Gérard MAUDRUX, médecin : « Pourquoi l’IVERMECTINE est probablement le meilleur traitement de la Covid » (chez Laurent Mucchielli)

17/03/2021 | 15 commentaires

Chers amis,

Je vais encore une fois vous par­ler de cette pré­ten­due « crise sani­taire » — que j’a­na­lyse, moi, comme une bas­cule tota­li­taire, ce qui est, de mon point de vue, évi­dem­ment une bonne et forte rai­son pour vous en par­ler, et urgemment.

Et je vais vous en par­ler mal­gré les reproches amers que me font cer­tains amis d’o­ser par­ler de ça, d’o­ser avoir une opi­nion sur ça, alors que je ne suis pas méde­cin, alors que je ne suis pas scien­ti­fique, alors que, en un mot, je suis pré­ten­du­ment « incompétent »…

• Je fais d’a­bord remar­quer que je ne suis pas le seul incom­pé­tent sur terre à m’ex­pri­mer sur cette ques­tion : abso­lu­ment tout le monde en parle, abso­lu­ment tout le temps. Je ne vois donc pas du tout au nom de quoi le fait que je donne mon propre avis serait un scandale.

• Je fais ensuite remar­quer que la démo­cra­tie est pré­ci­sé­ment ce régime poli­tique dans lequel les déci­sions publiques ne sont PAS prises par les experts, les com­pé­tents, mais que la sou­ve­rai­ne­té (le droit de pen­ser, d’o­pi­ner et fina­le­ment de déci­der) appar­tient à tous les citoyens, sans excep­tion et à éga­li­té : en démo­cra­tie, « un homme=une voix » (et pas du tout « un expert=une voix »).

Je vais donc évi­ter de culpa­bi­li­ser, et conti­nuer à m’in­for­mer : « bien faire et lais­ser braire » m’a appris mon papa (il y a fort longtemps).


L’heure est grave : ceux qui pré­tendent nous « repré­sen­ter » vont bien­tôt empê­cher de vivre libre­ment ceux qui refusent de se faire « vac­ci­ner » (c’est-à-dire injec­ter de force des pro­duits qu’on peut esti­mer très dan­ge­reux) : c’est appa­rem­ment la Com­mis­sion euro­péenne (non élue et tota­le­ment irres­pon­sable devant per­sonne) qui l’im­po­se­ra aux pauvres Euro­péens. Une source par­mi mille autres : « Covid : un « pas­se­port vert » euro­péen avant les vacances d’été »

C’est donc bien un APARTHEID qui se pré­pare à très courte échéance : une socié­té à deux vitesses, avec des hommes doté de droits (les dociles) et des sous-hommes pri­vés de droits, pri­vés de liber­tés (les indociles).

Sur quoi est fon­dée cette hor­reur qui vient ?

Le fon­de­ment unique de l’o­bli­ga­tion vac­ci­nale est que, soi-disant, ON NE PEUT PAS FAIRE AUTREMENT
(there is no alter­na­tive, TINA, quoi, ça ne vous rap­pelle rien ?).
Et pour­quoi est-ce qu’on ne peut pas faire autrement ?

Parce que :

1) cette mala­die est TRÈS GRAVE (épou­van­table même),

2) il n’existe AUCUN AUTRE TRAITEMENT QUE LES VACCINS,

3) et bien sûr LES VACCINS SONT EFFICACES ET SANS DANGER.

DONC, logi­que­ment, IL FAUT vac­ci­ner tout le monde… Pour le bien des gens, évidemment.

Celui qui démon­tre­rait la faus­se­té d’UNE SEULE de ces trois affir­ma­tions met­trait par terre le fon­de­ment même de l’o­bli­ga­tion vac­ci­nale — et il détrui­rait aus­si le fon­de­ment — et donc la légi­ti­mi­té — de toutes les lois scé­lé­rates liber­ti­cides avec les­quelles on nous per­sé­cute depuis un an.

Or, ces TROIS affir­ma­tions sont fausses…

L’ar­ticle du Dr Mau­drux ci-des­sous semble bien détruire l’ar­gu­ment 2 :
il existe au moins un trai­te­ment très effi­cace et par­fai­te­ment inof­fen­sif contre la COVID19, et c’est L’IVERMECTINE.

Il y a en fait beau­coup d’autres trai­te­ments éprou­vés (et uti­li­sés) contre la COVID, mais un seul suf­fit à contes­ter l’o­bli­ga­tion vac­ci­nale.

Or, il se trouve que les scien­ti­fiques et les méde­cins qui ont décou­vert et qui prouvent que l’I­ver­mec­tine a des résul­tats spec­ta­cu­laires sur la COVID19 ont toutes les peines du monde à se faire entendre dans les médias mains­tream, et toutes les peines du monde à faire publier leurs études dans les revues scien­ti­fiques mains­tream… Ceci res­semble bien à un énorme scan­dale, car on prive ain­si, poten­tiel­le­ment, des mil­lions de per­sonnes de médi­ca­ments effi­caces, sûrs et pas chers, pour per­mettre à quelques para­sites de faire d’é­normes pro­fits avec des vac­cins inef­fi­caces, dan­ge­reux et hors de prix. Les poli­ti­ciens bradent notre san­té et nos liber­tés contre la for­tune de quelques privilégiés.

