Comment participer à un atelier constituant facilement dès demain ?

12/07/2021 | 17 commentaires

Il n’est pas facile pour tout le monde de trou­ver l’oc­ca­sion et la dis­po­ni­bi­li­té de par­ti­ci­per à un ate­lier constituant. 

Pour cette rai­son, je vous invite à décou­vrir les ate­liers numé­riques de MUMBLE CONSTITUANT : « Les ate­liers de Mumble Consti­tuant sont des réunions en ligne (tous les mar­dis à 20h30 sur Dis­cord) où nous nous exer­çons à l’écriture d’une Consti­tu­tion complète. »

Ces ate­liers ont l’a­van­tage d’être acces­sibles faci­le­ment à tous, à l’aide de son smart­phone, de sa tablette, ou de son ordinateur.

Rejoindre les ate­liers les mar­dis à 20h30

Décou­vrir la Consti­tu­tion issue des ateliers

Comment participer à un atelier ?

Les ate­liers sont répar­tis en 3 phases : la réflexion, la rédac­tion et la votation

La parole est dis­tri­buée par un faci­li­ta­teur dési­gné en début d’atelier.

À ce jour, près de 300 citoyens ont par­ti­ci­pé à cette aven­ture de rédac­tion en intel­li­gence col­lec­tive. Ce n’est pas une suite d’ateliers consti­tuants, mais un pro­ces­sus consti­tuant com­plet. Le tra­vail a débu­té en 2016, il est donc néces­saire de pré­pa­rer un peu sa par­ti­ci­pa­tion aux ateliers…

Conseils pour participer aux ateliers :

 
Vous pou­vez éga­le­ment regar­der de plus près la Consti­tu­tion en vigueur.


Pour rappel : Pourquoi réécrire nous-mêmes la constitution ?

Comment réécrire la constitution ?


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17 Commentaires

  1. Pierre

    Bon­jour,

    Les vrais rai­sons pour les­quelles nous devrions résis­ter aux mesures annon­cées ce soir. Ne nous éga­rons pas sur des débat médi­caux dont nous ne sommes pas experts et pas tous d’accord :

    1- Nos valeurs sont liber­tés, éga­li­té, fra­ter­ni­té, ces mesures attaquent de manière fron­tale cha­cune de ces valeurs.

    2- Nous n’ac­cep­tons pas l’exclusion de nos frères, que l’on soit par ailleurs d’ac­cord avec leurs opi­nions ou leur choix.

    3- On ne cède pas à un chan­tage sur les liber­tés. C’est comme avec les ter­ro­ristes si on cède une fois même sur un mar­ché qui parait accep­tables, alors il revien­dront avec des chan­tages de plus en plus intenables.

    4- C’est contraire à l’é­tat de droit. L’é­tat de droit ne souffre pas de règles condi­tion­nelles. On ne peut pas dire « Si vous avez fait au moins 3 ans d’études, et que vous n’a­vez pas man­gé de viande durant les 6 der­niers mois alors vous pou­vez rou­ler à 90km/h sur une natio­nale sinon c’est 80km/h ». L’é­tat de droit c’est la même règle pour tous le monde, indé­pen­dam­ment des choix et actions pas­sés de l’in­di­vi­du. Accep­ter du droit condi­tion­nel en fonc­tion de variable lié a l’in­di­vi­du c’est une pente extrê­me­ment dangereuse.

