35 ans de promesses d’Europe sociale : vol de crapules au-dessus d’un nid de cocus. Ça fait 150 ans que les travailleurs sont roulés par des vendus d’extrême droite (escrocs politiciens au seul service des 1% privilégiés) fallacieusement autoproclamés « socialistes »

22/05/2014 | 18 commentaires

Après s’être remé­mo­ré ce tis­su de men­songes éhon­tés, y aura-t-il encore des gogos pour « voter socialiste » ?

Hen­ri Guille­min explique la genèse de l’es­cro­que­rie « répu­bli­caine », avec Thiers et son par­ti dit « centre gauche » : un faux « socia­lisme » pour endi­guer le vrai socialisme :

Marre de la gauche de droite, marre marre marre !

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18 Commentaires

  1. J-Stéphane

    Por­tiques éco­taxe, comme un air de déjà vu ; les bar­rières de l’octroi.

    « Si le 14 juillet 1789 a une valeur sym­bo­lique dans la mémoire des Fran­çais, l’attaque, le pillage, la des­truc­tion et l’incendie des nom­breuses bar­rières de l’octroi qui cein­tu­raient Paris repré­sentent un épi­sode moins connu. Cette péri­pé­tie est relé­guée à un niveau moindre, comme si cette phase était la suite logique des ten­sions qui culmi­naient depuis le début du mois de juillet et dont l’aboutissement évident serait la prise de la Bas­tille, aven­ture qu’il est digne de racon­ter, car cette der­nière mar­que­rait le début du règne de la liber­té. De fait, peu de lignes, peu d’explications ont été écrites sur cet évé­ne­ment qui, pour­tant, pré­cède la prise de la Bastille.

    Dans son livre monu­men­tal sur le fau­bourg Saint-Mar­cel, Haïm Burs­tin consacre plu­sieurs pages aux bar­rières et aux consé­quences immé­diates et ulté­rieures qu’elles eurent auprès de la popu­la­tion et du pou­voir. Si l’auteur exa­mine plus atten­ti­ve­ment ce qui se passe dans les quar­tiers qu’il étu­die, il pointe du doigt un aspect… »

    http://​ahrf​.revues​.org/​1​2​765

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  2. Gérard GILBERT

    « vol de cra­pules au-des­sus d’un nid de cocus ».
    J’a­dore cette expres­sion que j’au­rais aimé avoir trou­vée ! Puis-je la reprendre ?
    J’ai la même pas­sion que vous pour ce grand « bon­homme » qu’é­tait Hen­ri Guille­min. Ah si l’on nous avait ensei­gné l’His­toire de France comme il l’a fait !
    Mer­ci cher Etienne ! Le fait que des gens comme vous existent encore me récon­forte et m’empêche de déses­pé­rer com­plè­te­ment ! Bra­vo et conti­nuez votre com­bat, « notre » com­bat pour une socié­té enfin « juste » et une démo­cra­tie enfin « authentique » !

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  3. mettra

    Très éclai­rante, votre vidéo sur les pro­messes d’Eu­rope sociale, évi­dem­ment non tenues. Et la répé­ti­tion, dans ce domaine, ne crée pas la satié­té ! On se demande si, en les lan­çant, ces pro­messes, leurs auteurs y croient même encore. Mais ce n’est pas le sujet…Ce que l’on peut trou­ver « désar­mant », c’est le cynisme de ces diri­geants, sui­vis par tous leurs affi­dés des par­tis offi­ciels. Le der­nier exemple en est la « dési­gna­tion/p­seu­do-élec­tion » du nou­veau Pré­sident de la Com­mis­sion euro­péenne, le grand réfor­ma­teur défen­seur entre autres de l’har­mo­ni­sa­tion sociale, M. Jun­cker. Cette ficelle-là, on aurait pu pen­ser que les scé­na­ristes hési­te­raient à l’u­ti­li­ser, vu l’é­nor­mi­té de l’imposture…Eh bien, non « ça » aus­si ça passe…Le pro­blème, c’est qu’a­vec l’im­pu­ni­té des for­faits, l’im­pu­dence de ceux qui les com­mettent, ou celle de leurs com­plices, s’ac­croît. Leurs pro­chains objec­tifs : le Trai­té Trans­at­lan­tique et l’ex­ten­sion de l’U.E. à une Ukraine certes réduite de sa part orien­tale, mais offrant de nou­velles pos­si­bi­li­tés de délo­ca­li­sa­tions d’in­dus­tries alle­mandes essen­tiel­le­ment. Voi­là les deux prio­ri­tés du pro­gramme quin­quen­nal de la nou­velle Commission.