L’af­faire est donc pro­fon­dé­ment poli­tique ; elle n’a rien à voir avec la vraie science ; elle a tout à voir avec « la science » cor­rom­pue par l’industrie.

Nous avons un pro­blème poli­tique car­di­nal avec la cor­rup­tion par l’in­dus­trie phar­ma­ceu­tique des auto­ri­tés de san­té (y com­pris des facul­tés, des experts et des agences) et des médias (y com­pris des revues scien­ti­fiques). La der­nière preuve en date, que je sou­mets aus­si au feu de votre esprit cri­tique, est celle-ci : « Cor­rup­tion épis­té­mique, indus­trie phar­ma­ceu­tique et corps de la science médi­cale », par Ser­gio Sis­mon­do (Source) J’en ferai un billet à part, la des­crip­tion des moyens pra­tiques de tru­quer les études scien­ti­fiques à tout pro­pos est édifiante.

Je trouve le dos­sier ci-des­sous sur les bien­faits et l’in­no­cui­té de l’I­ver­mec­tine assez convain­cant (il pro­pose de nom­breuses sources sérieuses à consul­ter) et je le verse au dos­sier de la défense des liber­tés et de la démo­cra­tie, pour exa­men cri­tique par les membres de notre cer­veau col­lec­tif : y a‑t-il, selon vous, des erreurs dans les affir­ma­tions du Dr Mau­drux, s’il vous plaît ?

Je revien­drai plus tard 1) sur la contes­ta­tion (puis­sante) des deux autres fon­de­ments de la bas­cule tota­li­taire (gra­vi­té de la mala­die et inno­cui­té des vac­cins), ain­si que 2) sur le crime contre l’hu­ma­ni­té qu’est la des­truc­tion volon­taire du sys­tème de soins depuis qua­rante ans au pré­texte mal­hon­nête de « la dette publique ».

Bonne lec­ture.

Étienne.

Pourquoi l’Ivermectine est probablement le meilleur traitement de la Covid

L’Ivermectine, asso­ciée à des macro­lides, donne des résul­tats posi­tifs par­ti­cu­liè­re­ment impor­tants dans le trai­te­ment des dif­fé­rentes formes de Covid, tant en pré­ven­tion, en trai­te­ment pré­coce qu’au début des phases sévères en hos­pi­ta­li­sa­tion. Son déni­gre­ment par les « auto­ri­tés sani­taires » consti­tue un nou­veau refus de soi­gner et donc un nou­veau scan­dale vis-à-vis des malades.

par Gérard MAUDRUX, méde­cin, ancien pré­sident de la Caisse mala­die des pro­fes­sions libé­rales et de la Caisse de retraite des médecins

https://​blogs​.media​part​.fr/​l​a​u​r​e​n​t​-​m​u​c​c​h​i​e​l​l​i​/​b​l​o​g​/​2​5​0​2​2​1​/​p​o​u​r​q​u​o​i​-​l​-​i​v​e​r​m​e​c​t​i​n​e​-​e​s​t​-​p​r​o​b​a​b​l​e​m​e​n​t​-​l​e​-​m​e​i​l​l​e​u​r​-​t​r​a​i​t​e​m​e​n​t​-​d​e​-​l​a​-​c​o​vid

L’Ivermectine res­te­ra peut-être dans l’histoire sur le podium des trois médi­ca­ments ayant ren­du le plus de ser­vices à l’humanité, avec la Péni­cil­line et l’Aspirine. Sur quelle marche ? Pas la pre­mière si on regarde sim­ple­ment l’ampleur de son uti­li­sa­tion (près de 4 mil­liards de pres­crip­tions depuis 40 ans), mais à coup sûr sur la pre­mière en regard du fac­teur bénéfice/risque. Ce médi­ca­ment a en effet un large éven­tail d’indications et n’a pra­ti­que­ment pas d’effets secon­daires graves contrai­re­ment à ses deux voi­sines (aller­gies et choc ana­phy­lac­tique pour la Péni­cil­line, hémor­ra­gies pour l’Aspirine).

Un antiparasitaire puissant

Dès sa nais­sance à la fin des années 1970, l’Ivermectine s’est avé­ré être un agent anti­pa­ra­si­taire puis­sant, contre un large éven­tail de néma­todes (vers) et d’arthropodes internes et externes chez les ani­maux. Chez l’homme elle est uti­li­sée contre des mala­dies dévas­ta­trices et défi­gu­rantes des popu­la­tions pauvres des tro­piques, comme l’onchocercose des rivières qui rend aveugle, et les fila­rioses, ces vers fins qui pénètrent et cir­culent dans votre orga­nisme. Elle est uti­li­sée gra­tui­te­ment comme seul médi­ca­ment dans des cam­pagnes visant à éli­mi­ner ces deux mala­dies au niveau mondial.

