[La tyrannie qui vient, sous prétexte sanitaire] Big Brother is masking you

2/09/2020 | 22 commentaires

Sur l’i­nef­fi­ca­ci­té des masques, prou­vée par de nom­breux scien­ti­fiques, signa­lés ici par le très offi­ciel CDC (aux USA : Cen­ter for Disease Control and Protection) :

• Mesures non pharmaceutiques pour la grippe pandémique dans les milieux non sanitaires – Mesures de protection individuelle et environnementales

https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/26/5/19–0994_article

Abs­tract : Il y a eu 3 pan­dé­mies de grippe au 20e siècle, et il y en a eu une jus­qu’à pré­sent au 21e siècle. Les auto­ri­tés sani­taires locales, natio­nales et inter­na­tio­nales mettent régu­liè­re­ment à jour leurs plans pour atté­nuer la pro­chaine pan­dé­mie de grippe à la lumière des der­nières don­nées dis­po­nibles sur l’ef­fi­ca­ci­té des diverses mesures de contrôle pour réduire la trans­mis­sion. Ici, nous pas­sons en revue la base de preuves sur l’ef­fi­ca­ci­té des mesures de pro­tec­tion indi­vi­duelle non phar­ma­ceu­tiques et des mesures d’hy­giène envi­ron­ne­men­tale dans les milieux non sani­taires et dis­cu­tons de leur inclu­sion poten­tielle dans les plans de pan­dé­mie. Bien que les études méca­nistes sou­tiennent l’ef­fet poten­tiel de l’hy­giène des mains ou des masques faciaux, les preuves de 14 essais contrô­lés ran­do­mi­sés de ces mesures n’ont pas mon­tré un effet sub­stan­tiel sur la trans­mis­sion de la grippe confir­mée en labo­ra­toire. Nous avons éga­le­ment trou­vé des preuves limi­tées sur l’ef­fi­ca­ci­té de l’a­mé­lio­ra­tion de l’hy­giène et du net­toyage envi­ron­ne­men­tal. Nous avons iden­ti­fié plu­sieurs lacunes majeures dans les connais­sances, impo­sant des recherches plus appro­fon­dies, et plus fon­da­men­ta­le­ment une meilleure carac­té­ri­sa­tion des modes de trans­mis­sion de per­sonne à personne.

Lire la suite…

• Covid19 : « La mascarade a assez duré, comment la combattre ? » par le Docteur Nicole Delépine

https://​putsch​.media/​2​0​2​0​0​8​2​0​/​t​r​i​b​u​n​e​s​/​l​a​-​c​u​l​t​u​r​e​-​d​u​-​d​e​b​a​t​/​c​o​v​i​d​1​9​-​l​a​-​m​a​s​c​a​r​a​d​e​-​a​-​a​s​s​e​z​-​d​u​r​e​-​c​o​m​m​e​n​t​-​l​a​-​c​o​m​b​a​t​t​r​e​-​p​a​r​-​l​e​-​d​o​c​t​e​u​r​-​n​i​c​o​l​e​-​d​e​l​e​p​i​ne/

• Même David Pujadas est agacé en voyant « les cartes du Covid »…

https://​you​tu​.be/​O​l​C​O​1​U​G​C​qgM

• J.-F. Toussaint : « Il n’y a pas d’argument scientifique qui recommande le port du masque partout »

#Tout­Pou­voir­Va­Jus­quÀ­Ce­Quil­Ren­con­treU­ne­Li­mite

#Quand­Les­Ci­toyens­Von­tIl­sEn­fin­Se­Dé­ci­derÀ­Ré­flé­chi­rEux­Mê­me­sAux­Né­ces­sai­res­Li­mi­tes­De­Leurs­Re­pré­sen­tants

Pour m'aider et m'encourager à continuer, il est désormais possible de faire un don.
Un grand merci aux donatrices et donateurs : par ce geste, vous permettez à de beaux projets de voir le jour, pour notre cause commune.
Étienne

Catégorie(s) de l'article :

22 Commentaires

  1. Ana Sailland

    Récent échange télé­pho­nique avec une amie hypnothérapeute.

    Elle me dit qu’une tech­nique de pré­pa­ra­tion à l’é­tat hyp­no­tique consiste à don­ner au patient des infor­ma­tions absurdes ou contradictoires .….….….….….….….….….

