Contre la thèse (erronée et hypnotisante) des prétendues « crises », Emmanuel Todd évoque enfin L’EUROFASCISME

19/05/2014 | 13 commentaires

Contre la thèse (erro­née et hyp­no­ti­sante) des pré­ten­dues « crises »,
Emma­nuel Todd évoque L’EUROFASCISME

Deux minutes brillantes, à « Ce soir ou jamais » le 14 février 2012 :

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Étienne

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13 Commentaires

  1. etienne

    Fran­çois Asse­li­neau, seul à prô­ner la sor­tie de l’U­nion euro­péenne, de l’eu­ro et de l’OTAN :

    Réponse
  2. samaouste9459

    Oui …un peu facile de faire la pro­mo de l’U­PR alors que tu appelles à voter pour une liste qui ne réclame même pas la sor­tie de l’€, de l’UE et de l’Otan !
    En fait, tu ne fais ce posi­tion­ne­ment que parce que toi et Fran­çois Asse­li­neau dif­fé­rez sur le sujet du tirage au sort.
    Et là, pour le coup, je pense que tu aurais du t’abs­te­nir de don­ner une consigne de vote … en appor­tant ton sou­tient à une liste pro sys­tème en fin de compte.
    Fran­che­ment, sur ce coup là, Etienne , faut que tu décroches parce que si c’est ça éle­ver le débat poli­tique, je vais me rache­ter une télé et me taper de la coupe du monde de mil­liar­daires jus­qu’à plus soif !!!!!!!!!

    Réponse
    • etienne

      « Samaouste9459 »,

      Pro­ba­ble­ment par défor­ma­tion par­ti­sane (l’or­ga­ni­sa­tion en par­tis fait de nous des sol­dats en guerre contre tous ceux qui sont hors du par­ti ; c’est juste affreux), vous voyez dans mon pro­pos des « consignes de vote » où il n’y en a PAS : je répète par­tout que, de toutes façons, nos votes ne chan­ge­ront RIEN (tout est bien ver­rouillé) et qu’il est INUTILE et NUISIBLE de nous dis­pu­ter sur ce sujet-là.

      Je vous fais remar­quer que je signale DES can­di­dats et non pas un seul ; il me semble que c’est une preuve tan­gible qu’il ne s’a­git nul­le­ment de « consignes », mais de relais d’in­fos qui me paraissent éclairantes.

      Mais cer­tains mili­tants de l’U­PR s’é­chinent à taper sur les seuls (peu nom­breux, pour­tant) qui conti­nuent à les défendre, au pré­texte qu’on ne défend pas qu’eux exclu­si­ve­ment, ou qu’on ne défend pas exac­te­ment les mêmes points de vue. C’est juste SECTAIRE et bor­né, ÇA COUPE le mou­ve­ment de l’U­PR de tout ce qui vit en dehors de lui et pense libre­ment, et c’est donc juste REPOUSSANT (de mon point de vue). 

      Heu­reu­se­ment que ces reproches invrai­sem­blables ne viennent QUE de cer­tains membres de l’U­PR, sans quoi je ferais comme les autres : je ne par­le­rais plus du tout de ce mouvement. 

      Vous vou­lez quoi, Samaouste9459.. ? Que je ne défende que l’u­pr, comme un bon mili­tant de l’u­pr ? C’est hors de ques­tion, évi­dem­ment, arrê­tez de me cas­ser les pieds : contrai­re­ment à vous, je suis libre de dire le bien que je pense de PLUSIEURS pro­po­si­tions poli­tiques, même par­tiel­le­ment oppo­sées, sans être enchaî­né à la ligne d’un par­ti, sans être tenu par aucune dis­ci­pline mili­taire de la pensée. 

      Vos reproches sont si contre­pro­duc­tifs (ce sec­ta­risme intran­si­geant repousse tout le monde loin de vous), que c’est à se deman­der si vous êtes bien de l’UPR…

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  3. etienne

    Todd et la crise : « nous sommes dans les années 30. » 
    (« Ce soir ou jamais » du 14 février 2012)

    Réponse
  4. etienne

    (Signa­lé par Fakir, avec ce commentaire :
    « Un axe fran­co-alle­mand pour l’Eu­rope ? Avant Jean Mon­net, le « père » de l’Eu­rope (appe­lé par De Gaulle le « petit finan­cier à la solde des amé­ri­cains »), d’autres en avaient rêvé : les col­la­bos, des pacifistes.…pendant l’occupation.
    Affiche libre­ment ins­pi­rée de « Etes-vous plus fran­çais que lui ? », et illus­trant « L’eu­rope de pépé à la mémoire courte », paru dans le Fakir n°40. »)

