[ABUS DE POUVOIR MÉDICAL] « PFIZER PAPERS, Les crimes de Pfizer contre l’humanité », un livre-enquête important de Naomi Wolf et 3 250 experts coordonnés par Amy Kelly

24/06/2025 | 0 commentaires

Chers amis,

Je suis en train de lire un livre impor­tant, impres­sion­nant, révol­tant, vou­lu par Nao­mi Wolf et réa­li­sé avec 3 250 experts de War­Room et Dai­ly­Clout coor­don­nés par Amy Kel­ly pour lire, com­prendre et vul­ga­ri­ser les 450 000 pages de docu­ments que Pfi­zer a four­nis à la FDA pour obte­nir l’au­to­ri­sa­tion de mise sur le mar­ché (AMM) de leur poi­son fal­la­cieu­se­ment nom­mé « vac­cin COVID ».


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Pour­sui­vie en jus­tice par l’a­vo­cat Aaron Siri, la FDA a deman­dé au juge de gar­der secrètes (!) ces 450 000 pages, et heu­reu­se­ment, le juge a refu­sé : il en a ordon­né la publi­ca­tion. Mais 450 000 pages, c’est inhu­main, per­sonne ne peut lire une telle somme de docu­ments  — et c’est d’ailleurs fait pour ça : depuis long­temps, Big Phar­ma noie les auto­ri­tés sani­taires sous des tonnes de papier illi­sibles pour échap­per à des contrôles dignes de ce nom. Ce livre est la syn­thèse d’un immense tra­vail de 3 500 experts béné­voles pour déjouer les plans mons­trueux de Pfi­zer, et les preuves des crimes de Pfi­zer sont acca­blantes.

Nao­mi Wolf : « Pfi­zer savait dès avril 2021 que le cœur des mineurs était endom­ma­gé par l’in­jec­tion… et plu­tôt que de se mani­fes­ter et de nous le dire à tous… ils ont mené une cam­pagne de pro­pa­gande pen­dant tout l’é­té… pour que les jeunes et les ado­les­cents se fassent injec­ter. » (Source)

Je repro­duis ci-des­sous l’in­tro­duc­tion de Nao­mi Wolf et la table des matières de ce réqui­si­toire, en vous recom­man­dant de lire ce livre et de le faire lire (l’of­frir ?) à tous les fana­tiques de la piqûre qui col­la­borent, depuis 2021 et encore aujourd’­hui, à ce crime mondial.

Bonne lec­ture.

Étienne.

PS : ce livre est un beau livre, en cou­leur et très soli­de­ment relié, c’est un livre de tra­vail, fait pour être lon­gue­ment manipulé.


4e de couverture :

Pfi­zer Papers pré­sente de nou­veaux rap­ports rédi­gés par des cher­cheurs béné­voles de War­Room/DailyClout, qui s’appuient sur les docu­ments de source pri­maire rela­tifs aux essais cli­niques de Pfi­zer qui ont été divul­gués sur déci­sion de jus­tice, ain­si que sur la lit­té­ra­ture médi­cale connexe. Le livre montre avec force que l’essai cli­nique du vac­cin COVID-19 à ARNm de Pfi­zer était pro­fon­dé­ment défec­tueux et que la socié­té phar­ma­ceu­tique savait dès novembre 2020 que son vac­cin n’était ni sûr ni effi­cace. Les rap­ports détaillent les effets néfastes des vac­cins sur l’ensemble du corps humain, y com­pris sur le sys­tème repro­duc­teur ; ils montrent que les femmes souffrent d’événements indé­si­rables liés aux vac­cins dans une pro­por­tion de 3 pour 1 ; ils révèlent que la myo­car­dite induite par les vac­cins n’est ni rare, ni bénigne, ni tran­si­toire ; et, ce qui est cho­quant, ils démontrent que les vac­cins à ARNm ont créé une nou­velle caté­go­rie de mala­dies mul­ti­sys­té­miques et mul­ti-orga­niques, que l’on appelle la « mala­die CoVax ».
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Bien que Pfi­zer se soit enga­gée dans son propre pro­to­cole d’essai cli­nique à suivre la cohorte pla­ce­bo de son essai pen­dant 24 mois, la firme a vac­ci­né envi­ron 95 % des béné­fi­ciaires du pla­ce­bo en mars 2021, éli­mi­nant ain­si le groupe de contrôle de l’essai et ren­dant impos­sible toute déter­mi­na­tion com­pa­ra­tive de la sécurité.
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Tout aus­si impor­tant, Pfi­zer Papers montre clai­re­ment que la Food and Drug Admi­nis­tra­tion éta­su­nienne était au cou­rant des lacunes de l’essai cli­nique de Pfi­zer ain­si que des dom­mages cau­sés par le vac­cin COVID à ARNm de l’entreprise, met­tant ain­si en évi­dence l’échec lamen­table de la FDA à rem­plir sa mis­sion de « [pro­té­ger] la san­té publique en assu­rant l’innocuité, l’efficacité et la sécu­ri­té des médi­ca­ments humains et vété­ri­naires, des pro­duits bio­lo­giques et des dis­po­si­tifs médicaux ».
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Pfi­zer Papers montre en détail com­ment Big Phar­ma, le gou­ver­ne­ment éta­su­nien et les orga­nismes de san­té se retranchent der­rière la large immu­ni­té juri­dique offerte par la loi dite « PREP Act » lorsqu’ils créent, pres­crivent et admi­nistrent des vac­cins ; et, sous ce bou­clier de pro­tec­tion, font ce qui est le mieux pour leurs résul­tats finan­ciers plu­tôt que pour la san­té et le bien-être des Étasuniens.
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« Pfi­zer savait dès février 2021 que son vac­cin COVID à ARNm était asso­cié à une myriade d’événements indé­si­rables graves, dont plus de 1 200 décès signa­lés dans les 3 pre­miers mois sui­vant son déploiement. »
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Naomi Wolf
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Nao­mi Wolf est une jour­na­liste, écri­vaine et mili­tante éta­su­nienne née en 1962. Elle est diplô­mée de Yale et d’Oxford ; a ensei­gné les études vic­to­riennes comme pro­fes­seur invi­té à l’Institut des sciences humaines de l’université de Sto­ny Brook, et la lit­té­ra­ture de plai­doyer à l’université George Washing­ton. Elle est éga­le­ment titu­laire d’un doc­to­rat hono­ri­fique du Sweet Briar Col­lege et a été élue « Femme de l’année » par Gla­mour. Elle a été mariée à David Shi­pley, qui a été la « plume » du pré­sident Bill Clin­ton. Elle est ini­tia­le­ment connue pour ses ouvrages fémi­nistes, notam­ment Quand la beau­té fait mal (1990), qui cri­tique les pres­sions esthé­tiques impo­sées aux femmes. Au fil des ans, elle a élar­gi son champ d’enquête, et a écrit des articles de révé­la­tion avant tout le monde – du scan­dale des implants mam­maires en sili­cone à la répres­sion coor­don­née par le minis­tère de la Sécu­ri­té inté­rieure contre Occu­py Wall Street, en pas­sant par le dérè­gle­ment mens­truel consé­cu­tif au vac­cin à ARNm contre le Covid-19. Elle est l’auteur de 10 livres, dont 3 best-sel­lers du New York Times et des Pfi­zer Papers (Edi­tions mar­co piet­teur, 2025).
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Début de l’INTRODUCTION par Naomi Wolf :