    Réponse
    • Maryline

      Il sem­ble­rait qu’il s’a­gisse d’in­gé­nie­rie sociale et en l’occurrence, de dis­so­nance cog­ni­tive. A force de mar­te­ler des consignes absurdes et contra­dic­toires, plus per­sonne ne croit plus rien. Créant un état de vul­né­ra­bi­li­té pro­pice à la mani­pu­la­tion, etc. Cercle bien vicieux

      Réponse
    • joss

      En effet, un livre traite de ces tech­niques « thérapeutiques » :
      « le lan­gage du chan­ge­ment » Paul Watz­la­wick – 1986
      Extrait de la qua­trième de couverture :
      On pense et pense tout est rela­tif mes pen­sées pour les vôtres et les vôtres pour les miennes et ma chaise est ici et pour moi la vôtre est là parce que mon ici est ici et mon là est là est pour vous mon là est votre ici et votre là est votre ici juste comme pour le temps parce que le…  » Par ces élu­cu­bra­tions ampou­lées et pseu­do-logiques débi­tées à un patient sur un ton solen­nel, le Dr Erick­son cherche à pro­vo­quer chez lui un état de confu­sion intel­lec­tuelle : une tech­nique, par­mi d’autres, pour par­ve­nir à blo­quer l’ac­ti­vi­té de l’hé­mi­sphère gauche du cer­veau ; Pour­quoi ? Parce que, si l’on admet que l’hé­mi­sphère gauche est celui du décou­page ration­nel et ana­ly­tique, le droit, siège de ce qu’en psy­cha­na­lyse on appelle pro­ces­sus pri­maires, est celui de la sai­sie glo­bale,  » poé­tique « , figu­ra­tive : c’est donc là que se consti­tue, pour un sujet, son image du monde, cette mosaïque qui s’é­la­bore à par­tir de myriades d’ex­pé­riences, de convic­tions, d’in­fluences et d’in­ter­pré­ta­tions. Or, selon Paul Watz­la­wick, tout chan­ge­ment thé­ra­peu­tique est, en fait, un chan­ge­ment dans cette image.

      Réponse
    • ève

      Méthode vieille comme le monde qui consiste à dire tout et son contraire , afin de noyer les réelles infor­ma­tions , injus­ti­fiables aux yeux de la jus­tice et sur­tout du peuple ! Elle a dû moder­ni­ser ses accès pré­pa­rés pour l’o­pi­nion publique !
      Nous avons été trom­pés depuis deux siècles , ce n’est sûre­ment pas un hasard ! Entre le père noël et la nou­velle venue Hal­lo­ween qui ne sont que des pompes à fric mais un moyen d’en faire , les mani­pu­la­tions média­tiques , médi­cales , ban­caires , édu­ca­tives , main­te­nant sani­taires , nous sommes déjà bien ser­vis depuis plu­sieurs années ! En manque , on se demande bien ce qu’ils vont POUVOIR inven­ter de plus tor­du que ce qui l’est déjà !

      Réponse
  2. Béo

    On aura encore l’hys­té­rie jus­qu’à la fin des élec­tions US. Après ça devrait se calmer.

    Réponse
  3. joss

    Effi­ca­ci­té des masques ?
    Petite démons­tra­tion vaut mieux qu’un long discours…
    https://​you​tu​.be/​s​k​Q​Y​6​q​R​A​R0E

    OMS 5 juin 2020 – Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19
    À l’heure actuelle, il n’y a pas d’éléments directs (pro­ve­nant d’études sur la COVID-19 et sur les per­sonnes en bonne san­té au sein de la com­mu­nau­té) sur l’efficacité du port géné­ra­li­sé du masque par les bien-por­tants en vue de pré­ve­nir les infec­tions dues à des virus res­pi­ra­toires, notam­ment celui de la COVID-19. L’OMS qui suit régu­liè­re­ment les nou­velles don­nées sur cette impor­tante ques­tion publie­ra des mises à jour à mesure que de nou­velles infor­ma­tions seront disponibles.