    Réponse
  5. etienne

    Du pitoyable récit euro­péiste à l’injonction de voter

    http://​pira​tages​.word​press​.com/​2​0​1​4​/​0​5​/​2​1​/​d​u​-​p​i​t​o​y​a​b​l​e​-​r​e​c​i​t​-​e​u​r​o​p​e​i​s​t​e​-​a​-​l​i​n​j​o​n​c​t​i​o​n​-​d​e​-​v​o​te/

    21 mai 2014 par Vogelsong 

    « L’Europe a été notre ajus­te­ment structurel »
    Jean Pisa­ni-Fer­ry (cercle des éco­no­mistes) dans le Figa­ro en mars 2005 

    L’Union Euro­péenne c’est l’Europe. Ni plus ni moins. Par un étrange tour de passe-passe, les pro­fes­sion­nels du mar­ke­ting poli­tique, bien aidés par les répé­ti­teurs média­tiques, ont gra­vé l’idée qu’un assem­blage éco­no­mique hété­ro­clite fai­sait enti­té poli­tique. Or ce récit, aus­si peau­fi­né soit-il par les agences de com­mu­ni­ca­tion, s’avère pitoyable quand il entre en col­li­sion avec le réel. Le ber­nard­guet­tisme (♠) a ceci de pro­di­gieux, et cela vaut pour tous ses ava­tars dont le jean­qua­tre­me­risme, c’est qu’il fait fi de la pesan­teur des contin­gences du monde élé­men­taire. Il est le révé­la­teur de deux uni­vers, ceux qui vivent de la poli­tique et ceux qui la vivent.

    Les élé­ments du récit

    Ce pitoyable récit com­porte deux volets. L’un empha­tique à base de paix et d’harmonie des peuples, dont les réa­li­sa­tions sont dif­fi­ciles à éva­luer. Si ce n’est pour évo­quer les pro­diges d’Erasmus, un échange d’étudiants qui a même don­né lieu à un film, ou l’incroyable ver­tige de pou­voir pas­ser la fron­tière avec la même mon­naie en poche. Deux élé­ments qui sont pour le vul­gaire péquin (her­mé­tique aux gran­deurs du pro­jet), vivant avec un salaire médian juste autour de 1 500 € (1 675 € brut) sont d’une cru­ciale uti­li­té. Autant le dire d’emblée, Eras­mus ou tout autre dis­po­si­tif d’échange aurait pu exis­ter sans l’entité éco­no­mique euro­péenne. Quant à la mon­naie unique, le ver­tige du pas­sage de fron­tière sans pas­ser au bureau de change s’avère d’un coût autre­ment plus impor­tant quand il s’agit d’appliquer des déva­lua­tions internes, c’est-à-dire des baisses de salaires qui per­mettent d’être compétitifs.

    Et c’est là que ça se rai­dit. Pré­ci­sé­ment. Parce qu’à côté de ce volet tout en cou­leurs, que l’on res­sort, et c’est sa spé­ci­fi­ci­té, notons-le, avant chaque scru­tin, le dégoi­se­ment mas­sif sur l’UE, c’est l’entêtante sym­pho­nie des obli­ga­tions éco­no­miques. Ces pres­crip­tions gra­ni­tiques ayant valeur supra consti­tu­tion­nelle et dont il n’est à aucun moment sujet de dis­cus­sion, d’appréciation et encore moins de modi­fi­ca­tions. Ces sem­pi­ter­nelles locu­tions à base de « réforme », « défi­cit », « com­pé­ti­ti­vi­té » et autres jacas­se­ries que l’on colle dans la bouche des poli­ti­ciens, experts et autres demi-journalistes (♣). 

    Il suf­fit d’imaginer ce que peut pro­vo­quer sur le corps social d’un pays ce que les tech­no­crates euro­péens nomment pudi­que­ment « pacte de sta­bi­li­té et de crois­sance », pour avoir une idée de la décon­si­dé­ra­tion des ins­ti­tu­tions et de leurs repré­sen­tants. La phy­sique euro­péenne est d’une éton­nante sim­pli­ci­té. Le dis­cré­dit élec­to­ral n’est que le résul­tat d’un sys­tème sourd qui avance vaille que vaille en fai­sant subir aux citoyens de chaque pays euro­péen (en par­ti­cu­lier ceux du sud du conti­nent) des pres­sions telles qu’il s’ensuit un dis­cré­dit encore plus impor­tant ensuite.

    La double vio­lence du vote

    Or le car­bu­rant de ce sys­tème ordo­li­be­ral c’est le vote. Sa légi­ti­ma­tion. Il est inté­res­sant de noter que ceux qui exhortent au vote sont ceux qui fré­quentent les locaux oua­tés des ins­ti­tu­tions euro­péennes et qui per­çoivent un salaire pour ça. C’est à dire, experts, jour­na­listes, et (futurs) élus. Ils ont besoin d’éteindre l’incendie du dis­cré­dit en avan­çant l’impérieuse obli­ga­tion de se rendre aux urnes. Non pas qu’il soit mal de voter, bien au contraire, c’est l’un des piliers de la démo­cra­tie. Mais avant de s’exécuter comme bon citoyen, il faut avoir une idée pré­cise des règles du jeu et du sys­tème poli­tique, mais sur­tout éco­no­mique engen­dré. A qui cela pro­fite en somme !