« Le livre que vous avez entre les mains est le résul­tat d’une fan­tas­tique série de confluences. En outre il pré­sente, dans un for­mat dis­po­nible en librai­rie pour la pre­mière fois, des pièces qui ont déjà chan­gé le cours de l’histoire.
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Lec­teur, vous êtes sur le point d’embarquer pour un voyage à tra­vers un récit extra­or­di­naire – un récit dont les élé­ments défient presque l’entendement.
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Les Pfi­zer Papers sont le fruit du tra­vail d’un groupe d’inconnus – des per­sonnes ordi­naires dotées de com­pé­tences extra­or­di­naires, vivant à dif­fé­rents endroits du globe, avec des for­ma­tions et des spé­cia­li­tés dif­fé­rentes – qui se sont réunis, sans aucune contre­par­tie finan­cière ou pro­fes­sion­nelle, par pure bon­té de cœur et par amour de la méde­cine et de la science véri­tables, pour entre­prendre un pro­jet de recherche rigou­reux, dou­lou­reu­se­ment détaillé et com­plexe, qui a été mené de 2022 jusqu’à aujourd’hui, et qui a tou­jours cours.
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La matière qu’ils ont lue et ana­ly­sée consis­tait en 450 000 pages de docu­ments, tous rédi­gés dans un lan­gage extrê­me­ment dense et technique.
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Ce pro­jet de recherche, mobi­li­sant une équipe épar­pillée et pour­sui­vi sans relâche sous la direc­tion de la DG de Dai­ly­Clout, Amy Kel­ly, direc­trice de pro­jet remar­qua­ble­ment douée, a mis à genoux l’une des ins­ti­tu­tions les plus impor­tantes et les plus cor­rom­pues du monde : Pfi­zer. Ce pro­jet, mené par 3 250 volon­taires de tous pays qui ont col­la­bo­ré vir­tuel­le­ment et sont deve­nus des amis et des col­lègues, a fait perdre des mil­liards de dol­lars de reve­nus à un géant mon­dial de l’industrie phar­ma­ceu­tique. Il a contra­rié les plans des hommes poli­tiques les plus influents de la pla­nète. Il a contour­né la cen­sure des entre­prises tech­no­lo­giques les plus puis­santes de la planète.
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C’est la der­nière ver­sion de l’histoire de David contre Goliath.
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Elle a com­men­cé lorsque l’avocat Aaron Siri a inten­té avec suc­cès une action en jus­tice contre la Food and Drug Admi­nis­tra­tion pour l’obliger à divul­guer les « docu­ments Pfi­zer ». Il s’agit des docu­ments internes de Pfi­zer (comme dit plus haut, cela repré­sente 450 000 pages) qui décrivent en détail les essais cli­niques menés par la firme pour son injec­tion COVID à ARNm. Ces essais ont été entre­pris pour obte­nir le sésame ultime pour une socié­té phar­ma­ceu­tique : l’« EUA », ou auto­ri­sa­tion d’utilisation d’urgence de la FDA. La FDA a accor­dé l’EUA pour les plus de 16 ans à Pfi­zer en décembre 2020. La « pan­dé­mie », bien sûr (une crise de san­té publique dont un de mes livres, The Bodies of Others, a confir­mé qu’elle impli­quait des don­nées sur les « infec­tions » gon­flées et tru­quées et une docu­men­ta­tion faus­sée sur la mor­ta­li­té), est deve­nue le pré­texte de l’« urgence » qui a conduit la FDA à accor­der l’autorisation d’utilisation d’urgence au nou­veau pro­duit de Pfi­zer (et de Moder­na). L’EUA est le lais­sez-pas­ser, si l’on peut dire, qui a per­mis à Pfi­zer de se pré­ci­pi­ter sur le mar­ché avec un pro­duit pas entiè­re­ment testé.
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Les Pfi­zer Papers contiennent éga­le­ment des élé­ments sur ce qui s’est pas­sé après la mise sur le mar­ché, c’est-à-dire pen­dant les 3 mois (de décembre 2020 à février 2021) au cours des­quels le vac­cin a été dis­tri­bué au public. Tous les prin­ci­paux porte-parole et les médias ven­dus ont qua­li­fié l’injection de « sûre et effi­cace », lisant ce qui était un script centralisé.
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De nom­breuses per­sonnes ayant reçu cette injec­tion, lors de son déploie­ment en 2020−2021−2022 et jusqu’à aujourd’hui, n’ont pas réa­li­sé que les tests nor­maux de sécu­ri­té d’un nou­veau vac­cin – tests qui prennent géné­ra­le­ment 10 à 12 ans – avaient tout sim­ple­ment été contour­nés à la faveur de l’« état d’urgence » et de l’« auto­ri­sa­tion d’utilisation d’urgence » de la FDA. Elles n’ont pas com­pris que le véri­table « test » était en fait l’observation par Pfi­zer et la FDA de ce qui leur arri­vait, à elles et à leurs proches, après que ces citoyens eurent remon­té leur manche et se furent sou­mis à la piqûre. Nous n’oublierons jamais que plu­sieurs mil­lions de ces per­sonnes qui se sont sou­mises à l’injection ont été « contraintes » de la rece­voir, sous peine de perdre leur emploi, de voir leurs études sus­pen­dues ou de perdre leur poste dans l’armée si elles refu­saient ; dans cer­tains États amé­ri­cains et ter­ri­toires d’outre-mer, les gens ont éga­le­ment été pri­vés de leur droit de prendre les trans­ports, de fran­chir les fron­tières, d’aller à l’école ou à l’université, de béné­fi­cier de cer­taines pro­cé­dures médi­cales ou d’entrer dans des lieux tels que des églises et des syna­gogues, des res­tau­rants et des salles de sport – s’ils refu­saient l’injection.
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Dans le cadre du pro­cès inten­té par Aaron Siri, la FDA a deman­dé au juge de ne pas divul­guer les docu­ments de Pfi­zer avant 75 ans. Pour­quoi une agence gou­ver­ne­men­tale sou­hai­te­rait-elle dis­si­mu­ler cer­tains docu­ments jusqu’à ce que la géné­ra­tion actuelle, celle qui est concer­née par ces docu­ments, soit morte et dis­pa­rue ? Il ne sau­rait y avoir de bonne réponse à cette question.
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Heu­reu­se­ment pour l’Histoire, et heu­reu­se­ment pour les mil­lions de per­sonnes dont la vie a été sau­vée par cette déci­sion, le juge a refu­sé la demande de la FDA et a impo­sé la publi­ca­tion des docu­ments, à rai­son d’une tranche de 55 000 pages par mois.
