps tan­dis que ceux qui défendent leurs pro­duits de san­té n’hésitent pas à par­ler de hasard ou de coïncidence.

    Si cer­taines affaires comme le scan­dale du Media­tor ont pris plu­sieurs décen­nies, les effets secon­daires liés aux dif­fé­rents vac­cins, s’ils ont été niés au départ, sont mal­gré tout peu à peu recon­nus. Cette recon­nais­sance a même signé l’arrêt des vac­cins adé­no­vi­rus à vec­teur recom­bi­né comme Astra­Ze­ne­ca et Jans­sen. De son côté, Pfi­zer a recon­nu que son vac­cin pou­vait pro­vo­quer des péri­car­dites et des myo­car­dites même si la fré­quence et la sévé­ri­té de ces patho­lo­gies sont encore minimisées.

    Source : France Soir, https://​www​.fran​ce​soir​.fr/​v​i​d​e​o​s​-​l​e​s​-​d​e​b​r​i​e​f​i​n​g​s​/​m​i​c​h​e​l​-​d​e​-​l​o​r​g​e​ril

    Réponse
  3. Étienne CHOUARD

    Plus de 400 études sur l’échec des interventions Covid obligatoires

    PAR PAUL ELIAS ALEXANDER   30 NOVEMBRE 2021 

    Source : https://​browns​tone​.org/​a​r​t​i​c​l​e​s​/​m​o​r​e​-​t​h​a​n​-​4​0​0​-​s​t​u​d​i​e​s​-​o​n​-​t​h​e​-​f​a​i​l​u​r​e​-​o​f​-​c​o​m​p​u​l​s​o​r​y​-​c​o​v​i​d​-​i​n​t​e​r​v​e​n​t​i​o​ns/

    Le grand ensemble de preuves (études de recherche com­pa­ra­tive et élé­ments de preuve et rap­ports de haute qua­li­té jugés per­ti­nents pour cette ana­lyse) montre que les blo­cages COVID-19, les poli­tiques d’a­bri sur place, les masques, les fer­me­tures d’é­coles et les man­dats de masque ont échoué dans leur objec­tif de frei­ner la trans­mis­sion ou de réduire les décès. Ces poli­tiques res­tric­tives ont été des échecs inef­fi­caces et dévas­ta­teurs, cau­sant d’im­menses dom­mages, en par­ti­cu­lier aux plus pauvres et aux plus vul­né­rables des sociétés. 

    Presque tous les gou­ver­ne­ments ont ten­té des mesures obli­ga­toires pour contrô­ler le virus, mais aucun gou­ver­ne­ment ne peut pré­tendre avoir réus­si. La recherche indique que les man­dats de masque, les fer­me­tures et les fer­me­tures d’é­coles n’ont eu aucun impact per­cep­tible sur les tra­jec­toires des virus. 

    Ben­da­vid a rap­por­té que « dans le cadre de cette ana­lyse, il n’y a aucune preuve que des inter­ven­tions non phar­ma­ceu­tiques plus res­tric­tives (« ver­rouillages ») aient contri­bué de manière sub­stan­tielle à cour­ber la courbe des nou­veaux cas en Angle­terre, en France, en Alle­magne, en Iran, en Ita­lie, aux Pays-Bas, en Espagne ou aux États-Unis au début de 2020. » Nous le savons depuis très long­temps main­te­nant, mais les gou­ver­ne­ments conti­nuent de dou­bler leurs efforts, cau­sant de la misère aux gens avec des rami­fi­ca­tions qui pren­dront pro­ba­ble­ment des décen­nies ou plus à réparer. 

    Les avan­tages des bou­clages de la socié­té et des res­tric­tions ont été  tota­le­ment exa­gé­rées  et les pré­ju­dices à nos socié­tés et les enfants ont été graves : les  pré­ju­dices aux enfants , la mala­die non diag­nos­ti­quée qui se tra­dui­ra par une sur­mor­ta­li­té dans les années à venir,  la dépres­sion, l’ anxié­té, idées sui­ci­daires  en nos jeunes,  les sur­doses de drogue  et les sui­cides dus aux poli­tiques de confi­ne­ment, l’i­so­le­ment écra­sant dû aux confi­ne­ments,  les pré­ju­dices psy­cho­lo­giques , la  vio­lence domes­tique et  infan­tile , les abus sexuels sur  enfants , la  perte d’emplois et d’en­tre­prises  et l’im­pact dévas­ta­teur, et le  nombre mas­sif de décès  résul­tant des fer­me­tures  qui auront un impact lourd sur les femmes et les  mino­ri­tés . 