    Réponse
  4. joss

    Tou­jours l’OMS 5 juin 2020 :
    Les études exhaus­tives sur la trans­mis­sion par des sujets asymp­to­ma­tiques sont dif­fi­ciles à réa­li­ser, mais les don­nées dis­po­nibles issues de la recherche des contacts noti­fiées par les États Membres font pen­ser que la trans­mis­sion du virus par des sujets infec­tés asymp­to­ma­tiques est bien moins fré­quente que la trans­mis­sion par des sujets symptomatiques.

    Réponse
  5. Berberis
  6. Berberis
  7. joss

    C’est du lourd !
    Il s’est tenu à Stras­bourg un évé­ne­ment réunis­sant Mar­tine Won­ner, Dépu­té, le Pro­fes­seur Per­ronne et le Pro­fes­seur Sibi­lia, doyen de la Facul­té de méde­cine de Stras­bourg. Un évé­ne­ment orga­ni­sé par les Biblio­thèques idéales de Stras­bourg (sep­tembre 2020).
    https://​you​tu​.be/​h​r​_​6​G​Z​_​6​ERE

    Réponse
    • joss

      je ne suis pas pour la chlo­ro­quine mais delà à l’interdire…il y a mes signaux d’a­lerte qui s’allument 🙂
      …tous mes signaux sont pas­sés au rouge en cette période.

      Réponse
  8. joss
  9. joss

    Un concep­teur du vac­cin russe anti-Covid s’inquiète des pos­sibles effets indé­si­rables des vac­cins déve­lop­pés en Occident
    https://​fr​.sput​nik​news​.com/​i​n​t​e​r​n​a​t​i​o​n​a​l​/​2​0​2​0​0​9​0​8​1​0​4​4​3​9​4​8​4​0​-​u​n​-​c​o​n​c​e​p​t​e​u​r​-​d​u​-​v​a​c​c​i​n​-​r​u​s​s​e​-​a​n​t​i​-​c​o​v​i​d​-​s​i​n​q​u​i​e​t​e​-​d​e​s​-​p​o​s​s​i​b​l​e​s​-​e​f​f​e​t​s​-​i​n​d​e​s​i​r​a​b​l​e​s​-​d​e​s​-​v​a​c​c​i​ns/

    Extrait :
    « Tout en signant le « gage de sécu­ri­té », ces entre­prises font éga­le­ment pres­sion sur les pays qui achètent leurs vac­cins pour qu’ils leur accordent une indem­ni­sa­tion com­plète des poursuites. »

    Réponse
  10. etienne

    “Nous ne voulons plus être gouvernés par la peur”, 35 chercheurs et médecins dénoncent “une communication anxiogène qui exagère systématiquement les dangers”

    11 sep­tembre 2020


    https://​covi​din​fos​.net/​c​o​v​i​d​1​9​/​n​o​u​s​-​n​e​-​v​o​u​l​o​n​s​-​p​l​u​s​-​e​t​r​e​-​g​o​u​v​e​r​n​e​s​-​p​a​r​-​l​a​-​p​e​u​r​-​3​5​-​c​h​e​r​c​h​e​u​r​s​-​e​t​-​m​e​d​e​c​i​n​s​-​d​e​n​o​n​c​e​n​t​-​u​n​e​-​c​o​m​m​u​n​i​c​a​t​i​o​n​-​a​n​x​i​o​g​e​n​e​-​q​u​i​-​e​x​a​g​e​r​e​-​s​y​s​t​e​m​a​t​i​q​u​e​m​e​n​t​-​l​e​s​-​d​a​n​g​e​r​s​/​2​0​41/

    Cette tri­bune publiée dans le quo­ti­dien Le Pari­sien du 10 sep­tembre est co-signée par 35 cher­cheurs, méde­cins ou uni­ver­si­taires dont le pro­fes­seur Tous­saint, le pro­fes­seur Tou­bia­na, le socio­logue Laurent Muc­chiel­li ou le phi­lo­sophe André Comte-Sponville.

    « Nous, scien­ti­fiques et uni­ver­si­taires de toutes dis­ci­plines, et pro­fes­sion­nels de san­té, exer­çant notre libre arbitre et notre liber­té d’expression, disons que nous ne vou­lons plus être gou­ver­nés par et dans la peur. La socié­té fran­çaise est actuel­le­ment en ten­sion, beau­coup de citoyens s’affolent ou au contraire se moquent des consignes, et nombre de déci­deurs paniquent. Il est urgent de chan­ger de cap.