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Quand j’ai enten­du par­ler de ça, je me suis sen­tie concer­née en tant que jour­na­liste. Je savais qu’aucun jour­na­liste n’avait la bande pas­sante néces­saire pour exa­mi­ner des docu­ments de ce volume. Je savais aus­si que pra­ti­que­ment aucun jour­na­liste n’avait la for­ma­tion ou les com­pé­tences néces­saires pour com­prendre le lan­gage mul­ti­di­men­sion­nel et tech­ni­que­ment très spé­cia­li­sé des rap­ports. Pour com­prendre les rap­ports, il faut avoir des connais­sances en immu­no­lo­gie, en sta­tis­tiques, en bio­sta­tis­tiques, en patho­lo­gie, en onco­lo­gie, en méde­cine spor­tive, en obs­té­trique, en neu­ro­lo­gie, en car­dio­lo­gie, en phar­ma­co­lo­gie, en bio­lo­gie cel­lu­laire, en chi­mie et en bien d’autres spé­cia­li­tés. Outre des méde­cins et des scien­ti­fiques, pour com­prendre de quoi il s’agissait réel­le­ment dans les docu­ments de Pfi­zer, il fal­lait éga­le­ment des per­sonnes connais­sant par­fai­te­ment les pro­ces­sus régle­men­taires du gou­ver­ne­ment et de l’industrie phar­ma­ceu­tique, des per­sonnes com­pre­nant le pro­ces­sus d’approbation de la FDA, des spé­cia­listes de la fraude médi­cale ; et enfin, pour com­prendre quels crimes ont été com­mis dans les docu­ments, il fal­lait des avocats.
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Je crai­gnais qu’en l’absence de per­sonnes pos­sé­dant toutes ces com­pé­tences pour lire les docu­ments, leur volume et leur com­plexi­té ne les fissent tom­ber « aux oubliettes ».
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C’est là qu’intervient Steve Ban­non, ancien offi­cier de marine, ancien ban­quier d’affaires de Gold­man Sachs, ancien conseiller du pré­sident Trump et actuel ani­ma­teur du pod­cast poli­tique le plus popu­laire d’Amérique et l’un des plus écou­tés dans le monde, War­Room.
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Lui et moi venons d’extrémités oppo­sées de l’échiquier poli­tique. J’ai été démo­crate toute ma vie, conseillère de la cam­pagne de réélec­tion du pré­sident Bill Clin­ton et de la cam­pagne pré­si­den­tielle d’Al Gore. Lui, bien sûr, est un répu­bli­cain convain­cu deve­nu MAGA [Par­ti­san de Donald Trump (MAGA = Make Ame­ri­ca Great Again, le slo­gan de la cam­pagne pré­si­den­tielle 2024 de Trump). (Note du tra­duc­teur – NdT)] .
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En juin 2021, avant la publi­ca­tion des docu­ments de Pfi­zer, on m’a fait sau­ter mes comptes sur les réseaux sociaux parce que j’y avais signa­lé que des femmes fai­saient état de troubles mens­truels après avoir reçu des injec­tions à ARNm. En tant qu’auteure de longue date sur les ques­tions de san­té sexuelle et repro­duc­tive des femmes, je savais qu’il s’agissait d’un signal de dan­ger grave et que cet effet secon­daire affec­te­rait la fer­ti­li­té. (Ceci dit, n’importe quel élève de 4e était capable de l’anticiper.) Après avoir publié cet aver­tis­se­ment, j’ai été ban­nie de Twit­ter, Face­book, You­Tube et d’autres pla­te­formes. J’ai été atta­quée dans le monde entier, d’un seul coup, en tant qu’« anti-vax » et « com­plo­tiste » ; et ma vie d’auteure fémi­niste connue et à suc­cès, au sein des médias tra­di­tion­nels, a pris fin. Plus per­sonne dans cet uni­vers ne vou­lait me par­ler, relayer mon tra­vail ou répondre à mes appels. Je n’existais plus.
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(Il s’est avé­ré, à la suite de deux pro­cès inten­tés avec suc­cès en 2023 par les pro­cu­reurs géné­raux du Mis­sou­ri et de la Loui­siane, que ce sont en fait la Mai­son-Blanche, le CDC et des hauts res­pon­sables d’autres agences gou­verne- men­tales, y com­pris le minis­tère de la Sécu­ri­té inté­rieure, qui ont illé­ga­le­ment fait pres­sion sur Twit­ter et Face­book pour qu’ils sup­priment mon tweet de mise en garde, pour qu’ils me ferment leurs portes et pour qu’ils lancent un avis de recherche pour des mes­sages simi­laires. Cette cen­sure fait actuel­le­ment l’objet d’une déci­sion pen­dante de la Cour suprême, qui doit déter­mi­ner si elle a vio­lé le pre­mier amendement.)
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Dans cette période sombre de ma vie, à ma grande sur­prise, je reçus un mes­sage du pro­duc­teur de Steve Ban­non, qui m’invitait à par­ti­ci­per à War­Room. J’y fis part de mes pré­oc­cu­pa­tions rela­tives à la san­té repro­duc­tive des femmes à la suite de l’injection à ARNm et, contre toute attente, il se mon­tra res­pec­tueux, réflé­chit aux impli­ca­tions et prit la ques­tion très au sérieux. J’y suis allée à plu­sieurs reprises pour en par­ler, ain­si que d’autres pré­oc­cu­pa­tions liées aux injec­tions d’ARNm. J’étais sou­la­gée de dis­po­ser d’un espace où je pou­vais par­ta­ger ces aver­tis­se­ments urgents. En même temps, j’étais triste de voir que la gauche, qui était cen­sée défendre le fémi­nisme, sem­blait ne pas se sou­cier du tout des risques graves pour les femmes et les bébés à naître. J’ai réa­li­sé l’ironie du fait qu’une per­sonne que l’on m’avait appris à consi­dé­rer comme le diable incar­né se sou­ciait en fait davan­tage des femmes et des bébés que tous mes récents anciens col­lègues, y com­pris les fémi­nistes du sec­teur de la san­té, qui avaient tou­jours par­lé si fort du bien-être et des droits des femmes.
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Compte tenu de mes appa­ri­tions dans l’émission War­Room jusqu’en 2022, il était natu­rel que le sujet des docu­ments Pfi­zer soit abor­dé dans cette émis­sion lorsque les docu­ments ont été ren­dus publics. Je fis part de ma crainte qu’ils ne fussent per­dus pour l’Histoire en rai­son de leur volume et du lan­gage tech­nique employé dedans. Ban­non me répon­dit quelque chose du genre « Eh bien lan­cez un appel à volon­taires pour mon­ter une équipe pour les déchiffrer ».
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J’ai été prise au dépour­vu, car je n’avais aucune com­pé­tence en la matière, ni aucune idée de la façon de faire une telle chose. J’ai répon­du quelque chose comme « Bien sûr ».