    On ne va pas tour­ner autour du pot pen­dant cent cinq ans, quelle que soit la majo­ri­té cen­tri­fuge qui sor­ti­ra des élec­tions euro­péennes la pres­sion ordo­li­bé­rale ira cres­cen­do. L’histoire en atteste. Et les pro­messes d’Europe Sociale datent. Et il faut avoir un sacré sens de la nuance pour dis­tin­guer les dif­fé­rences entre socio­dé­mo­crates (le par­ti « socia­liste ») ou libé­raux popu­laires (Union pour un Mou­ve­ment Popu­laire). Sur­tout quand on les voit à l’œuvre dans les pays de l’UE (♥).

    Pro­mettre les larmes et la souf­france à toute une géné­ra­tion pour conser­ver des indi­ca­teurs finan­ciers conformes aux dési­rs de la finance ne consti­tue pas en soi un récit poli­tique. Il n’a à pro­pre­ment par­ler aucune réso­nance pour l’immense majo­ri­té de la popu­la­tion acca­pa­rée par les pro­blé­ma­tiques sala­riales, édu­ca­tives, et de précarités. 

    Or l’injonction à voter, et donc légi­ti­mer sa propre mise au car­can relève d’une vio­lence que les experts béné­fi­ciant d’un salaire à 6 chiffres ne peuvent inté­grer. Avec en sus, la remise aux calendes grecques des pro­messes élec­to­rales à objet social. L’électeur va de tra­hi­sons en tra­hi­sons, d’élection en élec­tion. Tout ce qui est entre­pris poli­ti­que­ment aujourd’hui, au nom de l’UE (ou pas), se fait au détri­ment des domi­nés et ce mal­gré les pro­fes­sions de foi des par­tis (de gauche qui gouvernent).

    Alors, il ne fau­dra pas s’étonner, fina­le­ment, qu’une par­tie du corps élec­to­ral envoie tout ce bar­num au diable. En ne se dépla­çant pas ou en votant mal. Il est fort pro­bable que les élec­teurs feront n’importe quoi avec leur bul­le­tin aus­si long­temps que les poli­ti­ciens feront n’importe quoi avec leur vie (♦).

    (♠) Le théo­rème de Guet­ta éta­blit par P. Rim­bert pose 3 prin­cipes intan­gibles : toute réus­site s’explique par l’Europe ; tout échec est impu­table au manque d’Europe ; toute réus­site et tout échec appellent davan­tage d’Europe.

    (♣) Voir le cha­pitre 1er de « La mal­fa­çon » de F. Lor­don où sont lon­gue­ment et didac­ti­que­ment détaillées les impasses du modèle éco­no­mique européen.

    (♥) F. Lor­don met exergue que même quand les astres euro­péens sont pro­pices, c’est à dire que des gou­ver­ne­ments « de gauche » sont aux com­mandes dans une majo­ri­tés de pays euro­péens, d’Europe sociale il n’y a pas.

    (♦) A ce pro­pos, il sera inté­res­sant de voir à moyen terme les ravages qu’auront pro­duit les renie­ments (les tra­hi­sons ?) du can­di­dat F. Hol­lande sur la par­tie gauche du corps électoral.

    Vogel­song – 20 mai 2014 – Paris 

    Source : http://​pira​tages​.word​press​.com/​2​0​1​4​/​0​5​/​2​1​/​d​u​-​p​i​t​o​y​a​b​l​e​-​r​e​c​i​t​-​e​u​r​o​p​e​i​s​t​e​-​a​-​l​i​n​j​o​n​c​t​i​o​n​-​d​e​-​v​o​te/

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  6. gilles

    Bon­jour Étienne. 

    Dans les années 1930 un pro­ces­sus glo­bal de recul de la sou­ve­rai­ne­té du peuple a été enclen­ché par le sys­tème capi­ta­liste par le biais des fas­cismes dans dif­fé­rents pays euro­péens pour uni­fier sous domi­na­tion capi­ta­liste les dif­fé­rents pays européens. 

    La Seconde Guerre Mon­diale a été la des­truc­tion obli­gée des des­potes fas­cistes parce qu’ils ont fait à leur tête et n’ont plus obéi de manière stricte à leurs com­man­di­taires capi­ta­listes. Pour les faire déga­ger, les diri­geants capi­ta­listes ont été obli­gés de faire appel aux peuples trans­for­més en sol­dats qui par ce biais ont pesé pour reprendre la main d’où l’embellie démo­cra­tique après la Seconde Guerre Mondiale. 