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    • 222

      Ce Jun­cker-là ( t’y parles d’un Joker !), lui aus­si, si quel­qu’un veut bien en faire un exemple et un pseu­do-mar­tyre, ce ne sera cer­tai­ne­ment pas une grosse perte, le moins qu’on puisse dire.

      MAXIMILIEN

      Réponse
  4. Katharina

    si tu veux mon avis, Atti­la a l’air d’un obsé­dé malade qui vient de regar­der pen­dant 4 heures par le trou de ser­rure dans la chambre de la femme de ménage. Ca y est, ils dégé­nèrent pour du bon…

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    • Ana Sailland

      C’est vrai qu’au début,quand il se cure les dents, il a un petit air fri­pé qui auto­rise des hypo­thèses osées sur une déchéance prochaine. 

      Mais plu­tôt que sur l’as­pect, qui n’est peut être qu’une ruse de plus, je me penche sur le discours.

      Depuis quelques années, JA se la joue boud­dhiste, ou new age, ou pro­gam­ma­tion neu­ro lin­guis­tique (TNI), qui aurait conver­sé toute une nuit avec Kri­sh­na sur l’ac­tion dans le déta­che­ment épa­noui, ou serait membre actif d’une loge scien­to­logue tein­tée de méthode Coué :
      C’est grande per­ver­sion que de louer l’é­pa­nouis­se­ment au tra­vail (poten­tielle réa­li­té heu­reuse, c’est vrai, mais dans la civi­li­sa­tion du don acra­to­pège, et cer­tai­ne­ment pas dans celle du capi­ta­lisme anxio­gène) et dans le même temps de sou­te­nir un pro­jet poli­tique qui pro­pose de ren­for­cer l’a­vi­lis­se­ment au tra­vail, et de réduire les pro­tec­tions pro­mises par l’ar­ticle 23 de la DUDH, tout cela fleu­ri de grandes idées que je pour­rais sou­te­nir si elles n’é­taient pas le cache sexe d’un viol en bande organisée.

      L’an­ti-socia­lisme du par­ti pré­ten­du socia­liste prend l’as­pect du maquillage bla­fard d’une volon­té bar­bare, par la pour­tant noble phi­lo­so­phie de l’en­ga­ge­ment, mais ici réduite à cos­mé­tique mensonge.

      Ce type est un salo­pard car pour habiller le crime il use de la sainte espérance.

      Besan­ce­not tient la route, mais sans contes­ter le prin­cipe oli­gar­chique. Un ami inutile.

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      • Katharina

        oui, jus­te­ment, ce n’est pas à cause de la curée des dents que j’ai dit cela. le tout, le tout : men­tir com­plè­te­ment sans gêne mais en même temps d’être tota­le­ment per­ver­ti dans le rap­port humain, c’est pour­quoi mon image. Il a joué là la comé­die du mec­ton à qui les pro­po­si­tions des non-élites sont hono­rables mais inutiles et c’est triste mais vrai que Besan­ce­not a été vache­ment trop poli et n’a pas pron­con­cé la vraie cause des causes : ce sont des salo­pards per­ver­tis. MAIS ils ne connaissent qu’une seule direc­tion, ils ne sont pas très habiles en fait, juste bru­taux, puisque trop sûrs d’eux, ils oublie­net de se cacher. Donc il faut bien regar­der leurs comportements.
        D’ailleurs Karad­zic l’as­sas­sin de la Ser­bie s’est caché dans un camp éso­thé­rique où il s’est fait pas­ser pour un grand méde­cin. Les gens l’ont cru, mais un jour il a été décou­vert et mis au pri­son. Ces gens-là n’ont pas la vie tran­quille. Ils savent qu’en fait il suf­fit par­fois d’un coup d’al­lu­mette. Mais là il joue encore sa comé­die. Ils sont vache­ment trop gen­tils les gens ! pour­quoi ne pas dire la véri­té brute devant les télé­spec­ta­teur en direct ? Une occa­sion unique ! Arrê­tez de res­ter polis !
        Conseil de film : « Le jour­nal d’une femme de chambre » de Luis Bunuel ! Ana­lyse brute, mais enjouée. Regard blas­phé­mique et humain. Génial. Régal.