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C’est ain­si que ma pla­te­forme d’informations et d’opinions Dai­ly­Clout a été inon­dée d’offres pro­ve­nant du monde entier, de la part d’auditeurs de War­Room pos­sé­dant les com­pé­tences requises, pour déchif­frer les docu­ments de Pfi­zer. J’étais ter­ri­fiée. C’était le chaos. J’avais d’excellents col­la­bo­ra­teurs dans mon équipe. Mais aucun d’entre nous ne savait com­ment gérer ou même orga­ni­ser le déluge de cour­riels ; nous ne savions pas com­ment étu­dier les mil­liers de CV ; et même une fois que nous avons eu « embar­qué » ces mil­liers de per­sonnes dans l’aventure, dans dif­fé­rents fuseaux horaires, dans « le pro­jet », nos boîtes de récep­tion sont deve­nues encore plus ter­ri­fiantes, car il était lit­té­ra­le­ment impos­sible de ran­ger 3250 experts dans un orga­ni­gramme, capables de tra­vailler sys­té­ma­ti­que­ment sur ces docu­ments. Les cour­riels se mélan­geaient ou res­taient sans réponse. Les gens posaient des ques­tions aux­quelles nous ne pou­vions pas répondre. Nous n’avions aucune idée de la struc­ture qui per­met­trait à un si grand nombre d’experts dis­per­sés de tra­vailler sur ce vaste ensemble de documents.
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Quelques semaines plus tard, alors que j’étais déses­pé­rée, Ban­non m’invita de nou­veau. Il me deman­da où en était le pro­jet et je lui répon­dis, plus opti­miste que je ne le pen­sais, que de nom­breuses per­sonnes nous avaient rejoints et qu’elles com­men­çaient à éplu­cher les docu­ments. « J’imagine que vous allez com­men­cer à publier des rap­ports », deman­da-t-il. « Bien sûr » répon­dis-je, hor­ri­fiée d’être à ce point dépas­sée par les événements.
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N’ayant jamais tra­vaillé dans une entre­prise, il ne m’était pas venu à l’esprit qu’une série de rap­ports était la forme que devait prendre l’analyse des documents.
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Il s’est alors pro­duit un évé­ne­ment que je ne peux que qua­li­fier de pro­vi­den­tiel. Nous avons lan­cé un appel à volon­taires pour trou­ver un chef de pro­jet, et Amy Kel­ly nous a contac­tés. Mme Kel­ly est une chef de pro­jet cer­ti­fiée Six Sig­ma, avec une grande expé­rience dans la ges­tion de pro­jets tech­no­lo­giques et de télé­com­mu­ni­ca­tions. Elle est éga­le­ment un lea­der d’une effi­ca­ci­té tout bon­ne­ment inex­pli­cable. Le jour où elle a mis le nez dans le chaos qui régnait dans les boîtes de récep­tion, le vent est retom­bé. La paix et la pro­duc­ti­vi­té ont pré­va­lu. Mme Kel­ly a orga­ni­sé sans effort les volon­taires en six groupes de tra­vail, avec un comi­té direc­teur à la tête de cha­cun d’entre eux, et le tra­vail pro­pre­ment dit a commencé.
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Je ne peux expli­quer l’ampleur, la flui­di­té et l’efficacité du tra­vail qui a sui­vi que par le fait qu’il s’est dérou­lé dans un état de grâce.
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Depuis deux ans que Mme Kel­ly et les volon­taires tra­vaillent ensemble, ils ont exa­mi­né 2 369 docu­ments et fichiers de don­nées tota­li­sant des cen­taines de mil­liers de pages, et ont publié près d’une cen­taine de rap­ports. J’ai appris aux volon­taires à rédi­ger ces rap­ports dans un lan­gage com­pré­hen­sible par tous, ce qui me sem­blait très impor­tant pour maxi­mi­ser leur impact. Et Amy Kel­ly a méti­cu­leu­se­ment révi­sé et édi­té la qua­si-tota­li­té de ces rapports.
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Les 46 pre­miers rap­ports ont été publiés par nos soins. Il était très impor­tant pour nous qu’ils soient publiés sous une forme phy­sique, et pas seule­ment numé­rique, car nous vou­lions que les gens puissent les remettre à leurs méde­cins, à leurs proches, à leurs repré­sen­tants au Congrès.
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Ces 46 rap­ports ont per­mis de faire la lumière sur des évé­ne­ments majeurs. Nous avons appris que Pfi­zer savait, 3 mois après le lan­ce­ment de son vac­cin en décembre 2020, qu’il ne per­met­tait pas d’arrêter le COVID. Pfi­zer par­lait d’« échec du vac­cin » et d’« échec de l’efficacité ». L’un des « évé­ne­ments indé­si­rables » les plus cou­rants dans les docu­ments de Pfi­zer est le « COVID ».
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Pfi­zer savait que les com­po­sants du vac­cin (les nano­par­ti­cules lipi­diques, une graisse indus­trielle, enro­bées de poly­éthy­lène gly­col, un sous-pro­duit du pétrole ; l’ARNm ; et la pro­téine spike) ne res­taient pas dans le muscle del­toïde, comme l’ont pré­ten­du tous les porte-parole. Au contraire, ils ont tra­ver­sé toutes les mem­branes du corps humain – y com­pris la bar­rière héma­to-en- cépha­lique – et se sont accu­mu­lés dans le foie, les glandes sur­ré­nales, la rate, le cer­veau et, pour les femmes, dans les ovaires. Le Dr Chand­ler n’a vu aucun méca­nisme per­met­tant à ces sub­stances de quit­ter l’organisme, de sorte que chaque injec­tion semble en accu­mu­ler davan­tage dans les organes.
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Pfi­zer a embau­ché 2400 per­sonnes à temps plein en ren­fort pour absor­ber « l’augmentation impor­tante des rap­ports d’événements indé­si­rables » sou­mis à la base de don­nées World­wide Safe­ty de l’entreprise.
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Pfi­zer savait dès avril 2021 que les injec­tions endom­ma­geaient le cœur des jeunes.
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Le 28 février 2021, 90 jours seule­ment après le lan­ce­ment public du vac­cin COVID, Pfi­zer savait que son injec­tion était liée à une myriade d’événements indé­si­rables. Loin d’être des « fris­sons », de la « fièvre » ou de la « fatigue », avan­cés par le CDC et d’autres auto­ri­tés comme étant les effets secon­daires les plus inquié­tants, les effets secon­daires réels étaient catas­tro­phi­que­ment graves.