    Main­te­nant, nous avons à nou­veau des mur­mures pour les nou­veaux blo­cages en réponse à la variante Omi­cron qui, selon mes esti­ma­tions, sera pro­ba­ble­ment infec­tieuse mais pas plus mortelle.

    Com­ment on est venu ici ? Nous savions que nous ne pour­rions jamais éra­di­quer ce virus mutable (qui a un réser­voir ani­mal) avec des confi­ne­ments et qu’il devien­drait pro­ba­ble­ment endé­mique comme les autres coro­na­vi­rus du rhume en cir­cu­la­tion. Lorsque nous savions qu’une approche stra­ti­fiée en fonc­tion de l’âge était opti­male (pro­tec­tion ciblée comme indi­qué dans la Décla­ra­tion de Great Bar­ring­ton) et non des poli­tiques de carte blanche lorsque nous dis­po­sions de preuves d’un dif­fé­ren­tiel de risque de décès mul­ti­plié par 1 000 entre un enfant et une per­sonne âgée. Nous connais­sions l’ef­fi­ca­ci­té et le suc­cès des trai­te­ments ambu­la­toires ambu­la­toires pré­coces pour réduire le risque d’hos­pi­ta­li­sa­tion et de décès chez les per­sonnes vulnérables.

    Il était clair très tôt que les groupes de tra­vail, les conseillers médi­caux et les déci­deurs ne lisaient pas les preuves, n’é­taient pas au cou­rant de la science ou des don­nées, ne com­pre­naient pas les preuves, n’ob­te­naient pas les preuves et étaient en aveugle à la science, sou­vent moti­vés par leurs propres pré­ju­gés, pré­ju­gés, arro­gance et ego. Ils res­tent enfer­més dans une pure négli­gence et paresse aca­dé­miques. Il était clair que la réponse n’é­tait pas une réponse de san­té publique. C’é­tait poli­tique dès le pre­mier jour et ça conti­nue aujourd’hui. 

    Une étude récente (pré-impres­sion) cap­ture l’es­sence et la catas­trophe d’une socié­té ver­rouillée et l’é­vic­tion de nos enfants en exa­mi­nant com­ment les enfants apprennent (de 3 mois à 3 ans) et en trou­vant dans toutes les mesures que « les enfants nés pen­dant la pan­dé­mie ont consi­dé­ra­ble­ment réduit les per­for­mances ver­bales, motrices et cog­ni­tives glo­bales par rap­port aux enfants nés avant la pan­dé­mie. Les cher­cheurs ont éga­le­ment signa­lé que « les hommes et les enfants des familles socio-éco­no­miques infé­rieures ont été les plus tou­chés. Les résul­tats sou­lignent que même en l’ab­sence d’in­fec­tion directe par le SRAS-CoV‑2 et de mala­die COVID-19, les chan­ge­ments envi­ron­ne­men­taux asso­ciés à la pan­dé­mie de COVID-19 affectent de manière signi­fi­ca­tive et néga­tive le déve­lop­pe­ment du nour­ris­son et de l’enfant. »

    Peut-être que Donald Lus­kin du Wall Street Jour­nal cap­ture le mieux ce dont nous avons été témoins de manière stable depuis le début de ces blo­cages non scien­ti­fiques et fer­me­tures d’é­coles : « Six mois après le début de la pan­dé­mie de Covid-19, les États-Unis ont main­te­nant mené deux expé­riences à grande échelle en san­té publique. —d’a­bord, en mars et avril, le ver­rouillage de l’é­co­no­mie pour arrê­ter la pro­pa­ga­tion du virus, et deuxiè­me­ment, depuis la mi-avril, la réou­ver­ture de l’é­co­no­mie. Les résul­tats sont là. Aus­si contre-intui­tif que cela puisse être, l’a­na­lyse sta­tis­tique montre que le ver­rouillage de l’é­co­no­mie n’a pas conte­nu la pro­pa­ga­tion de la mala­die et que sa réou­ver­ture n’a pas déclen­ché une deuxième vague d’infections.