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        • 222

          Je m’en tiens à cette seule image de la vidéo en lieu, étant dans l’im­pos­si­bi­li­té actuel­le­ment de vision­ner la moindre vidéo.
          Besan­ce­not nou­veau look, loin du fac­teur et de cette image moins léchée, moins consen­suelle… quant à ATTILA, que dire, qu’es­pé­rer d’un tel per­son­nage sinon l’in­vi­ter à vite chan­ger son fusil d’é­paule sous peine d’y lais­ser les quelques plumes qu’il lui reste.

          LE GÉNÉRAL

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        • 222

          de la vidéo en ‘lien’…

          Réponse
        • Ana Sailland

          Katha­ri­na, tu as l’air d’ai­mer Bunuel puisque tu nous l’as déjà suggéré.
          Il y a 31 ans à Lau­sanne nous avons eu droit à la ciné­ma­thèque à une inté­grale. Un vrai régal. N’ai rien loupé.
          Mais en ce temps là je n’en per­ce­vais la por­tée qu’à demi, dans le plai­sir de se voir bous­cu­lée dans l’i­ro­nie gron­çante et décalée.
          Mais il y a plus, n’est ce pas 🙂

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          • Katharina

            « se voir bous­cu­lée dans l’ironie gron­çante et décalée. »
            ah, c’est com­plè­te­ment faux. Et puis j’aime les artistes clairs, pleins d’es­prit et lucides. Voi­là Bunuel. Va revoir avec ton oeil d’au­jourd’­hui les grands films que tu as vu il y a 20 ans – ils ont tout pré­vu ET ana­ly­sé. Réduire Bunuel à l’i­ro­nie gron­cante et déca­lée est un peu boof – c#est ce qu’on nous a dit à l’é­cole , mais cela ne veut pas dire que c’est juste.
            Donc je vais conti­nuer à pos­ter ce que je trouve utile aujourd’­hui, Ana.

          • Ana Sailland

            Mais il y a plus, n’est ce pas 🙂 , disais-je

        • Jacques

          (Pos­si­bi­li­té de sous-titres en francais.)

          Réponse
        • Ana Sailland

          Nous étions par­tis sur la loi Macron.
          Il me semble qu’il sera dif­fi­cile à l’ar­tiste d’être le spec­ta­teur heu­reux de sa créa­tion s’il est cais­sier à Car­re­four ou Lidl le dimanche matin, et sans défense et sans droit.

          Cepen­dant j’ai vu dans les vil­las mise­rias (bidon­villes) des enfants mal­nu­tris, voire dénu­tris, mais plus heu­reux que cer­tains de nos ados en Nike. Cela parce qu’ils vivaient dans l’in­ten­si­té (et dans un contexte de vraie rela­tion humaine)

          Si le mal­heur et la souf­france sont faciles à expli­quer, la loca­li­sa­tion du bon­heur est plus mys­té­rieuse. Sa source.
          Et c’est tout l’in­té­rêt de cette vidéo 🙂

          Savons nous mal­gré les cir­cons­tances choi­sir entre deux états de perception ?
          Est ce natu­rel ou apprentissage ?

          Nous pouvons/devons nous y intéresser.

          Une cer­taine façon de voir entendre goû­ter et sen­tir, dans l’in­ten­si­té non cris­pée, peut être.
          Ou bien une éco­lo­gie de l’at­ten­tion qui fait s’ou­vrir le regard sur un autre pay­sage que le tout venant.