L’Ivermectine est très uti­li­sée en méde­cine vété­ri­naire depuis 1981, elle est recon­nue pour être active contre 183 espèces de néma­todes et 129 espèces d’insectes et aca­riens, listes qui aug­mentent chaque année. Elle est aus­si uti­li­sée sur nombre de virus, comme le virus de la pseu­do rage por­cine. Ain­si l’Ivermectine traite les vers ronds de l’estomac ou de l’intestin, les vers dans les pou­mons, les aca­riens, les poux, les mouches des cornes, les tiques (qui causent d’énormes dégâts chez les bovins dans les régions tro­pi­cales), jusqu’aux poux des pois­sons en aqua­cul­ture (mais inter­dit en rai­son des effets sur le reste de la faune aquatique).

Elle est auto­ri­sée chez l’homme dans plus de 100 pays, en France elle a une auto­ri­sa­tion pour l’anguillulose gas­tro-intes­ti­nale, la micro­fi­la­ré­mie et la gale. Près de 100 mil­lions de per­sonnes sont trai­tées chaque année avec ce pro­duit dans le monde, et plus de 4 mil­liards de dose ont été pres­crites en 30 ans. Des pro­grammes sont en train d’être mis en place dans cer­tains pays comme le Nige­ria, le Bur­ki­na Faso et le Gha­na pour trai­ter la tota­li­té de la popu­la­tion, 0,15 mg/kg une fois l’an étant suf­fi­sant pour gué­rir l’onchocercose (30 à 40 mil­lions de cas /an), mais éga­le­ment l’anguillulose intes­ti­nale (35 mil­lions de cas), la gale (300 mil­lions), les leish­ma­nioses, toutes les mala­dies para­si­taires de la peau, etc.

Prix Nobel pour son découvreur

L’Ivermectine est une des rares molé­cules à avoir obte­nu un prix Nobel et est issue d’une col­la­bo­ra­tion inter­na­tio­nale public-pri­vé. Sa décou­verte est due à 大村 智, Ōmu­ra Sato­shi, spé­cia­liste des anti­bio­tiques à l’Ins­ti­tut Kita­sa­to de Tokyo, qui l’a confié à un labo­ra­toire pri­vé amé­ri­cain, Merck, Sharp and Dohme (MSD) en 1974 pour l’évaluation in vitro de sa bio-acti­vi­té. MSD s’est inté­res­sé à son appli­ca­tion humaine dès 1978, avant la com­mer­cia­li­sa­tion pour les ani­maux. Les pre­miers essais phase 1 ont démar­ré en 1980, phase 2 en 1983, pour se ter­mi­ner en 1987 avec une pre­mière auto­ri­sa­tion mon­diale, en France, pour l’onchocercose, au vu des résul­tats sur 1 206 patients. Aujourd’hui, le même orga­nisme, qui l’a auto­ri­sé, pense, comme le Natio­nal Ins­ti­tut of Health, que plus de 14 000 cas dans dif­fé­rentes études n’est pas suf­fi­sant pour l’autoriser dans le cas du Sars-Cov‑2. Le prix Nobel de méde­cine a été attri­bué en 2015 à ses décou­vreurs, Sato­shi Ōmu­ra au Japon et William Camp­bel aux Etats-Unis.

Outre cette action sur les para­sites, l’Ivermectine a une action viru­cide, d’abord tes­tée et adop­tée chez nombre d’infections virales chez l’animal, comme la pseu­do rage por­cine due à un virus à ARN, comme le Sars-COV‑2. Chez l’homme des études sont en cours contre dif­fé­rentes varié­tés de fla­vi­vi­rus, sur la dengue, le Zika, le Chi­kun­gu­nya, et le virus res­pon­sable de l’in­fec­tion du Nil occi­den­tal. Les résul­tats cli­niques sur le Sars-cov‑2 sont très pro­met­teurs (cette pré­sen­ta­tion du Dr Paul Marik offre un pano­ra­ma d’ensemble de l’état des connais­sances et des hypo­thèses sur les modes d’action de l’Ivermectine).

Innocuité

En géné­ral en méde­cine, plus un trai­te­ment est effi­cace, plus il y a de risques qu’il y ait des effets indé­si­rables sur d’autres organes, ce qui est logique. Pour l’Ivermectine il n’en est rien, ce médi­ca­ment est inoffensif.

Si on regarde Vigi­base, base de don­nées de l’OMS qui récolte depuis 30 ans les effets secon­daires de chaque agence du médi­ca­ment dans plus de 130 pays (dont la France), on relève 175 208 décla­ra­tions pour l’Aspirine, 159 824 pour le Doli­prane, et 4 614 pour l’Ivermectine. Sur 4 mil­liards de pres­crip­tions dans cette période, cela fait 0,0001% d’effets secon­daires. Il est dif­fi­cile d’ailleurs d’attribuer tous ces effets à la seule Iver­mec­tine, beau­coup étant dus au relar­gage de déchets de para­sites morts et, pour le Covid, aux autres médi­ca­ments asso­ciés. Par com­pa­rai­son, depuis le début de l’année et au 15 février, cette base signale 65 188 décla­ra­tions pour Comir­na­ty (le vac­cin Pfi­zer), contre 46 pour l’Ivermectine.