    Les diri­geants capi­ta­listes ont appris de leur erreur et ont juré qu’ils ne feraient plus confiance à des hommes pro­vi­den­tiels qui peut-être ces­se­raient de leur obéir et qui iraient trop vite pour mettre au même pas capi­ta­liste les dif­fé­rents pays euro­péens, ils ont donc misé sur une direc­tion col­lé­giale, une Com­mis­sion dont les membres se sur­veille­raient eux-mêmes. Une Com­mis­sion n’é­tant pas un indi­vi­du pren­drait son temps pour un pro­jet de long terme : la « construc­tion » d’un ordre nou­veau euro­péen par le biais d’une cen­tra­li­sa­tion bureau­cra­tique au niveau euro­péen : la « construc­tion » euro­péenne, c’est-à-dire comme le constate Emma­nuel Todd, d’un nou­vel eurofascisme. 

    Le réfé­ren­dum de 2005 a prou­vé de manière claire que nous n’a­vions plus du tout le der­nier mot, ni le pre­mier, même si ce pro­ces­sus avait com­men­cé bien avant. 

    Nier les fron­tières revient fina­le­ment à nier ce qui rend pos­sible la démo­cra­tie, c’est à dire à nier l’existence d’un espace poli­tique déter­mi­né où tout membre du peuple puisse véri­fier, contrô­ler et sanc­tion­ner les repré­sen­tants, à défaut d’une démo­cra­tie plus directe qui res­te­rait à venir. 

    Réponse
    • Yéti

      « La sépa­ra­tion est la mère des êtres, et sans êtres dis­tincts, il n’y a pas de cos­mos à orga­ni­ser. Le « cos­mo­po­lite » même n’est pos­sible que parce qu’il existe des « polis » dis­tinctes, dont les inter­ac­tions forment le cosmos. 

      La fron­tière, c’est la modes­tie : je ne suis pas par­tout chez moi. J’accepte qu’il y ait de l’autre et pour faire bon accueil à un étran­ger, il faut avoir une porte à ouvrir et un seuil où se tenir, sinon ce n’est plus un hôte mais un intrus.

      Le réseau à la place de la cité, le flux à la place du site, tout cela finit par désta­bi­li­ser, par bru­ta­li­ser les êtres humains – à qui l’on invente une habi­ta­tion inha­bi­table. Du coup, l’envie de murs a pro­gres­sé, au fur et à mesure que l’on empê­chait la régu­la­tion par les fron­tières. L’ultra-local, voire le repli jusque dans la haine, dans la néga­tion de l’altérité, finissent par appa­raître obli­ga­toi­re­ment, comme contre-pôle au « sans fron­tière » invi­vable. Repli sur l’identité raciale, sociale, cultu­relle, reli­gieuse, idéo­lo­gique : peu importe. Repli tou­jours, pani­qué, d’un être humain qu’on a pré­ten­du empê­cher d’habiter dans un monde humain, donc limi­té, bor­né, enca­dré.»
      Regis Debray Éloge des frontières

      Réponse
    • Ana Sailland

      Grand admi­ra­teur de John May­nard Keynes, à qui il a consa­cré un livre, Keynes ou l’é­co­no­miste citoyen, Ber­nard Maris a publié de nom­breux ouvrages de vul­ga­ri­sa­tion en éco­no­mie. Il est connu, notam­ment, par des titres comme Ah Dieu ! Que la guerre éco­no­mique est jolie ! (1998), Lettre ouverte aux gou­rous de l’é­co­no­mie qui nous prennent pour des imbé­ciles (1999), La Bourse ou la vie (2000).

      Avec un style inci­sif, il tente de faire com­prendre la nature et l’in­té­rêt de l’é­co­no­mie réelle, en dévoi­lant ses aspects néga­tifs, mais en met­tant en lumière des notions et des alter­na­tives telles que la gra­tui­té, le don et contre-don, ou encore le reve­nu d’exis­tence qui sont à ses yeux de toute impor­tance. Il était par­ti­san des 32 heures hebdomadaires 

      Le maga­zine Le Nou­vel Éco­no­miste lui attri­bue en 1995 le titre de « meilleur éco­no­miste de l’année ».

      Bien qu’ayant voté pour le trai­té de Maas­tricht, il déclare par la suite « qu’il faut quit­ter la zone euro ». Par ailleurs, il était ami de Michel Houellebecq8 y voyant un ana­lyste lucide du libéralisme9, au point de lui avoir consa­cré un ouvrage, Houel­le­becq éco­no­miste, paru en 2014.

      (http://​fr​.wiki​pe​dia​.org/​w​i​k​i​/​B​e​r​n​a​r​d​_​M​a​ris)

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