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Ces effets secon­daires com­pre­naient : la mort (que Pfi­zer réper­to­rie comme un « évé­ne­ment indé­si­rable grave »). En effet, plus de 1233 décès ont été enre­gis­trés au cours des trois pre­miers mois de mise à dis­po­si­tion du médicament.
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Mais aus­si : COVID-19 sévère ; lésions hépa­tiques ; évé­ne­ments indé­si­rables neu­ro­lo­giques ; para­ly­sie faciale ; lésions rénales ; mala­dies auto-immunes ; enge­lures (forme loca­li­sée de vas­cu­la­rite qui touche les doigts et les orteils) ; syn­drome de dys­fonc­tion­ne­ment d’organes mul­tiples (lorsque plus d’un sys­tème orga­nique est défaillant à la fois) ; acti­va­tion d’infections her­pé­tiques zos­té­riennes dor­mantes ; lésions de la peau et des muqueuses ; pro­blèmes res­pi­ra­toires ; struc­ture pul­mo­naire endom­ma­gée ; insuf­fi­sance res­pi­ra­toire ; syn­drome de détresse res­pi­ra­toire aiguë (lésion pul­mo­naire dans laquelle du liquide s’écoule des vais­seaux san­guins dans le tis­su pul­mo­naire, pro­vo­quant une rigi­di­té qui rend la res­pi­ra­tion plus dif­fi­cile et entraîne une réduc­tion des échanges d’oxygène et de dioxyde de car­bone); et le SRAS (ou SRAS-CoV‑1, qui n’avait pas été obser­vé dans le monde depuis 2004, mais qui appa­raît dans les docu­ments de Pfi­zer en tant qu’effet secon­daire des injections).
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Des mil­liers de per­sonnes souf­frant de dou­leurs arti­cu­laires de type arthri­tique, l’un des effets secon­daires les plus cou­rants, ont été enre­gis­trées. D’autres mil­liers de per­sonnes ont souf­fert de dou­leurs mus­cu­laires, le deuxième effet secon­daire le plus fré­quent. Ensuite, des mala­dies san­guines à une échelle indus­trielle : caillots de sang, caillots pul­mo­naires, phlé­bites ; throm­bo-cyto­pé­nies throm­bo­tiques (mala­die de coa­gu­la­tion des vais­seaux san­guins) ; vas­cu­la­rites (des­truc­tion des vais­seaux san­guins par l’inflammation) ; des taux astro­no­miques de troubles neu­ro­lo­giques – démence, trem­ble­ments, Par­kin­son, Alz­hei­mer, épi­lep­sie. Des affec­tions cuta­nées affreuses. Plé­thore de pro­blèmes car­diaques : myo­car­dites, péri­car­dites, tachy­car­die, aryth­mie, etc. La moi­tié des évé­ne­ments indé­si­rables graves liés au foie, y com­pris les décès, se sont pro­duits dans les 72 heures sui­vant l’injection. La moi­tié des acci­dents vas­cu­laires céré­braux ont eu lieu dans les 48 heures sui­vant l’injection.
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Mais ce qui res­sort vrai­ment des 46 pre­miers rap­ports, c’est que, bien que le COVID soit osten­si­ble­ment une mala­die res­pi­ra­toire, les docu­ments ne se concentrent pas sur les pou­mons ou les muqueuses, mais plu­tôt sur la per­tur­ba­tion de la repro­duc­tion humaine, de manière inquié­tante et constante.
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Au moment où le vac­cin de Pfi­zer a été déployé dans la popu­la­tion, le géant phar­ma­ceu­tique savait qu’il allait tuer des bébés et nuire consi­dé­ra­ble­ment à la repro­duc­tion des femmes et des hommes. Les docu­ments indiquent clai­re­ment que le fait de nuire à la capa­ci­té de repro­duc­tion de l’homme et de pro­vo­quer des avor­te­ments spon­ta­nés de bébés « n’est pas un beug, c’est une caractéristique ».
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Pfi­zer a deman­dé aux hommes vac­ci­nés d’utiliser deux formes de contra­cep­tion fiables ou de s’abstenir de tout rap­port sexuel avec des femmes en âge de pro­créer. Dans son pro­to­cole, l’entreprise a défi­ni l’« expo­si­tion » au vac­cin comme com­pre­nant le contact peau à peau, l’inhalation et le contact sexuel. Pfi­zer a accou­plé des rats femelles vac­ci­nés et des rats mâles « non trai­tés », puis a exa­mi­né ces mâles, ces femelles et leur pro­gé­ni­ture à la recherche d’une « toxi­ci­té » liée au vac­cin. Sur la base de 44 rats seule­ment (et d’aucun être humain), Pfi­zer n’a décla­ré aucun effet néga­tif sur « les per­for­mances d’accouplement, la fer­ti­li­té ou tout para­mètre ova­rien ou uté­rin […] ni sur la sur­vie, la crois­sance ou le déve­lop­pe­ment embryon­naire, fœtal ou post­na­tal », l’implication étant que son vac­cin COVID était sûr pen­dant la gros­sesse et ne nui­sait pas aux bébés. Pfi­zer savait que les nano­par­ti­cules lipi­diques sont connues depuis des années pour dégra­der les sys­tèmes sexuels, et Amy Kel­ly a en fait consta­té que les nano­par­ti­cules, dont les nano­par­ti­cules lipi­diques sont un sous-type, tra­versent la bar­rière sang-tes­ti­cule et endom­magent les cel­lules de Ser­to­li, les cel­lules de Ley­dig et les cel­lules ger­mi­nales des hommes. Ces cel­lules sont les usines de la mas­cu­li­ni­té, affec­tant les hor­mones qui trans- forment les gar­çons à l’adolescence en hommes, avec des voix graves, des épaules larges et la capa­ci­té d’engendrer des enfants. Nous ne savons donc pas si les bébés gar­çons nés de mères vac­ci­nées devien­dront des adultes mâles et fer­tiles. Pfi­zer a énu­mé­ré les dom­mages mens­truels qu’elle savait cau­ser à des mil­liers de femmes ; ces dom­mages vont des femmes qui ont des sai­gne­ments tous les jours à celles qui ont leurs règles deux fois par mois, à celles qui n’ont pas de règles du tout, aux femmes qui ont des hémor­ra­gies et des pertes de tis­sus, aux femmes méno­pau­sées et post-méno­pau­sées qui recom­mencent à sai­gner. Les scien­ti­fiques de Pfi­zer ont cal­me­ment obser­vé et noté tout cela, mais n’ont rien dit aux femmes.
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Des bébés ont souf­fert et sont morts. Dans une par­tie des docu­ments, plus de 80 % des gros­sesses sui­vies se sont sol­dées par une fausse couche ou un avor- tement spon­ta­né. Dans une autre sec­tion des docu­ments, deux nou­veau-nés sont morts, et Pfi­zer a décrit la cause du décès comme étant une « expo­si­tion mater­nelle » au vaccin. »
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[…] Lire la suite dans le livre, c’est passionnant.
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Table des matières :