    Le  Centre de contrôle des mala­dies de la Colom­bie-Bri­tan­nique (BCCDC) a publié un rap­port com­plet en sep­tembre 2020 sur l’im­pact des fer­me­tures d’é­coles sur les enfants et a consta­té que « i) les enfants repré­sentent une petite pro­por­tion des cas diag­nos­ti­qués de COVID-19, ont une mala­die moins grave et la mor­ta­li­té est rare ii) les enfants ne ne semble pas être une source majeure de trans­mis­sion du SRAS-CoV‑2 dans les ménages ou les écoles, une consta­ta­tion qui a été cohé­rente à l’é­chelle mon­diale iii) il existe des dif­fé­rences impor­tantes entre la façon dont la grippe et le SRAS-CoV‑2 sont trans­mis. Les fer­me­tures d’é­coles peuvent être moins effi­caces en tant que mesure de pré­ven­tion de la COVID-19 iv) les fer­me­tures d’é­coles peuvent avoir des consé­quences graves et impré­vues pour les enfants et les jeunes v) les fer­me­tures d’é­coles contri­buent à un plus grand stress fami­lial, en par­ti­cu­lier pour les femmes qui s’oc­cupent d’eux,

    Main­te­nant, des endroits comme l’Au­triche (novembre 2021) sont reve­nus dans le monde de la folie du ver­rouillage pour être dépas­sés par l’Aus­tra­lie. En effet, une illus­tra­tion du besoin fal­la­cieux de ces actions mal infor­mées est qu’elles sont menées face à des preuves scien­ti­fiques claires mon­trant que lors de strictes fer­me­tures socié­tales anté­rieures, des fer­me­tures d’é­coles, des man­dats de masque et des res­tric­tions socié­tales sup­plé­men­taires, le nombre de les cas ont augmenté !

    La réponse à la pan­dé­mie reste aujourd’­hui une réponse pure­ment politique.

    Ce qui suit est la tota­li­té actuelle de l’en­semble des preuves (études com­pa­ra­tives dis­po­nibles et élé­ments de preuve de haut niveau, rap­ports et dis­cus­sions) sur les blo­cages COVID-19, les masques, les fer­me­tures d’é­coles et les man­dats de masques. Il n’y a aucune preuve concluante à l’ap­pui des affir­ma­tions selon les­quelles l’une de ces mesures res­tric­tives a fonc­tion­né pour réduire la trans­mis­sion virale ou les décès. Les fer­me­tures étaient inef­fi­caces, les fer­me­tures d’é­coles étaient inef­fi­caces, les man­dats rela­tifs aux masques étaient inef­fi­caces et les masques eux-mêmes étaient et sont inef­fi­caces et nocifs. 

    Tableau 1 : Preuves mon­trant que les fer­me­tures de COVID-19, l’u­ti­li­sa­tion de masques faciaux, les fer­me­tures d’é­coles et les man­dats de masque étaient en grande par­tie inef­fi­caces et ont cau­sé des dom­mages écrasants

    [Lire la suite (très très long tableau de sources)…]

    Réponse
    • joss

      Autop­sie non prise en charge alors qu’on est tou­jours en phase 3 de l’es­sai cli­nique. Elle devrait être à la charge du pro­duc­teur, qui lui s’est orga­ni­sé pour n’en­gran­ger que les bénéfices…

      Concer­nant la mala­die de C‑Jakob et les vac­cins contre la covid, j’a­vais rele­vé ces recherches :
       ‑Else­vier https://​doi​.org/​1​0​.​1​0​1​6​/​j​.​b​b​r​c​.​2​0​2​1​.​0​3​.​100
       ‑https://​sci​vi​sion​pub​.com/​p​d​f​s​/​c​o​v​i​d​1​9​-​r​n​a​-​b​a​s​e​d​-​v​a​c​c​i​n​e​s​-​a​n​d​-​t​h​e​-​r​i​s​k​-​o​f​-​p​r​i​o​n​-​d​i​s​e​a​s​e​-​1​5​0​3​.​pdf
       ‑https://​www​.ema​.euro​pa​.eu/​e​n​/​d​o​c​u​m​e​n​t​s​/​a​s​s​e​s​s​m​e​n​t​-​r​e​p​o​r​t​/​c​o​m​i​r​n​a​t​y​-​e​p​a​r​-​p​u​b​l​i​c​-​a​s​s​e​s​s​m​e​n​t​-​r​e​p​o​r​t​_​e​n​.​pdf
      En page 31 : « Les réac­tifs uti­li­sés dans la fabri­ca­tion de la sub­stance active et dans l’é­ta­blis­se­ment de la lignée cel­lu­laire sont les seules matières d’o­ri­gine ani­male uti­li­sées dans la fabri­ca­tion de BNT162b2 (vac­cin Pfi­zer). Le deman­deur a iden­ti­fié la conta­mi­na­tion du pro­duit par des agents de l’en­cé­pha­lo­pa­thie spon­gi­forme trans­mis­sible (EST) comme le prin­ci­pal risque théo­rique asso­cié à ces ingré­dients et le risque est jugé minime. »