Dans son rap­port du 11 jan­vier sur ces effets secon­daires dans le trai­te­ment de la Covid, l’ANSM ne signale aucun pro­blème. Sur les 15 143 spé­cia­li­tés phar­ma­ceu­tiques rem­bour­sées en France, c’est cer­tai­ne­ment la molé­cule, ou une des molé­cules qui pré­sente le moins de risques. « l’I­ver­mec­tine est sans dan­ger et peut être uti­li­sé à grande échelle » écrit éga­le­ment l’OMS. Les études in vitro et les dos­siers d’AMM montrent que les doses effi­caces sont faibles par rap­port aux doses pou­vant poser pro­blème, cela a même été tes­té à 10 fois la dose chez l’homme, sans réac­tion. Une étude a même été faite chez le chien à 30 fois la dose (10mg/kg), sans problème.

Pour l’anecdote, une seule publi­ca­tion au monde parle de mor­ta­li­té due à Iver­mec­tine, dans The Lan­cet (un jour­nal dont la fia­bi­li­té n’est déci­dé­ment pas à la hau­teur de la répu­ta­tion). Cette publi­ca­tion de 1997, décrit 15 décès sur 47 pen­sion­naires d’Ehpad trai­tés par Iver­mec­tine pour une épi­dé­mie de gale. The Lan­cet aurait pu remar­quer qu’un trai­te­ment par Lin­dane et Per­me­thrine, insec­ti­cides mor­tels pour nombre d’animaux comme les chats, avait été appli­qué en badi­geon juste avant. Il a fal­lu une autre publi­ca­tion pour le décou­vrir. L’Ivermectine a ain­si mis des années pour se remettre d’un seul article aux conclu­sions erronées.

Pour le dire sim­ple­ment, tan­dis qu’un sur­do­sage de Doli­prane, médi­ca­ment recom­man­dé par les auto­ri­tés, peut entraî­ner une nécrose du foie poten­tiel­le­ment mor­telle, un sur­do­sage d’Ivermectine est inoffensif.

Prophylaxie

L’Ivermectine a une action remar­quable en pro­phy­laxie contre le Sars-Cov‑2. Le faible taux de Covid en Afrique, alors qu’au début de l’épidémie l’OMS pré­voyait une héca­tombe, n’est peut-être pas étran­ger à sa large uti­li­sa­tion (sans comp­ter tous les trai­te­ments pour le palu­disme avec Hydroxy­chlo­ro­quine). Dans le Inter­na­tio­nal Jour­nal of Anti­mi­cro­bial AgentsMar­tin Hell­wig et ses col­lègues de Ply­mouth (USA), après une revue de la lit­té­ra­ture, constatent que les pays où la chi­mio-pro­phy­laxie par Iver­mec­tine est admi­nis­trée en masse connaissent une épi­dé­mie signi­fi­ca­ti­ve­ment plus faible. Tou­te­fois si une prise annuelle est suf­fi­sante pour nombre de para­sites, ce n’est pas le cas pour les virus, d’où l’intérêt des tra­vaux en cours de la socié­té Medin­cell à Mont­pel­lier pour déve­lop­per une forme à action prolongée.

Il y a actuel­le­ment dans le monde, concer­nant la seule pro­phy­laxie, 11 études sur le sujet (3ECR), por­tant sur plus de 7 000 patients, avec une effi­ca­ci­té moyenne de 89%. En voi­ci deux exemples, avec 100% d’efficacité :

- Une étude en Argen­tine a por­té sur près de 1 200 soi­gnants au contact de patients Covid, sur 4 sites, pen­dant 2 mois et demi. 788 ont reçu de l’Ivermectine et 407 non. Résul­tat : 237 infec­tions dans le groupe non trai­té (soit 58% du groupe), et 0 dans le groupe trai­té. Un résul­tat sans appel.

- Une seconde publi­ca­tion, fran­çaise, a por­té sur les 121 rési­dents et employés d’un Ehpad (69 rési­dents, moyenne d’âge 90 ans, et 52 employés) de Seine et Marne qui se sont retrou­vé pro­té­gés de la Covid, grâce au trai­te­ment d’une épi­dé­mie de gale dans l’établissement en mars 2020.

Action thérapeutique

Si l’Ivermectine agit sur le Sars-CoV‑2 lorsqu’il attaque l’organisme humain, empê­chant son entrée dans les cel­lules et sa mul­ti­pli­ca­tion, il serait tota­le­ment illo­gique que ce que l’on constate en pro­phy­laxie ne se repro­duise pas en thé­ra­peu­tique. C’est ce que montrent la plu­part des études, décri­vant une amé­lio­ra­tion très rapide des troubles en phase pré­coce (dans les 48 heures). Et elle n’est pas dénuée d’intérêt non plus en phase plus tar­dive. La plu­part du temps, l’Ivermectine est tou­te­fois asso­ciée à des macro­lides (azi­thro­my­cine ou doxy­cy­cline le plus sou­vent), comme dans le pro­to­cole de l’IHU de Mar­seille (où l’azithromycine est don­née en com­plé­ment de l’hydroxychloroquine). C’est donc prin­ci­pa­le­ment sur l’association de ces deux médi­ca­ments que porte l’évaluation scien­ti­fique de leur effi­ca­ci­té thérapeutique.