          Inté­res­sante est l’al­lu­sion du confé­ren­cier au nombre maxi­mum de bits que le cer­veau peut trai­ter. Dans cette optique scien­ti­fique, il me semble qu’une par­tie de notre maigre débit doit être en per­ma­nence consa­crée à l’ob­ser­va­tion neutre de ce qui est vécu, ceci afin que ce qui est vécu soit per­çu dans toute sa splen­deur conti­nue. Sans ce choix déli­bé­ré d’af­fec­ta­tion d’une par­tie consé­quente de nos capa­ci­tés à la veille atten­tive, le bon­heur sera inexis­tant car mas­qué par toutes les sol­li­ci­ta­tions, dési­rs, peurs, frus­tra­tions, et même jouissances.

          Dans les Upa­ni­shad on voit deux oiseaux jumeaux côte à côte, l’un picore et l’autre regarde.
          Nous pou­vons y voir celui qui vit et celui qui se voit vivre.
          Ou le robot bio­lo­gique qui sans la conscience n’est rien.

          (le texte upa­ni­shad est facile à trou­ver avec moteur de recherche)

          Réponse
        • Jacques

          En fait, il y a plu­sieurs élé­ments qui en fait une vidéo utile :
          Déjà c’est un vrai psy­cho­logue, donc la mon­tagne Atta­li se voit dépas­sé par une mon­tagne plus haute dans un domaine qui n’est pas le sien.
          À un moment, il montre qu’une hausse de salaire n’aug­mente pas le bon­heur res­sen­ti, donc preuves à l’ap­pui l’hu­bris est mesu­rable et dénon­çable (non pas pour une chasse aux sor­cières, il ne s’a­git pas de sor­tir les guillo­tines, mais bien d’y voir une cause struc­tu­relle dans la faillite du sys­tème consu­mé­riste global).
          Je vois sur­tout un argu­ment pour le reve­nu de base /salaire à vie / divi­dende uni­ver­sel = non, les gens ne feraient pas rien, l’é­man­ci­pa­tion du « flow » pour tous vien­drait en contre­par­tie d’une par­ti­ci­pa­tion dans la vie com­mune, qu’elle soit prag­ma­tique & pra­tique de tout les jours ou en réfé­rence à l’art, à l’in­tel­lect, et autres biens com­muns qui devraient être tota­le­ment gra­tuits et tota­le­ment accessibles.
          Et pour le tra­vail (celui de l’ar­ti­san, qui passe des années à per­fec­tion­ner son art), l’ar­gu­ment « ce sont les livres qui nous appellent » est équi­valent ici, encore fau­drait-il avoir des for­ma­tions acces­sibles pour tous (et gra­tuites, pos­si­ble­ment nour­ri, loger, blan­chi… sans retom­ber chez les com­pa­gnons non plus… plu­tôt la convi­via­li­té de l’ar­ti­san qui est retri­bué par l’é­tat pour la for­ma­tion qu’il dis­pense), mais là je donne presque rai­son à Atta­li, sauf qu’i­ci « maître » devient « arti­san de son oeuvre » sur qui on s’ins­pire par neu­rones miroirs inter­po­sés, dans une com­mu­ni­ca­tion bien réelle et sur quelque chose de bien concret, loin de l’é­co­no­misme divinatoire. 