    5- Le sys­tème numé­rique mis en place pour éta­blir le pass sani­taire, ne four­nis aucune garan­ties en terme de don­nés et de véri­fia­bi­li­té que cet outils ne donne pas de manière mas­qué un pou­voir tech­no­lo­gique tota­li­taire au gou­ver­ne­ment. La CNIL a rele­vé les failles de ce sys­tème ( https://​www​.nume​ra​ma​.com/​s​c​i​e​n​c​e​s​/​7​1​8​0​8​1​-​p​a​s​s​-​s​a​n​i​t​a​i​r​e​-​l​a​-​c​n​i​l​-​l​i​s​t​e​-​t​o​u​t​-​c​e​-​q​u​i​-​n​e​-​v​a​-​p​a​s​-​d​a​n​s​-​t​o​u​s​a​n​t​i​c​o​v​i​d​-​v​e​r​i​f​.​h​tml ) ain­si que d’autres ( https://​www​.bro​ken​-by​-desi​gn​.fr/​p​o​s​t​s​/​p​a​s​s​-​s​a​n​i​t​a​i​re/ https://​www​.01net​.com/​a​c​t​u​a​l​i​t​e​s​/​t​o​u​s​a​n​t​i​c​o​v​i​d​-​v​e​r​i​f​-​l​e​-​p​a​n​i​e​r​-​p​e​r​c​e​-​d​u​-​p​a​s​s​-​s​a​n​i​t​a​i​r​e​-​2​0​4​4​0​5​6​.​h​tml )

    6- Pour toutes les rai­sons ci-des­sus les mesures n’ex­cluent pas uni­que­ment les non-vac­ci­nés, mais aus­si et sur­tout les oppo­sants poli­tiques et les résistants.

    Réponse
  2. Pierre

    Je rajoute deux points :

    7- Ces mesures vont en contra­dic­tion directe des pro­messes récentes réa­li­sées par le chef de l’é­tat et le gou­ver­ne­ment, sans qu’au­cun élé­ment par son impor­tance et son impré­vi­si­bi­li­té ne le justifie.

    8- Les mesures sont contra­dic­toires avec les dis­po­si­tions sui­vantes de notre constitution :

    « tous les citoyens sont éga­le­ment admis­sibles à toutes digni­tés, places et emplois publics, selon leur capa­ci­té, et sans autre dis­tinc­tion que celle de leurs ver­tus et de leurs talents  » (Dis­tin­guer l’ac­cès à l’emploi public selon un état vac­ci­nal est donc anti-constiutionel)

    « La Nation garan­tit l’é­gal accès de l’en­fant et de l’a­dulte à l’ins­truc­tion, à la for­ma­tion pro­fes­sion­nelle et à la culture. » (l’é­gal accès à la culture est rompu)

    Réponse
    • Pierre

      Je rajoute un point :

      9- L’élé­ment qui met en évi­dence le coté mal­veillant de la manœuvre, c’est que les délais choi­sis impliquent que ceux qui déci­de­raient de se faire vac­ci­ner au moment de l’an­nonce d’hier, ne pourront/pourraient pas cou­per à une exclu­sion de plu­sieurs semaines. Mais en réa­li­té les centres de vac­ci­na­tion sont tel­le­ment sur­char­gés qu’une per­sonne qui vou­drait prendre ren­dez-vous au moment ou j’é­cris ces lignes pour se faire vac­ci­ner ne pour­rait être plei­ne­ment vac­ci­ner avant fin sep­tembre dans une ville de pro­vince. Avant même l’an­nonce d’hier, on ne pou­vait trou­ver de cré­neau avant début Août. Le but est donc de sanc­tion­ner et faire mal à ceux qui ont le moins de zèle dans le sui­vit l’i­déo­lo­gie gou­ver­ne­men­tale avant l’an­nonce. C’est donc presque une loi rétroactive.

      10- Ces mesures consacrent un droit et une obli­ga­tion de véri­fi­ca­tion iden­ti­té de la part des ges­tion­naires d’é­ta­blis­se­ment rece­vant du public, ce qui est en soit une bas­cule dans un pays ou la pos­ses­sion d’une carte d’i­den­ti­té n’é­tait jus­qu’à pré­sent pas obli­ga­toire ( https://​www​.ser​vice​-public​.fr/​p​a​r​t​i​c​u​l​i​e​r​s​/​v​o​s​d​r​o​i​t​s​/​F​1​1​601 ), et ou l’on pou­vait ano­ny­me­ment vaquer à a peu prés toutes les acti­vi­tés que l’on sou­hai­tait. Les mesures annon­cée, impliquent une sup­pres­sion du droit à l’anonymat dans tous les lieux concer­nés, ce qui est majeur.