Ce qu’ils ont pen­sé du livre.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 3

Som­maire.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….. 7

Pré­face du Pr Didier RAOULT.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…… 11

Avant-pro­pos de Ste­phen K. BANNON.….….….….….….….….….….….….….….….….…… 19

Intro­duc­tion de Nao­mi WOLF.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…… 21

UN : « Évé­ne­ments indé­si­rables hépa­tiques – 5 décès dans les 20 jours sui­vant l’injection COVID à ARNm de Pfi­zer. 50 % des évé­ne­ments indé­si­rables sont sur­ve­nus dans les 3 jours. »
—Joseph Geh­rett, MD ; Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….… 33

DEUX : « Neuf mois après le lan­ce­ment du ‘vac­cin’ COVID à ARNm, les taux de nata­li­té ont consi­dé­ra­ble­ment bais­sé dans 13 pays euro­péens, en Angle­terre et au pays de Galles, en Aus­tra­lie et à Taïwan. »
—Robert W. Chand­ler, MD, MBA.….….….….….….….….….….….….….….….….….….… 37

TROIS : « 77 % des évé­ne­ments indé­si­rables car­dio­vas­cu­laires de l’injection COVID à ARNm de Pfi­zer sont sur­ve­nus chez des femmes et des per­sonnes âgées de moins de 65 ans. Deux mineurs ont souf­fert d’événements cardiaques. »
—Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Joseph Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….… 74

QUATRE : « Des nour­ris­sons et des enfants de moins de 12 ans ont reçu le “vac­cin“ COVID à ARNm de Pfi­zer 7 mois AVANT l’approbation pédia­trique. 71 % des cas d’événements indé­si­rables clas­sés comme graves. »
—Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Joseph Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….… 78

CINQ : « Les autop­sies révèlent les atro­ci­tés médi­cales des thé­ra­pies géné­tiques uti­li­sées contre un virus respiratoire. »
—Robert W. Chand­ler, MD, MBA ; Michael Pal­mer, MD.….….….….….….….….….….….. 82