          Ensuite il est clair que pour les tra­vaux pénibles, l’u­sine, la robo­ti­sa­tion comme Jorion l’ap­pré­hende peut être la solu­tion : tout robot qui rem­place le tra­vail de l’homme doit payer les salaires des ouvriers (ie pour tout type de robots = future caisse natio­nale des salaires, soyons opti­mistes!) et non le capi­tal (ou inver­ser les pour­cen­tages si l’in­ves­tis­se­ment n’est pas natio­na­li­sé mais on reste dans la logique de la guerre du capi­tal destructo-anti-créatrice.)
          J’a­vais eut une idée, je ne sais pas les tenants & about­tis­sants, mais on voit dans l’in­dus­trie deux types de com­por­te­ments : soit le financier/manager décide en amont et rend les choses en aval absurde au sens pra­tique, ou inhu­maine dans l’es­cla­vage mon­dia­li­sé, soit l’ingénieur/manager vient impo­ser sa nou­velle méthode comme un petit chef du haut de son jeune diplôme dans une équipe poten­tiel­le­ment déjà bien rôdée (pro­cé­dé machia­vel). Pour y remé­dier, il fau­drait qu’à chaque niveau de responsbilité/salaire, on ait connut et tra­vaillé sur cha­cun des postes qu’on dirige, avec tous les tenants & abou­tis­sants que cela implique (j’ai bien rit quand Mon­te­bourg a prit des cours à l’In­seed…). Et si l’in­ves­tis­se­ment reste pri­vé, peut-on impo­ser que l’ac­tion­naire mette la main à la pâte et connaisse les tenants et abou­tis­sants de cha­cun des postes dont il a besoin pour se faire du pro­fit ? (Variante au pro­fit du capi­tal indexé sur temps d’in­ves­tis­se­ment, sans tom­ber dans l’an­ti-intel­lec­tua­lisme / anti-bour­geoi­sisme pri­maire type maoïste, mais « direc­tion » vers des entre­prises à échelle humaine. )

          Enfin la ques­tion internationale :
          1) Déjà, comme Lor­don, on peut dire que c’est la mon­naie et l’in­ves­tis­se­ment qui sont à la fois le pro­blème et la solu­tion, mais, tout type de sou­ve­rai­ne­té confon­due, c’est bien au niveau natio­nal que l’on peut reprendre les manettes. Reste au citoyen à se prendre en main et au peuple à vou­loir écrire une nou­velle consi­tu­tion. Et si les autres peuples font de même, alors on peut recon­si­dé­rer l’eu­rope, le monde.
          2) Pré­sen­te­ment, il s’a­git de faire des liens avec des vrais gens qui veulent une vraie jus­tice dans leur propre pays, on échange nos visions locales, inter­po­sés, mon­diales pour mettre à plat les média-men­songes (d’ailleurs il fau­drait tra­dui­re/­sous-titrer en un maxi­mum de langues toutes les ini­tia­tives éman­ci­pa­trices)… il faut que les euro­péens et a for­tio­ri les humains se disent des fran­çais : « ils l’ont fait ! », ou du moins, « ils sont prêts à le faire ! »… « et nous ? »
          3) Le pro­blème avec la misère et en par­ti­cu­lier celle à l’é­tran­ger (par l’exo­tisme por­teur de sté­réo­types), c’est qu’elle nous porte entre com­pas­sion et altruisme : dans l’un on donne notre empa­thie et en échange on reçoit des images de souf­france, donc on se « dés­éner­gise » en voyant les mal­heurs de toutes parts ; dans l’autre, l’empathie est vue comme néces­saire à l’ap­pren­tis­sage et sine equa non pour se remettre d’un trau­mas (la misère étant un trau­ma), mais ici on donne les moyens pour que l’autre se remette : ce qu’on donne nous reviens en voyant le bien qui s’est déve­lop­pé. Donc altruisme glo­bal et empa­thie dans l’ac­com­pa­gne­ment ponctuel&local.
          4) Entre ingé­rence, trans­pa­rence, RG, monar­chie mili­ta­ro-déci­sio-pré­si­den­tiel, géo-poli­tic0-éco-stra­té­gie… il fau­drait faire redes­cendre les débats de la ques­tion inte­na­tio­nale au niveau du peuple, que se soit au par­le­ment ou dans une chambre tout ou par­tie tirée au sort = mul­ti­na­tio­nales au pre­mier rang des accu­sés ; inco­hé­rence diplo­ma­tique fran­çaise, qui se veut éthique, au second (col­lu­sion Ota­nesque, pas­sé colo­nial et j’en passe).

          Du reste, je suis tou­jours assez d’ac­cord avec vos commentaires !

          Réponse

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