      Réponse
  3. joss

    Le vac­cin ne nous évi­te­ra pas le pass sanitaire.
    Et ce pass concerne tout le monde, les non vac­ci­nés et les vac­ci­nés ! Les Fran­çais sont-ils prêts à échan­ger leur vie « d’avant » contre une vie tra­cée à la chi­noise ? C’est la ques­tion tacite expri­mée hier soir par le pré­sident de la nation. La vac­ci­na­tion n’est qu’un pré­texte au tra­çage et se vac­ci­ner n’empêchera pas ce pro­ces­sus. Quand on aban­donne des liber­tés, il faut se battre pour les récu­pé­rer, l’histoire nous l’a assez ensei­gné. L’union fait la force (devise belge).

    « Si on accepte l’i­den­ti­té numé­rique, ça sera trop tard »
    L’in­gé­nieur phy­si­cien Phi­lippe Guille­mant explique com­ment la crise sani­taire a accé­lé­ré cer­tains bou­le­ver­se­ments sociétaux.
    https://​www​.you​tube​.com/​w​a​t​c​h​?​v​=​g​W​z​G​Q​r​u​M​XO0

    Réponse
    • Pierre

      @Joss,

      « Et ce pass concerne tout le monde, les non vac­ci­nés et les vaccinés »

      Je suis d’ac­cord, même vac­ci­né on ne pour­ra plus vivre sans pas­ser des contrôle d’i­den­ti­té quo­ti­dien, et sans pas­ser sous les fourches cau­dines d’une appli­ca­tion au code source fer­mé et aux trai­te­ment des don­nées hasar­deux. Et même vac­ci­ner on perd le droit de déjeu­ner avec un amis qui ne l’est pas.

      C’est très impor­tant de ne pas se perdre dans le débat hasar­deux pour ou contre la vac­ci­na­tion, et oppo­ser les vac­ci­nés et les non-vac­ci­né, c’est ce que veux le gouvernement.

      Le gou­ver­ne­ment n’a pas de parole (ce qui a été annon­cé hier va à l’en­contre de toutes les pro­messes faites il y a moins de 6 mois), les condi­tions du pass vont chan­ger, vont deve­nir de plus en plus inte­nables à mesure que les gens s’y conforment. Donc même un vac­ci­né qui a le droit de pas­ser aujourd’­hui, ne l’au­ra peut-être pas demain, s’il n’est pas docile à ce que lui demande le gou­ver­ne­ment, lorsque celui-ci met­tra à jour ses conditions.

      Réponse
      • Pierre

        Et il est très impor­tant de dire que les mesures qui ont été annon­cés ne sont pas une « qua­si-obli­ga­tion vac­ci­nale », ou une « obli­ga­tion vac­ci­nale » tout cours. C’est bien pire.

        Dans un état de droit, toute obli­ga­tion doit être garan­tie par une peine appli­quée par l’é­tat, qui est à la mesure de la gra­vi­té de l’in­frac­tion, et qui est un inci­ta­tif suf­fi­sant pour moti­ver la majo­ri­té à res­pec­ter la loi.

        Hors une peine qui cor­res­pon­drait à ces cri­tères serait peut-être une amende de 1000 euros ou 5 jours de tra­vail d’intérêt général.

        Et de ce que j’ai dis­cu­té avec les per­sonnes que je connais qui sont ferme sur la volon­té de ne pas se faire vac­ci­ner, une telle peine serait lar­ge­ment plus accep­table que d’être tué socia­le­ment. Pour autant une telle peine serait suf­fi­sante pour convaincre 90% de la popu­la­tion de se faire vacciner.

