Bonjour à tous 🙂
Je viens de finir une retranscription et une synthèse de nos échanges de la semaine dernière, aidé par une IA,
et je vous ai mis le résultat ici, dans le le billet correspondant, c’est assez bluffant.
La semaine dernière, on a donc déblayé beaucoup de problèmes terribles de la justice actuelle en prévoyant :
- que, désormais, presque toutes les juridictions deviennent collégiales et tirées au sort (comme aux Assises) ;
 - que les juges rendent désormais des comptes devant une Chambre de contrôle populaire des Magistrats (tirée au sort) ;
 - qu’un large financement du service public de la Justice (beaucoup plus rapide, donc) est rendu enfin possible grâce un monopole public de la création monétaire (sous contrôle citoyen) ;
 - et une transformation en service public des métiers du droit, notamment des avocats : les plus riches ne peuvent plus se payer les meilleurs avocats.
 On a donc essayé d’éviter que ne soit rendue une « justice de classe » (qui est forcément une injustice).
Cette semaine, en plus de quelques sujets importants comme l’idée de l’élection des juges, ou la liste des grands principes de la justice, il nous reste à traiter un gros morceau : le contrôle populaire du respect de la constitution, ce qu’on peut appeler la justice constitutionnelle. Ça, c’est vraiment important.
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On se retrouve donc le 5 novembre, mercredi prochain, à 17H, avec Marc, Léo (et sans doute d’autres personnes), et vous si vous voulez bien, pour continuer nos réflexions constituantes sur la justice et les juges : cette fois, on va donc approfondir le cas du plus haut niveau du droit, celui de LA JUSTICE CONSTITUTIONNELLE ; autrement dit le cas des JUGES CONSTITUTIONNELS : quel Conseil constitutionnel voulons-nous ?
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Je rappelle les problèmes à régler que j’avais évoqués rapidement dans mon billet précédent (et qu’on n’a pas pu traiter la semaine dernière, mais qui relèvent bien du sujet de cette semaine) :
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. Juges constitutionnels (Conseil constitutionnel) au service secret des multinationales (entretiens secrets nommés « Portes étroites ») et s’autonomisant rapidement (dès la mort de de Gaulle) pour mettre en place un gouvernement des juges, arbitraire, dangereux et inconstitutionnel (concepts flous et arbitraires, ou même carrément obscurs comme « bloc de constitutionnalité », « objectifs à valeur constitutionnelle », etc.),
.. Aucune règle, aucun organe, aucun juge indépendant, ne permet au peuple d’attaquer lui-même ses représentants et de mettre en cause LE DROIT (règlements scélérats, lois scélérates, traités scélérats, jugements scélérats, jugements constitutionnels scélérats…).
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Autrement dit, aucun organe ni aucune procédure populaire ne permet de GARANTIR L’EXERCICE RÉEL du DROIT DE RÉSISTANCE À L’OPPRESSION, c’est-à-dire un droit contre le droit abusif, une vraie capacité de nous défendre nous-mêmes contre des représentants qui viendraient à violer la constitution et à devenir tyranniques.
J’ai hâte de vous y retrouver, pour nos conversations d’adultes politiques 🙂
Étienne.




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