SIX : « 542 évé­ne­ments indé­si­rables neu­ro­lo­giques, dont 95 % graves, au cours des 90 pre­miers jours du déploie­ment du vac­cin ARNm de Pfi­zer. 16 décès. Les femmes ont souf- fert d’EI plus de deux fois plus sou­vent que les hommes. »
—Joseph Geh­rett, MD ; Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….. 116

SEPT : « Par­tie 2 – ‘Les autop­sies révèlent les atro­ci­tés médi­cales des thé­ra­pies géné­tiques qui sont uti­li­sées contre un virus respiratoire’ »
—Robert W. Chand­ler, MD, MBA ; Michael Pal­mer, MD.….….….….….….….….….….… 120

HUIT : « L’essai défec­tueux du ‘vac­cin’ à ARNm de Pfizer »
—Lin­nea Wahl, MS, équipe 5.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 159

NEUF : « 449 patients souffrent d’une para­ly­sie de Bell à la suite du vac­cin COVID à ARNm de Pfi­zer au cours des trois pre­miers mois de son déploie­ment. Un enfant de 1 an a souf­fert d’une para­ly­sie de Bell après l’injection non autorisée. »
—Joseph Geh­rett, MD ; Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 165

DIX : « Ute Krü­ger, méde­cin spé­cia­liste du can­cer du sein, révèle une aug­men­ta­tion du nombre de can­cers et de l’apparition de ‘tur­bo-can­cers’ à la suite d’une thé­ra­pie géné­tique ‘vac­ci­nale’. »
—Robert W. Chand­ler, MD, MBA.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 169

ONZE : « Lésions rénales aiguës et insuf­fi­sance rénale aiguë à la suite de la vac­ci­na­tion COVID à ARNm de Pfi­zer. 33 % des patients sont décé­dés. Pfi­zer conclut ‘Pas de nou­veau pro­blème de sécurité’. »
—Joseph Geh­rett, MD ; Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 182

DOUZE : « Au cours des trois pre­miers mois du lan­ce­ment du ‘vac­cin’ ARNm de Pfi­zer, 9 patients sont morts d’anaphylaxie. 79 % des évé­ne­ments indé­si­rables liés à l’anaphylaxie ont été qua­li­fiés de ‘graves’. »
—Joseph Geh­rett, MD ; Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 186

TREIZE : « 1 077 évé­ne­ments indé­si­rables à média­tion immu­ni­tai­re/au­to-immuns au cours des 90 pre­miers jours du déploie­ment du ‘vac­cin’ ARNm de Pfi­zer, dont 12 décès. Pfi­zer a sous-esti­mé cette caté­go­rie d’événements indé­si­rables de 270 cas. »
—Joseph Geh­rett, MD ; Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 190

QUATORZE : « 34 évé­ne­ments indé­si­rables d’inflammation des vais­seaux sanguins/vascularite sont sur­ve­nus dans les 90 pre­miers jours sui­vant la mise sur le mar­ché du ‘vac­cin’ ARNm de Pfi­zer, dont 1 décès. La moi­tié d’entre eux sont appa­rus dans les 3 jours sui­vant l’injection. 81 % des per­sonnes tou­chées étaient des femmes. »
—Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Joseph Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 194

QUINZE : « Pfi­zer et la FDA savaient, début 2021, que le ‘vac­cin’ COVID à ARNm de Pfi­zer pré­sen­tait des risques graves pour les fœtus et les nour­ris­sons, y com­pris la mort. Ils ont lan­cé une cam­pagne agres­sive pour quand même vac­ci­ner les femmes enceintes. »
—Amy Kel­ly, direc­trice de pro­gramme du pro­jet d’analyse de War­Room/DailyClout des docu­ments Pfi­zer.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 198

SEIZE : « His­to­pa­tho­lo­gy Series Part 4c-Autoim­mu­ni­ty : Un méca­nisme patho­lo­gique prin- cipal des effets néfastes de la thé­ra­pie génique COVID-19 (mala­dies CoVax) et un défaut cen­tral de la pla­te­forme à NPL/ARNm. »
—Robert W. Chand­ler, MD, MBA.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 204

DIX-SEPT : « Les évé­ne­ments indé­si­rables mus­cu­los­que­let­tiques d’intérêt par­ti­cu­lier ont tou­ché 8,5 % des patients dans l’ensemble des don­nées post-com­mer­cia­li­sa­tion de Pfi­zer, y com­pris 4 enfants et 1 nour­ris­son. Les femmes ont été tou­chées dans un ratio de presque 41 par rap­port aux hommes. »
—Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Joseph Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 231

DIX-HUIT : « Les ‘autres EIIP’ com­pre­naient le MERS, le syn­drome de défaillance mul­ti­vis­cé­rale (SDMV), les infec­tions par l’herpès et 96 DÉCÈS. 15 patients étaient âgés de moins de 12 ans, dont 6 nourrissons. »
—Joseph Geh­rett, MD ; Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…… 234

DIX-NEUF : « Pfi­zer savait en novembre 2020 que son vac­cin COVID à ARNm n’était ni sûr ni effi­cace. Voi­ci ce que les employés et les sous-trai­tants de Pfi­zer savaient et quand ils l’ont su. »
—Auteur prin­ci­pal : L. D. LaLonde, MS – Contri­bu­teurs : Loree Britt ; Michelle Cibel­li, RN, BSN ; Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Joseph Geh­rett, MD ; et Chris Flo­wers, MD – Édi­teurs : Amy Kel­ly, Chris Flo­wers, MD et David Shaw.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….. 238

VINGT : « Les ‘vac­cins’ COVID à ARNm ont créé une nou­velle caté­go­rie de mala­dies mul­ti-or- ganiques/systèmes : la ‘mala­die CoVax’. Les enfants, dès leur concep­tion, en subissent les effets dévastateurs. »
—His­to­pa­tho­lo­gy Series – Part. 4d” – Robert W. Chand­ler, MD, MBA.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 268

VINGT-ET-UN : « Les femmes ont subi 94 % des évé­ne­ments indé­si­rables der­ma­to­lo­giques signa­lés au cours des 90 pre­miers jours du déploie­ment du ‘vac­cin’ COVID de Pfi­zer. 80 % de ces évé­ne­ments indé­si­rables ont été qua­li­fiés de ‘graves’. »
—Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Joseph Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 325