      Soit les prions pour­raient venir des pro­téines spike vac­ci­nales mal repliées, soit (voir le docu­ment EMA ci-des­sus) de réac­tifs uti­li­sés qui pour­raient se retrou­ver dans ces vaccins.
      Gros­so modo les prions sont des pro­téines « mal repliées » qui peuvent se répliquer :
      https://​www​.inserm​.fr/​d​o​s​s​i​e​r​/​m​a​l​a​d​i​e​s​-​p​r​i​o​n​s​-​m​a​l​a​d​i​e​-​c​r​e​u​t​z​f​e​l​d​t​-​j​a​k​ob/

      Réponse
  4. Colette TRUBLET

    Il est grand temps de chan­ger de sys­tème poli­tique, de faire tra­vailler l’In­tel­li­gence col­lec­tive au sein de conven­tions citoyennes, de lut­ter pour sup­pri­mer les conflits d’in­té­rêts puisque les élus et les lob­bies qui font les lois sont aus­si ceux qui en pro­fitent le plus. Avec une décen­tra­li­sa­tion vigou­reuse pour redis­tri­buer les cartes et le RIC la démo­cra­tie peut prendre un nou­veau souffle. Un per­sonne « Gilet jaune » abas­sour­die par les mon­ceaux de taxes et d’im­pôts récol­tés par l’È­tat deman­dait : « où va le pognon ? » Les sec­teurs de la san­té, la jus­tice, l’ins­truc­tion, l’hô­pi­tal, la police sont tous en per­di­tion. Donc je répète : où va le pognon ? Quelles sommes sont englou­ties par l’in­dus­trie phar­ma­ceu­tique ? Com­bien leur en fau­dra-t-il encore ? En 40 les popu­la­tions, de bonne foi, sont par­ties s’en­tre­tuer la fleur au fusil. l’in­dus­trie de l’ar­me­ment a fait for­tune. Aujourd’­hui les mêmes ( ? OU PAS ?) vont enri­chir les labo en se pre­nant pour des pas­soires à vac­cins avec la même confiance que ceux de la 2ème guerre ? J’exa­gère ? Je vou­drais croire que j’exa­gère. De tout mon cœur. A l’é­vi­dence la der­nière guerre a tué des mil­lions de gens, femmes, enfants, sol­dats tous sans dis­tinc­tion. La guerre contre le covid et ses variants sans fin va-t-elle tuer la démocratie ?

    Réponse
  5. isaie

    Cher Étienne Chouard , tout cela , ces com­men­taires légi­times mais qui ne révèlent RIEN de bien fon­da­men­tal sur les causes et rai­sons du Covid , Bar­né­rias dans la der­nière ver­sion de Hold UP , ne parle meme plus de Jean Ber­nard  » Four­tillan  » qui a dévoi­lé et révé­lé toute la véri­té sur cette plan­dé­mie orga­ni­sé par Schwab et Lagarde et le petit monde de Davos ..
    à la solde du D.S. et des cri­mi­nels de Davos .. ils endorment le peuple dans cette matrice avec leur holo­gramme en média vision .. quelle blague , mon pauvre Etienne , je ne sais pas si vous êtes vrai­ment aux cou­rant de ce qui se passe en Réa­li­té der­rière l’ écran vert de ces mon­tages et images holo­gra­phiques de ce ciné­ma ou  » grand théâtre  » qu’est ce monde sata­nique qui est entrain d’ être liqui­dé , et qui a déja per­du cette 3 e guerre mon­diale cyber­né­tique sans obus et top secrète qui se joue pour la mise à mort du 4 e Reich qui est en place depuis la fin du 3e reich .. Ils viennent de perdre la guerre contre l ’ Alliance ter­restre et inter­ga­lac­tique des mondes interstellaires ..
    Toute les puis­sance armées mili­taires ter­restres sont sous le com­man­de­ment du 6 e corps armé  » Space Force  » que Trump a mis en place en signant les accords de Jupi­ter avec l’ Alliance inter­ga­lac­tique qui était en lien dèja en 1953 ou1954 avec le Gal Hei­sen­ho­wer qui avait tout révé­lé à J.F. K ( rai­son pour laquelle Bush l’a fait assas­si­né ) .. sur le com­plexe mili­ta­ro indus­triel qui était entre les mains des forces rép­ti­loides , le D.S . le marais que l’al­liance mili­taire mon­diale avec Trump comme Potus .. est entrain d’assécher..

    Réponse

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