Aucune étude dans le monde ne montre une inef­fi­ca­ci­té de l’Ivermectine. Seules 2 ou 3 études (par ex. Cha­car, 2020) ne montrent pas de dif­fé­rence avec d’autres soins (ou une absence de soins par­ti­cu­liers) mais ces études portent chaque fois sur peu de cas et sur­tout sur des sujets jeunes (âgés de 20 à 40 ans). Com­ment démon­trer qu’un trai­te­ment marche mieux qu’un autre à un âge où la qua­si-tota­li­té des per­sonnes gué­rit naturellement ?

S’il est dif­fi­cile d’analyser ces études, toutes dif­fé­rentes, toutes avec imper­fec­tions pos­sibles, le mieux est de les addi­tion­ner, ce qu’est en train de faire l’OMS pour éva­luer l’Ivermectine. On trouve plu­sieurs sites qui le font, et il y a les études de plu­sieurs méde­cins, comme les doc­teurs Marik et Kory aux Etats Unis et Hill et Lawrie en Angleterre.

Le site c19i​ver​mec​tin​.com recense 41 études (dont 20 ran­do­mi­sées) faites par 304 auteurs por­tant sur 14 833 patients, avec des résul­tats de 89% en pro­phy­laxie, 83% en phase pré­coce, la mor­ta­li­té glo­bale dimi­nuant de 78%.

En mars 2020 le pro­fes­seur Paul Marik a créé un groupe d’experts, avec le Dr Kory, la Front Line COVID-19 Cri­ti­cal Care Alliance (FLCCC), pour col­li­ger et ana­ly­ser toutes les études afin d’é­la­bo­rer un pro­to­cole de trai­te­ment pour le COVID-19. Ils ont décou­vert sur le tard l’I­ver­mec­tine. Leurs tra­vaux reprennent tous les modes d’action de l’Ivermectine et les résul­tats de tous les essais dis­po­nibles en pro­phy­laxie et en thé­ra­peu­tique. Ils détaillent cha­cune des études, sans faire de méta ana­lyse et concluent à une effi­ca­ci­té de l’Ivermectine en pro­phy­laxie, thé­ra­peu­tique et Covids longs. Ces résul­tats sur plus de 7 000 patients ont été pré­sen­tés le 6 jan­vier devant le Natio­nal Ins­ti­tut of Health.

Andrew Hill, à la demande de l’OMS/Unitaid a ana­ly­sé 18 essais cli­niques ran­do­mi­sés les moins dis­cu­tables, por­tant sur 2 282 patients. Il a noté une amé­lio­ra­tion rapide des troubles, une hos­pi­ta­li­sa­tion réduite et une réduc­tion de 75% de la mortalité.

Il y a éga­le­ment les tra­vaux du Dr Tess Lawrie. Ce méde­cin d’origine sud-afri­caine, cher­cheur en Grande Bre­tagne, direc­trice d’une socié­té indé­pen­dante de Conseil en Méde­cine basée sur des preuves (Evi­dence-Base Mede­cine Consul­tan­cy Ltd), qui traque les bonnes et les mau­vaises publi­ca­tions. Son tra­vail sur l’Ivermectine est fait selon les règles Cochrane comme elle a l’habitude de le faire pour l’OMS pour ses recom­man­da­tions dans le monde entier. Elle a repris les 27 ana­lyses de la FLCCC, pour en faire une méta-ana­lyse incluant les essais contrô­lés ran­do­mi­sés (ECR) et les études obser­va­tion­nelles contrô­lées (EOC), et excluant 11 études dont 5 pro­phy­lac­tiques. Les résul­tats sur les seules études les moins dis­cu­tables, contrô­lées, relues et publiées, montrent une dimi­nu­tion de la mor­ta­li­té de 83%. Sur les études en pro­phy­laxie, effi­ca­ci­té à 88%. Tout est résu­mé dans une excel­lente inter­view à voir.

Toutes ces études, de part et d’autre de l’Atlantique convergent, donnent toutes les mêmes résul­tats, résul­tats confir­més en ne sélec­tion­nant que les études ne pou­vant pas com­por­ter de biais. Comme le dit Tess Lawrie, on peut dis­cu­ter selon les études du pour­cen­tage de baisse de la mor­ta­li­té, mais la seule chose qu’on ne peut pas mettre en ques­tion, c’est la réa­li­té de la baisse. L’OMS et l’ANSM, ain­si que d’autres pays (Afrique du Sud, Royaume-Uni, …) sont en train d’étudier le dos­sier Iver­mec­tine pour revoir leur posi­tion. L’Inde dis­tri­bue mas­si­ve­ment (120 mil­lions de doses ven­dues) et a 3 à 4 fois moins de décès que nous, et chaque mois 2 ou 3 pays de plus auto­risent son uti­li­sa­tion. Voir ici une carte du monde.