        Mais main­te­nant les mesures qui on été mise en place vont bien au delà de la ques­tion de la vac­ci­na­tion. C’est une rup­ture de socié­té de mettre en place un sys­tème numé­rique d’i­den­ti­fi­ca­tion qui per­met à l’é­tat de contrô­ler les allées et venus de la popu­la­tion (quelque-soit les condi­tions incor­po­rées dans le pass, ça serait autre que vac­ci­nal ça ne chan­ge­rait rien). Cette rup­ture de socié­té n’a rien à voir avec l’o­bli­ga­tion vac­ci­nale, elle va bien au delà.

        Réponse
        • joss

          Je suis entiè­re­ment d’ac­cord avec vous 😉

          Réponse
  4. Pierre
    • Jean-Yves Boutôt

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      Réponse
  5. Pierre

    Demande de publi­ca­tion du code source de l’ap­pli­ca­tion « tous anti covid verf » par une association :

    https://​inter​hop​.org/​2​0​2​1​/​0​7​/​0​7​/​d​e​m​a​n​d​e​-​a​c​c​e​s​-​T​A​C​-​V​-​m​i​n​i​s​t​ere

    Très impor­tant, sur­tout si cou­plé avec la com­pi­la­tion repro­duc­tible, qui per­met de véri­fier que l’ap­pli­ca­tion dis­tri­bué dans l’app store cor­res­pond bien au code source four­ni. Tel que l’ont fait nos amis Suisses :

    https://​github​.com/​a​d​m​i​n​-​c​h​/​C​o​v​i​d​C​e​r​t​i​f​i​c​a​t​e​-​A​p​p​-​A​n​d​r​oid

    C’est très impor­tant, ça per­met d’a­voir des garan­ties que le gou­ver­ne­ment ne prend pas insi­dieu­se­ment un pou­voir tech­nique « de fac­to » d’ex­clure n’im­porte-qui pour n’im­porte-quelle rai­son, n’im­porte-quand, et aus­si un pou­voir de sur­veillance de masse. Pour l’ins­tant nous n’a­vons abso­lu­ment pas ce genre de garan­ties bien au contraire, au début cer­tains on put détec­ter l’envoi de don­nées à un ser­veur amé­ri­cain à chaque scan. Aujourd’­hui l’ap­pli reste une boite noire sous le contrôle du gou­ver­ne­ment. Je sais que pour les néo­fites l’im­por­tance de tout ça ne saute pas for­ce­ment aux yeux. Mais de plus en plus « Code is Law » il faut se le dire.

    Réponse
  6. Pierre

    Dans quel monde vivrons nous dans dix ans ou vingt an ?

    Bien-sur nous seront dans une socié­té ou non-seule­ment tous nos faits et gestes, tout nos mots et nos pen­sées seront sur­veillés. Cette sur­veillance s’ap­proche déjà aujourd’­hui de la cou­ver­ture totale des acti­vi­tés humaines. Nous vivrons donc bien-sur dans une socié­té ou le pou­voir connaî­tra mieux la per­sonne qu’elle même et pour­ra sans sou­cis la mani­pu­ler de manière très effi­cace grâce à des mes­sages personnalisés.

    Mais en plus nous seront dans une socié­té ou l’on sera contraint auto­ma­ti­que­ment par des machines. Si tu ne fais pas ce que le pou­voir attends de toi, tu sera punis, tu sera exclus socia­le­ment, tu souf­fri­ra. Et ce bien-sur sans l’in­ter­mé­diaire de lois, d’un juge et d’un état de droit. Non tu ne sau­ra même pas à l’a­vance ce que tu es libre de faire ou non. En fait tu ne sera véri­ta­ble­ment libre de rien. Car cha­cune de tes actions, cha­cun de tes choix, sera pris en compte numé­ri­que­ment et aura des consé­quences les avan­tages ou les puni­tions que le pou­voir t’at­tri­bue­ra par outils numé­rique interposé.

    Cha­cun d’entre-nous ne sera plus qu’un pan­tin, sans volon­té propre, sans degré de liber­té ; et sans pos­si­bi­li­té de choix per­son­nel. Nous ne seront plus que des pions au ser­vice du pou­voir. Les engre­nage d’une machine qui nous dépasse, et sur laquelle nous n’a­vons aucune prise ni aucun contrôle.