    Nous ne sommes pas en guerre mais confron­tés à une épi­dé­mie qui a cau­sé 30 décès le 9 sep­tembre, contre 1438 le 14 avril. La situa­tion n’est donc plus du tout la même qu’il y a 5 mois. Par ailleurs, si la guerre peut par­fois jus­ti­fier un état d’urgence et des res­tric­tions excep­tion­nelles de l’Etat de droit et des liber­tés publiques qui fondent la démo­cra­tie et la Répu­blique, ce n’est pas le cas d’une épi­dé­mie. Aujourd’hui comme hier, cette crise doit nous unir et nous res­pon­sa­bi­li­ser, pas nous divi­ser ni nous soumettre.

    C’est pour­quoi nous appe­lons les auto­ri­tés poli­tiques et sani­taires fran­çaises à ces­ser d’insuffler la peur à tra­vers une com­mu­ni­ca­tion anxio­gène qui exa­gère sys­té­ma­ti­que­ment les dan­gers sans en expli­quer les causes et les méca­nismes. Il ne faut pas confondre la res­pon­sa­bi­li­sa­tion éclai­rée avec la culpa­bi­li­sa­tion mora­li­sa­trice, ni l’éducation citoyenne avec l’infantilisation. Nous appe­lons éga­le­ment l’ensemble des jour­na­listes à ne plus relayer sans dis­tance une com­mu­ni­ca­tion qui est deve­nue contre-pro­duc­tive : la majo­ri­té de nos conci­toyens ne fait plus confiance aux dis­cours offi­ciels, les com­plo­tismes en tous genres foi­sonnent sur les réseaux sociaux et les extré­mismes en profitent.

    Le confi­ne­ment géné­ral, mesure inédite dans notre his­toire, a eu des consé­quences indi­vi­duelles, éco­no­miques et sociales par­fois ter­ribles qui sont loin de s’être encore toutes mani­fes­tées et d’avoir été toutes éva­luées. Lais­ser pla­ner la menace de son renou­vel­le­ment n’est pas responsable.

    Il faut évi­dem­ment pro­té­ger les plus faibles. Mais de même que l’imposition du port du masque dans la rue, y com­pris dans les régions où le virus ne cir­cule pas, l’efficacité du confi­ne­ment n’est pas démon­trée scien­ti­fi­que­ment. Ces mesures géné­rales et uni­formes, impo­sées sous sur­veillance poli­cière, relèvent davan­tage d’une volon­té d’afficher une pos­ture pro­tec­trice que d’une stra­té­gie sani­taire pré­cise. D’où leur grande vola­ti­li­té depuis six mois. Beau­coup d’autres pays agissent avec plus de cohé­rence. Une coor­di­na­tion euro­péenne serait nécessaire.

    Nous appe­lons éga­le­ment le gou­ver­ne­ment à ne pas ins­tru­men­ta­li­ser la science. La science a pour condi­tion sine qua non la trans­pa­rence, le plu­ra­lisme, le débat contra­dic­toire, la connais­sance pré­cise des don­nées et l’absence de conflits d’intérêts. Le Conseil scien­ti­fique du Covid-19 ne res­pec­tant pas l’ensemble de ces cri­tères, il devrait être refon­dé ou supprimé.

    Nous rap­pe­lons par ailleurs que les pre­miers à soi­gner les malades sont les méde­cins géné­ra­listes. Les écar­ter de la lutte contre le Covid, en ne leur four­nis­sant ni tests ni masques et en sus­pen­dant leur liber­té de pres­crire les médi­ca­ments auto­ri­sés de leur choix a consti­tué une erreur qui ne doit pas se repro­duire. L’ensemble des soi­gnants doit au contraire être mobi­li­sé, équi­pé et soli­da­ri­sé afin d’améliorer nos capa­ci­tés de réac­tion et non les restreindre.