Une comparaison cruelle pour la France (et la plupart des pays occidentaux)

Que sont les études non rete­nues ? Quelques études trop petites ou peu repré­sen­ta­tives (moins de 40 ans, patients en réani­ma­tion), mais aus­si de grosses études, car non encore relues et publiées, mais les résul­tats sont là. Pre­nons l’exemple de cette très grosse étude obser­va­tion­nelle réa­li­sée en Répu­blique Domi­ni­caine, dans les hôpi­taux de Bour­ni­gal et Pun­ta Cana, sur une cohorte de près de 3 100 patients s’étant pré­sen­tés aux urgences des hôpi­taux avec des symp­tômes datant de 3,6 jours en moyenne. Ce pays pauvre trai­tait lar­ge­ment à l’hydroxychloroquine, mais est tom­bé en rup­ture de stock dès la troi­sième semaine d’avril 2020. Ayant lu que l’Ivermectine pou­vait être avan­ta­geu­se­ment uti­li­sée dans la Covid dans une étude aus­tra­lienne in vitro, leur Comi­té d’éthique a tran­ché entre Doli­prane et Iver­mec­tine. Ils ont alors trai­té entre le 1er mai et le 10 aout (date de fin de l’étude en ques­tion) tous les patients se pré­sen­tant aux urgences pour Covid, soit 3 099 au total. Selon l’importance des troubles, ils ont dis­tin­gué ces patients en 4 catégories.

- Caté­go­rie 1 : 2 706 patients ont été ren­voyés et sui­vis chez eux, avec Iver­mec­tine. Sur ces 2 706 patients, 16 ont dû par la suite être hos­pi­ta­li­sés en uni­tés Covid (soit 0,6%), 2 sont pas­sés en soins inten­sifs et fina­le­ment un seul est décé­dé, soit un taux de léta­li­té de 0,04% dans l’ensemble de la cohorte). En France, où l’on se conten­tait offi­ciel­le­ment de don­ner du Doli­prane, on peut esti­mer que 10 à 15% des patients symp­to­ma­tiques sont pas­sés par l’hôpital et que 2% sont morts (envi­ron 20 000 cas posi­tifs et 400 morts par jour en moyenne depuis 2 mois).

- Caté­go­rie 2 : 300 patients pré­sen­taient des troubles plus sévères et ont été immé­dia­te­ment hos­pi­ta­li­sés dans des uni­tés Covid. Sur ces 300 patients, 3 sont décé­dés, soit un taux de léta­li­té de 1%. En France, ce chiffre est de l’ordre de 15 à 20%.

- Les caté­go­ries 3 et 4 concernent des patients encore plus malades et arri­vés plus tar­di­ve­ment (7 à 8 jours) après l’apparition des pre­miers symp­tômes, qui ont été immé­dia­te­ment pla­cés en soins inten­sifs. Sur ces 93 patients, un bon tiers (34) sont décé­dés. Ici il est mani­feste que l’Ivermectine n’a plus d’intérêt thérapeutique.

Ain­si, aux stades pré­coces, l’association Ivermectine/Azithromycine évite l’hospitalisation dans l’immense majo­ri­té des cas, et ramène la mor­ta­li­té à 1 cas sur 2 700, soit un taux qua­si­ment égal à 0. A ce stade comme au stade de l’hospitalisation, la dif­fé­rence avec les taux de mor­ta­li­té consta­tés en France est frap­pante. Il n’y a fina­le­ment qu’au stade de la réani­ma­tion que cette bithé­ra­pie ne montre plus vrai­ment d’intérêt.

Autorisation de traitement, mensonges et dénis

Pour­quoi l’Ivermectine n’est-elle pas encore offi­ciel­le­ment auto­ri­sée en France ? Tout médi­ca­ment, avant com­mer­cia­li­sa­tion, doit pas­ser nombre d’examens pour démon­trer son effi­ca­ci­té et son inno­cui­té, avec un rap­port bénéfice/risque qui doit être favo­rable. Les études sont longues et coû­teuses, finan­cées uni­que­ment par les labo­ra­toires, qui remettent fina­le­ment un dos­sier clés en main aux auto­ri­tés sani­taires en atten­dant que ces der­nières leur délivrent le sésame (l’autorisation de mise sur le mar­ché, AMM). Pour qu’un labo­ra­toire fasse ces démarches, il faut qu’il y trouve un inté­rêt finan­cier. Le pro­blème de l’Ivermectine – comme de l’hydroxychloroquine – est qu’elle est tom­bée dans le domaine public, qu’elle est géné­ri­quée et ne rap­porte donc plus beau­coup d’argent aux indus­triels qui la produisent.