    Il n’y aura plus besoins d’être humains comme cour­roie de trans­mis­sion du pou­voir. Ce der­nier sera appli­qué direc­te­ment par les machines. Les por­tiques seront (re)programmés pour vous contrô­ler, et les machines de contrôle vont pul­lu­ler. Ain­si on évite tout risque d’ef­fon­dre­ment du pou­voir en place, car les humains ont trop ten­dance à la défec­tion, pas les machines. Ce sys­tème sera alors pour la pre­mière fois de l’his­toire de l’hu­ma­ni­té quasi-irréversible.

    Ho ne vous inquié­tez pas il y aura des plai­sirs dans ce monde. Il y aura les plai­sirs de la
    bouche, les plai­sirs de la chair. Pour que ce sys­tème ne marche il faut bien une carotte. Et même si vous accep­tez d’éteindre votre cer­veau, de ne plus vous poser de ques­tions, de renon­cer défi­ni­ti­ve­ment à toute pen­sée cri­tique et remise en cause. Peut-être qu’à ces condi­tions là vous serez heu­reux ! Mais si par mal­heur vous vou­lez faire preuve de réflexion, d’es­prit cri­tique, d’in­tel­li­gence, alors vous souf­fri­rez, vous souf­fri­rez terriblement.

    La ques­tion de l’é­co­lo­gie à coté parait presque d’une pale impor­tance. A quoi bon sau­ver une pla­nète et son huma­ni­té, si c’est pour qu’elle soit le théâtre d’un enfers sur terre et d’une éter­ni­té de ser­vi­tude et de souffrance ?

    Main­te­nant l’en­gre­nage est lan­cé : ce que nous fai­sons aujourd’­hui avec le pass sani­taire, nous le feront demain pour le ter­ro­risme, puis pour autre chose. Nous sommes dans une pre­mière his­to­rique qui montre qu’il suf­fit de faire peur et la majo­ri­té des gens s’y plie­ront avec peu de résis­tance, sans même com­prendre dans quel engre­nage ils mettent le doigt. Le contexte actuel nous montre que valeurs « Liber­té, Ega­li­té, Fra­ter­ni­té » ne sont plus qu’un loin­tain sou­ve­nir pour la majo­ri­té, et leur défense l’a­pa­nage d’une petite mino­ri­té, reli­quat expi­rant de l’an­cien monde ou l’on était prêt à mou­rir pour elles (oui, oui mou­rir, y com­pris du covid s’il le faut).

    Lun­di 12 juillet 2021 res­te­ra une date his­to­rique, celle ou pour la pre­mière fois de l’his­toire, la France aura fait usage d’un outils numé­rique de contrôle social en lieu et place de l’é­tat de droit. Pou­vez-vous vrai­ment croire en votre fort inté­rieur que ça sera la dernière ?

    Reste-t’il un espoir ? *Oui il reste un petit espoir.* Celui de ne rien lais­ser pas­ser. S’il y a un espoir il se situe dans les mani­fes­ta­tion du same­di plus nom­breuses de semaines en
    semaines. S’il y a un espoir il est dans le boy­cott inflexible de tout outils numé­rique de contrôle social. S’il y a un espoir il est dans le sabo­tage. S’il y a un espoir il est dans la résis­tance, main­te­nant ! (Pas une fois que nous aurai atteints le point de non-retour et d’ir­ré­ver­si­bi­li­té). S’il y a un espoir il est dans le fait que vous rejoi­gnez la résis­tance et menez à nos coté un combat
    total.

    Réponse
  7. Rodrigues David

    Bon­jour,
    Mer­ci mer­ci mer­ci… C’est extra­or­di­naire de voir la pro­gres­sion depuis 2 ans.
    Tous unis pour le RIC.
    Vive les ate­liers consti­tuant et vive la liberté.
    Bien à vous .……Les peau-rouge du Salagou

    Réponse

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