    Enfin, les impé­ra­tifs de pro­tec­tion contre la conta­gion ne doivent pas conduire à tra­hir l’éthique médi­cale et les prin­cipes huma­nistes fon­da­men­taux. Iso­ler les malades et pro­té­ger les per­sonnes à risque ne veut pas dire les pri­ver de tous droits et de toute vie sociale. Trop de per­sonnes âgées sont décé­dées et se dégradent encore actuel­le­ment dans un aban­don moti­vé par des motifs sani­taires non jus­ti­fiés. Trop de familles souffrent de ne pou­voir leur appor­ter l’affection indis­pen­sable à leur bon­heur et à leur santé.

    Il est urgent de nous remettre à pen­ser ensemble pour défi­nir démo­cra­ti­que­ment nos stra­té­gies sani­taires, redon­ner de la confiance à nos conci­toyens et de l’avenir à notre jeunesse. »

    Source :
    Le Pari­sien : “Nous ne vou­lons plus être gou­ver­nés par la peur”

    ____

    Les pre­miers signa­taires : Jean-Fran­çois Tous­saint, pro­fes­seur de phy­sio­lo­gie à l’Université de Paris ; Laurent Muc­chiel­li, socio­logue, direc­teur de recherche au CNRS ; Ber­nard Bégaud, pro­fes­seur de phar­ma­co­lo­gie à l’Université de Bor­deaux ; Gilles Bœuf, pro­fes­seur de bio­lo­gie à Paris-Sor­bonne Uni­ver­si­té ; Pierre-Hen­ri Gouyon, pro­fes­seur de bio­lo­gie au Muséum natio­nal d’histoire natu­relle ; Jean Rou­dier, pro­fes­seur de rhu­ma­to­lo­gie à l’Université d’Aix-Marseille ; Louis Fou­ché, méde­cin, anes­thé­siste-réani­ma­teur à l’Hôpital de la Concep­tion ; Oli­vier de Soyres, méde­cin, réani­ma­teur à la cli­nique des Cèdres ; Chris­tophe Lan­çon, pro­fes­seur de psy­chia­trie à l’Université d’Aix-Marseille ; Laurent Tou­bia­na, épi­dé­mio­lo­giste à l’Inserm ; Mylène Weill, bio­lo­giste, direc­trice de recherche au CNRS ; Anne Atlan, géné­ti­cienne des popu­la­tions et socio­logue, direc­trice de recherche au CNRS ; Ber­nard Swyn­ghe­dauw, bio­lo­giste, direc­teur de recherche émé­rite à l’Inserm ; Marc-André Selosse, pro­fes­seur de micro­bio­lo­gie au Muséum natio­nal d’histoire natu­relle ; Jean-Louis Thil­lier, méde­cin, immu­no­pa­tho­lo­giste ; Jean-Fran­çois Les­gards, bio­chi­miste, cher­cheur au CNRS ; Alexan­dra Menant, bio­lo­giste, cher­cheuse au CNRS ; André Comte-Spon­ville, phi­lo­sophe ; Fran­çois Gas­taud, chi­rur­gien ortho­pé­diste à Stras­bourg ; Éric Des­mons, pro­fes­seur de droit public à l’Université Sor­bonne Paris Nord ; Domi­nique Andol­fat­to, pro­fes­seur de science poli­tique à l’Université de Bour­gogne Franche-Com­té ; Cha­ra­lam­bos Apos­to­li­dis, pro­fes­seur de droit public à l’Université de Bour­gogne-Franche-Com­té ; Nico­las Sem­bel, pro­fes­seur de socio­lo­gie à l’Université d’Aix-Marseille ; Domi­nique Cro­zat, pro­fes­seur de géo­gra­phie à l’Université de Mont­pel­lier ; Mar­nix Dres­sen-Vagne, pro­fes­seur de socio­lo­gie à l’Université Ver­sailles Saint-Quen­tin-en-Yve­lines ; Tho­mas Hip­pler, pro­fes­seur d’histoire contem­po­raine à l’Université de Caen-Nor­man­die ; Nico­las Leblond, maître de confé­rences en droit à l’Université Poly­tech­nique Hauts-de-France ; Domi­nique Lab­bé, poli­tiste, ensei­gnant émé­rite à l’Université de Gre­noble-Alpes ; Arnaud Rey, cher­cheur en psy­cho­lo­gie au CNRS ; Mathias Delo­ri, poli­tiste, cher­cheur au CNRS ; Jacques Tas­sin, éco­logue, cher­cheur au Centre de coopé­ra­tion inter­na­tio­nale en recherche agro­no­mique pour le déve­lop­pe­ment (Cirad) ; Syl­vie Gour­let-Fleu­ry, éco­logue, cher­cheuse au Cirad ; Emma­nuelle Sul­tan, doc­teur en océa­no­gra­phie phy­sique, ingé­nieure de recherche au Muséum natio­nal d’histoire natu­relle ; Chris­tophe Leroy, bio­lo­giste, doc­teur en bio­lo­gie molé­cu­laire et cel­lu­laire ; Ber­nard Dugué, doc­teur en phar­ma­co­lo­gie, doc­teur en philosophie