C’est le labo­ra­toire Merck qui en déte­nait jadis le bre­vet. En France, il ne vend plus actuel­le­ment que moins de 5% des onze pré­sen­ta­tions com­mer­ciales auto­ri­sées, le reste étant des géné­riques. Ce médi­ca­ment ne pré­sente donc plus aucun inté­rêt pour lui. Faut-il dès lors s’étonner que Merck dénigre à pré­sent son propre médi­ca­ment ? Comme l’hydroxychloroquine, l’Ivermectine est une molé­cule « orphe­line » que per­sonne ne pren­dra plus en charge (ni dans la lutte contre la Covid, ni dans d’autres mala­dies). Dès lors, ce devrait être le rôle des auto­ri­tés sani­taires publiques de s’en empa­rer, dans l’intérêt géné­ral. Un pays aus­si immense que l’Inde l’a com­pris. Pas la France, dont la stra­té­gie tota­le­ment hos­pi­ta­lo-cen­trée empêche plus lar­ge­ment de pen­ser les trai­te­ments en phase pré­coce, ce qui nous vaut de figu­rer dans le pelo­ton de tête des pays où la mor­ta­li­té liée à la Covid aura été la plus forte, sans par­ler des séquelles durables de la mala­die chez les patients qui n’ont pas été véri­ta­ble­ment soignés.

Sur tout ceci pèse cepen­dant une chappe de plomb, un déni voire un tabou, qui n’est pas sans rap­pe­ler l’affaire de l’hydroxychloroquine. Les auto­ri­tés sani­taires, l’INSERM et nombre de méde­cins triés sur le volet pour inter­ve­nir sur les pla­teaux de télé­vi­sion dénigrent l’Ivermectine. La presse (à com­men­cer par l’AFP) relaye immé­dia­te­ment ce déni­gre­ment et il ne se trouve pas un seul jour­na­liste pour aller véri­fier tout ça. Enfin la revue Pres­crire (qui est indé­pen­dante des indus­triels mais pas de l’Etat dont elle reçoit des sub­sides) se laisse aller à son tour à mani­pu­ler les résul­tats des études scien­ti­fiques pour déni­grer ce médicament.

L’OMS et, en France, l’Agence Natio­nale de Sécu­ri­té du Médi­ca­ment (ANSM) sont en train d’étudier le dos­sier de l’Ivermectine, ce médi­ca­ment dont les décou­vreurs ont été nobé­li­sés et qui démontre son effi­ca­ci­té dans de nom­breux pays ailleurs qu’en Occi­dent. Il faut espé­rer que la situa­tion se débloque avant la fin de l’épidémie et avant qu’il ne nous reste plus que les yeux pour pleu­rer les morts.

Gérard MAUDRUX.

Source : https://​blogs​.media​part​.fr/​l​a​u​r​e​n​t​-​m​u​c​c​h​i​e​l​l​i​/​b​l​o​g​/​2​5​0​2​2​1​/​p​o​u​r​q​u​o​i​-​l​-​i​v​e​r​m​e​c​t​i​n​e​-​e​s​t​-​p​r​o​b​a​b​l​e​m​e​n​t​-​l​e​-​m​e​i​l​l​e​u​r​-​t​r​a​i​t​e​m​e​n​t​-​d​e​-​l​a​-​c​o​vid

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15 Commentaires

  1. joss

    Dis­cus­sion par l’Assemblée du Conseil de l’Eu­rope le 27 jan­vier 2021 (réso­lu­tion 2361)
    Vac­cins contre la covid-19 : consi­dé­ra­tions éthiques, juri­diques et pratiques
    https://​pace​.coe​.int/​f​r​/​f​i​l​e​s​/​2​9​0​0​4​/​h​tml

    Extraits :
    7.3 pour ce qui est d’assurer un niveau éle­vé d’acceptation des vaccins :
    7.3.1 de s’as­su­rer que les citoyens et citoyennes sont infor­més que la vac­ci­na­tion n’est PAS obli­ga­toire et que per­sonne ne subit de pres­sions poli­tiques, sociales ou autres pour se faire vac­ci­ner, s’il ou elle ne sou­haite pas le faire personnellement ;
    7.3.2 de veiller à ce que per­sonne ne soit vic­time de dis­cri­mi­na­tion pour ne pas avoir été vac­ci­né, en rai­son de risques poten­tiels pour la san­té ou pour ne pas vou­loir se faire vacciner ;
    7.5.2 d’utiliser les cer­ti­fi­cats de vac­ci­na­tion uni­que­ment dans le but dési­gné de sur­veiller l’efficacité du vac­cin, les effets secon­daires poten­tiels et les effets indésirables ;

    Réponse
  2. joss

    L’in­dus­trie phar­ma­ceu­tique, c’est comme l’in­dus­trie agro-ali­men­taire, elle vend des pro­duits. D’ailleurs, les médi­ca­ments des plantes s’ap­pellent les pro­duits phy­to­sa­ni­taires. On doit s’ins­pi­rer de la nature et réflé­chir de manière sys­té­mique, comme en per­ma­cul­ture. Le ter­rain, c’est notre corps. La mala­die, c’est une défaillance du sys­tème. La pre­mière action à effec­tuer est de s’as­su­rer que le ter­rain (le corps) est apte à fonc­tion­ner en har­mo­nie avec son envi­ron­ne­ment. Ca veut dire, « bien s’a­li­men­ter », avoir une « bonne acti­vi­té » phy­sique, ne pas « s’empoisonner » (c’est idiot mais on n’y pense pas), avoir des rela­tions res­pec­tueuses des autres (pour évi­ter le stress),…et vrai­ment si on ne sait pas faire autre­ment, alors uti­li­ser un « médicament ».