VINGT-DEUX : « 32 % des patients de Pfi­zer ayant subi des évé­ne­ments indé­si­rables respi- ratoires après la mise sur le mar­ché sont décé­dés, mais Pfi­zer n’a pas trou­vé de nou­veaux signaux de sécurité. »
—Joseph Geh­rett, MD ; Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…… 328

VINGT-TROIS : « Myo­car­dite induite par le vac­cin COVID à ARNm 1 an après l’injection : pro­téine spike, inflam­ma­tion tou­jours pré­sente dans le tis­su cardiaque. »
—Robert W. Chand­ler, MD, MBA.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….. 332

VINGT-QUATRE : « L’injection COVID-19 à ARNm de Moder­na a nui à la repro­duc­tion des mam­mi­fères : 22 % de gros­sesses en moins ; mal­for­ma­tions sque­let­tiques, dou­leurs, pro­blèmes d’allaitement chez les petits. La FDA le savait, mais a accor­dé l’EUA. »
—Lin­nea Wahl, MS, équipe 5.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 346

VINGT-CINQ : « 23 % des fœtus ou des nou­veau-nés de mères vac­ci­nées sont morts. Sup­pres­sion de la lac­ta­tion et déco­lo­ra­tion du lait mater­nel signalées. »
—Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Joseph Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 351

VINGT-SIX : « L’équipe de recherche de War­Room/DailyClout publie un article reten­tis­sant : plus de décès d’origine car­dio­vas­cu­laire chez les vac­ci­nés que chez les non-vac­ci­nés ; Pfi­zer n’a pas signa­lé les évé­ne­ments indé­si­rables ; les délais de décla­ra­tion des décès ont favo­ri­sé Pfizer/les vaccinés. »
—Amy Kel­ly.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 358

VINGT-SEPT : « La patho­lo­gie sous-jacente de la bio­dis­tri­bu­tion des pro­téines spike chez les per­sonnes décé­dées après la vac­ci­na­tion COVID-19 »
—Dr Arne Bur­khardt – com­pi­lé et édi­té par Robert W. Chand­ler, MD, MBA* et Michael Pal­mer, MD.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….. 363

VINGT-HUIT : « Les rece­veurs du vac­cin COVID de l’essai cli­nique ‘Pro­cess 2’ de Pfi­zer ont subi 2,4 fois plus d’événements indé­si­rables que les rece­veurs du pla­ce­bo ; les fla­cons du ‘Pro­cess 2’ ont été conta­mi­nés par des plas­mides d’ADN. »
—Chris Flo­wers, MD ; Eri­ka Delph, Ed Clark ; et l’équipe 3 d’investigateurs de War­Room/ Dai­ly­Clout des docu­ments Pfi­zer.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 408

VINGT-NEUF : « Au début de l’année 2021, Pfi­zer a docu­men­té des pré­ju­dices impor­tants et des décès à la suite de la vac­ci­na­tion avec son vac­cin COVID à ARNm. La FDA n’a pas infor­mé le public. »
—Lora Ham­mill BSMT, ASCP ; David Shaw ; Chris Flo­wers MD ; Loree Britt ; Joseph Geh­rett MD ; Bar­ba­ra Geh­rett MD ; Michelle Cibel­li RN, BSN ; Mar­ga­ret Turos­ki, RPh ; Cas­sie B. Papillon ; et Tony Damian.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 414

TRENTE : « 2,5 mois après le lan­ce­ment du vac­cin COVID, Pfi­zer a modi­fié les cri­tères ‘échec de la vac­ci­na­tion’, de sorte que 99 % des cas signa­lés ne cor­res­pon­daient pas à cette défi­ni­tion. 3,9 % des cas décla­rés de ‘manque d’efficacité’ se sont sol­dés par un décès au cours des 90 pre­miers jours de la mise à dis­po­si­tion du vac­cin au public. »
—Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Joseph Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 435

TRENTE-ET-UN : « Des cher­cheurs de War­Room/DailyClout ont décou­vert que Pfi­zer a retar­dé l’enregistrement des décès dus à la vac­ci­na­tion à un moment cri­tique de la pro­cé­dure d’autorisation de mise sur le mar­ché de l’UE. Des retards inap­pro­priés dans la décla­ra­tion des décès chez les per­sonnes vac­ci­nées ont conduit la FDA à se méprendre sur l’efficacité du vac­cin, ce qui a influen­cé la déci­sion d’octroi de l’EUA. »
—Ana­lyse de Jeyan­thi Kunadha­san, MD, et Dan Per­rier ; rédi­gé et édi­té par Amy Kel­ly . 440

TRENTE-DEUX : « La ‘sur­veillance post-com­mer­cia­li­sa­tion’ de Pfi­zer montre que les per­sonnes vac­ci­nées à l’ARNm ont souf­fert de mil­liers de cas de COVID au cours des 90 pre­miers jours de la dif­fu­sion du vac­cin. La plu­part des infec­tions chez les vac­ci­nés ont été clas­sées dans la caté­go­rie des ‘évé­ne­ments indé­si­rables graves’. »
—Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Joseph Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 446

TRENTE-TROIS : « La FDA a fon­dé l’approbation du vac­cin COVID à ARNm de Moder­na sur l’essai d’un vac­cin non COVID com­plè­te­ment dif­fé­rent. Seuls les hommes ont été inclus dans l’essai. »
—Lin­nea Wahl, MS, équipe 5.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 451

TRENTE-QUATRE : « Des cen­taines de cas pos­sibles de mala­dies aggra­vées asso­ciées à la vac­ci­na­tion (VAED) au cours des trois pre­miers mois du déploie­ment du vac­cin COVID À ARNn de Pfi­zer, mais les porte-parole de la san­té publique ont mini­mi­sé leur gra­vi­té en les qua­li­fiant de ‘cas de percée’. »
—Bar­ba­ra Geh­rett, MD ; Joseph Geh­rett, MD ; Chris Flo­wers, MD ; et Loree Britt.….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….….…. 457


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