    Réponse
  11. Berberis

    Iso­le­ment for­cé au Qué­bec : des pri­son­niers politiques ?
    par La chaîne qui pique !
    https://​www​.you​tube​.com/​w​a​t​c​h​?​t​i​m​e​_​c​o​n​t​i​n​u​e​=​3​1​9​&​v​=​q​I​h​z​R​U​1​X​l​F​s​&​f​e​a​t​u​r​e​=​e​m​b​_​t​i​tle

    « Le 2 sep­tembre 2020 le Dr Jacques Girard, direc­teur régio­nal de san­té publique par inté­rim, a pré­ci­sé que son orga­ni­sa­tion n’hésiterait pas à uti­li­ser les pou­voirs que lui confère la loi. En effet, une ordon­nance lui per­met d’or­don­ner l’i­so­le­ment, contre son gré, d’un indi­vi­du sus­pec­té d’être por­teur du Covid-19. Sachant que l’é­pi­dé­mie est ter­mi­née (les cas posi­tifs sont pra­ti­que­ment tous asymp­to­ma­tiques), pour­quoi les auto­ri­té mon­diales per­sistent à faire croire qu’elle conti­nue ? Pour ins­tal­ler, sous pré­texte de mesures sani­taires, une dic­ta­ture féroce ? Dans ce cas cette ordon­nance s’avérerait très pra­tique pour inter­ner les oppo­sants. En défi­ni­tive, le Que­bec se pré­pare t’il à faire des pri­son­niers politiques ? »

    Réponse
  12. Berberis

    La SPILF a reçu en 3 ans 610.000 € des labos dont 80.000 € de Gilead
    3 SEPTEMBRE 2020
    https://​www​.nexus​.fr/​a​c​t​u​a​l​i​t​e​/​c​o​n​f​l​i​t​-​d​i​n​t​e​r​e​t​s​/​s​p​i​l​f​-​g​i​l​e​ad/

    « Plu­sieurs cen­taines de scien­ti­fiques de la Spilf ont récem­ment por­té plainte contre le Pr Raoult l’accusant d’utiliser sans preuves d’efficacité son fameux trai­te­ment à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine contre la Covid-19. »

    Réponse
  13. joss

    [ZAP] DYSTOPIE & LOI SÉCURITÉ GLOBALE par Le Pixel Mort (11÷11÷20)

    https://​you​tu​.be/​i​P​x​c​C​m​t​k​UNo

    Wiki­pe­dia :
    « Le pan­op­tique est un type d’ar­chi­tec­ture car­cé­rale ima­gi­née par le phi­lo­sophe uti­li­ta­riste Jere­my Ben­tham et son frère, Samuel Ben­tham, à la fin du xviiie siècle. L’ob­jec­tif de la struc­ture pan­op­tique est de per­mettre à un gar­dien, logé dans une tour cen­trale, d’ob­ser­ver tous les pri­son­niers, enfer­més dans des cel­lules indi­vi­duelles autour de la tour, sans que ceux-ci puissent savoir s’ils sont obser­vés. Ce dis­po­si­tif devait ain­si don­ner aux déte­nus le sen­ti­ment d’être sur­veillés constam­ment et ce, sans le savoir véri­ta­ble­ment, c’est-à-dire à tout moment. Le phi­lo­sophe et his­to­rien Michel Fou­cault, dans Sur­veiller et punir (1975), en fait le modèle abs­trait d’une socié­té dis­ci­pli­naire, axée sur le contrôle social. »

    Réponse

Laisser un commentaire

Derniers articles