    Réponse
    • joss

      L’in­dus­trie agro-ali­men­taire est là bien sur pour faire du pro­fit, mais ensuite, pour nous rendre dépen­dant de l’in­dus­trie phar­ma­ceu­tique. Détruire le ter­rain pour nous vendre des médi­ca­ments (les pro­duits phy­to­sa­ni­taires pour les plantes). Alors nous prou­ver que l’hu­main est faible par nature et nous contrô­ler soi-disant pour notre san­té, notre sécu­ri­té. Ils jouent le rôle de per­sé­cu­teur et de sau­veur dans le tri­angle de Karp­man (tri­angle dra­ma­tique) pour nous rendre dépendants.

      Réponse
      • Bertrand Deflandre

        Je cherche le pro­to­cole Inver­mec­tine et macro­libe, ou le trouver
        bertdeflandre@yahoo.fr

        Réponse
    • Bob

      Ce serai bien d’a­voir l’age des patients trai­tés… Les résul­tats avec des patients jeunes seront for­ce­ment non signi­fi­ca­tifs puisque les patients gué­ri­ront avec ou sans traitement.

      Réponse
  3. joss

    Une ligne guide venant des hôpi­taux uni­ver­si­taires de Genève plus cri­tique envers l’ivermectine :
    « Place de l’ivermectine dans la prise en charge des patients atteints d’une infec­tion à SARS-CoV‑2 »
    https://​www​.hug​.ch/​s​i​t​e​s​/​i​n​t​e​r​h​u​g​/​f​i​l​e​s​/​s​t​r​u​c​t​u​r​e​s​/​c​o​r​o​n​a​v​i​r​u​s​/​d​o​c​u​m​e​n​t​s​/​i​v​e​r​m​e​c​t​i​n​e​-​e​t​-​c​o​v​i​d​-​1​9​.​pdf

    Ce docu­ment est inté­res­sant car il reprend une liste d’é­tudes sur l’ivermectine.

    Réponse
  4. joss

    Je retiens ceci de l’article :
    « Le pro­blème de l’Ivermectine – comme de l’hydroxychloroquine – est qu’elle est tom­bée dans le domaine public, qu’elle est géné­ri­quée et ne rap­porte donc plus beau­coup d’argent aux indus­triels qui la produisent. »

    Gérard Mau­drux
    Covid : l’ivermectine sou­ligne les méfaits de la poli­tique du médicament
    https://​www​.contre​points​.org/​2​0​2​0​/​1​0​/​2​3​/​3​8​2​7​3​2​-​c​o​v​i​d​-​l​i​v​e​r​m​e​c​t​i​n​e​-​s​o​u​l​i​g​n​e​-​l​e​s​-​m​e​f​a​i​t​s​-​d​e​-​l​a​-​p​o​l​i​t​i​q​u​e​-​d​u​-​m​e​d​i​c​a​m​ent

    -L’i­ver­mec­tine a une bonne inno­cui­té, on l’a déjà uti­li­sée a des doses de 10x la dose stan­dard comme anti-para­si­taire (dose stan­dard 200µg/kg).
    ‑Sur son effi­ca­ci­té contre la covid19, il y a des études qui pour­raient prou­ver l’ef­fi­ca­ci­té mais pas suf­fi­sam­ment solides pour les autorités…les mêmes auto­ri­tés qui ont accep­té le rem­de­si­vir de Gilead.

    Réponse
  5. joss

    L’ANSM publie sa déci­sion sur la demande de RTU pour l’ivermectine dans la prise en charge de la mala­die COVID-19 (06÷04÷21)
    https://​ansm​.sante​.fr/​a​c​t​u​a​l​i​t​e​s​/​l​a​n​s​m​-​p​u​b​l​i​e​-​s​a​-​d​e​c​i​s​i​o​n​-​s​u​r​-​l​a​-​d​e​m​a​n​d​e​-​d​e​-​r​t​u​-​p​o​u​r​-​l​i​v​e​r​m​e​c​t​i​n​e​-​d​a​n​s​-​l​a​-​p​r​i​s​e​-​e​n​-​c​h​a​r​g​e​-​d​e​-​l​a​-​m​a​l​a​d​i​e​-​c​o​v​i​d​-19

    …« En rai­son des don­nées dis­po­nibles à ce jour, nous ne pou­vons pas répondre favo­ra­ble­ment à la demande de RTU. Cepen­dant, nous sou­li­gnons la néces­si­té de mettre en œuvre de larges études cli­niques ran­do­mi­sées en vue de conclure sur la base d’une métho­do­lo­gie adap­tée à la pos­sible uti­li­sa­tion de l’ivermectine dans le contexte de la mala­die Covid-19. »

    Réponse

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